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MessageSujet: there's no getting over you ∆ Juno. there's no getting over you ∆ Juno. EmptyVen 24 Aoû - 1:18

there's no getting over you ∆ Juno. Tumblr_lv4mahyKcS1qetqezo1_500Un sourire se dessina machinalement sur les lèvres du jeune homme tandis qu'il tendait au client la clef de sa chambre tant attendue. Ce dernier articula un « merci » qui semblait sincère, et Micah lui rendit la politesse sur le même ton. Malgré son apparence avenante, il restait morose et son ennui ne faisait qu'accentuer son agacement. A peine quelques clients s'étaient pointés cet après-midi, pas vraiment étonnant par une journée comme celle-ci. Quelques rayons de soleil perçaient les larges fenêtres de l'hôtel, et il jeta un regard à sa montre qui n'affichait que quinze heures. Encore trois heures à tenir, avant de pouvoir se morfondre en silence et échapper à cette musique d'ascenseur qui emplissait le hall et se voulait apaisante. Aujourd'hui était une de ces journées sans, qui ne vous donne qu'une seule envie : retourner vous coucher et espérer que le lendemain sera meilleur. C'est sur cette pensée réconfortante que le jeune réceptionniste vit défiler ses dernières heures de service, jusqu'au bip libérateur de sa montre qui sonna bientôt dix-huit heures. Tout en enfilant sa veste il adressa un signe de main à son collègue fraichement arrivé afin de prendre la relève, la mine vive. Sans un regard derrière lui, le jeune homme quitta l'hôtel et monta au volant de sa modeste voiture, qu'il traîna jusqu'à Montsimpa. Pris d'une soudaine envie d'un dîner réconfortant, il s'arrêta près du supermarché du quartier avec l'intention de faire quelques courses. Il était presque certain que Téo n'avait pas du remplir le frigo depuis un moment, et que s'il voulait se remplir l'estomac avec autre chose qu'un bout de pain et une bière, il avait plus qu'intérêt à prendre les choses en main au lien de compter sur sa colocataire. Il se gara sur une place livraison, agacé de tourner en rond sans trouver la moindre place. A cette heure-ci tous les foyers familiaux de Montsimpa se retrouvaient pour un apéro réconfortant, si bien qu'il n'y avait pas une place de libre dans les rues. Il s'extirpa de son véhicule en priant silencieusement pour qu'aucune contravention ne vienne gâcher un peu plus sa journée. Alors qu'il s'apprêtait à traverser la rue, une chevelure brune attira son attention. A peine quelques secondes lui suffirent pour identifier la jeune femme, qu'il aurait reconnue entre mille. « Juno... » murmura-t-il à haute voix, sans vraiment s'en rendre compte. Micah demeura un instant immobile, partagé entre l'envie de l’interpeller ou d'aller directement à sa rencontre. Malheureusement, il choisit la première alternative. « Juno ! » cria-t-il assez fort pour que son appel parvienne au trottoir d'en face. Voilà des mois qu'il cherchait à avoir une réelle conversation avec la jeune brune, mais elle l'évitait sans cesse, montrant une froideur à son égard qu'il ne lui connaissait pas. Pourquoi refusait-elle de lui parler ? Ou plutôt, pourquoi s'accrochait-il à l'idée d'une mise au point alors que cela ne semblait pas réciproque ? Il était peut-être un peu trop entêté, allez savoir. Mais il ne supportait pas de ne pas avoir de réponses à ses questions, aussi vieilles fussent-elles. Oui, leur histoire remontait à l'adolescence, ils n'avaient que dix-sept ans à l'époque. Pourtant il ne parvenait toujours pas à comprendre pourquoi leurs chemins s'étaient ainsi brutalement séparés. Juno sembla entendre son appel, puisqu'elle se retourna et croisa son regard. Sitôt fait, elle reprit sa route, pressant le pas. Le jeune homme ne comprit pas tout de suite ce geste. Etait-elle sérieusement en train de le fuir ? Si elle croyait pouvoir le semer, c'était peine perdue. Si cette situation s'était imposée à lui un autre jour, il aurait certainement repris ses occupations, emportant avec lui une frustrante incompréhension. Mais une détermination nouvelle avait fait son apparition, si bien qu'il traversa bientôt le trottoir qui les séparait. Elle avait pris un peu d'avance, le temps qu'il se mette d'accord sur ce qu'il comptait faire. Il réussit néanmoins à la suivre jusqu'à chez elle, et il se présenta à sa porte quelques minutes après qu'elle l'ait refermée. Après une brève hésitation il abattit son poing sur la porte, frappant avec délicatesse mais néanmoins avec assurance. Elle n'ouvrit pas tout de suite, et il se surprit à penser qu'elle ne lui ouvrirait peut-être pas. Il se persuada qu'elle devait avoir assez de respect pour ne pas l'ignorer ainsi, et ses pensées semblèrent se confirmer lorsqu'elle ouvrit, une expression indifférente au visage. « Je peux savoir pourquoi tu m'évites ? Ca devient très agaçant. » demanda-t-il en feignant la froideur, bien qu'une habituelle douceur demeurait perceptible dans l'intonation de sa voix.
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MessageSujet: Re: there's no getting over you ∆ Juno. there's no getting over you ∆ Juno. EmptyVen 24 Aoû - 3:34

« JAUNE ! » La pensée de Pépie était si vive, si brutale que je sortis de mes propres pensées pour retourner à notre conversation silencieuse. Elle s'obstinait à vouloir me convaincre de changer la couleur de la peinture dans la cuisine et opter pour du jaune. Si généralement j'aimais les couleurs chaudes tout comme elle, nous nous trouvions cette fois-ci en désaccord concernant la nouvelle décoration de la cuisine. « Le jaune c'est plus joyeux. » avoua Pépie. Parce qu'elle pensait sérieusement que c'est avec un argument en carton qu'elle allait réussir à me convaincre ? « Oui. » Un sourire moqueur apparu sur mes lèvres tandis que je resserrais mon étreinte autour de la boite contenant des échantillons de couleur que j'avais trouvé dans un magasin de bricolage et de décoration. J'avais bien dans l'intention de changer la couleur des murs, mais je comptais opter pour un très joli marron, ce qui ne semblait pas convenir à Pépie qui maugréait dans ma tête, me jugeant d'irresponsable et me qualifiant de très mauvaise décoratrice. Je lâchais un soupire et continuais d'avancer, trainant un peu des pieds, en direction de notre maison. Nous marchions à travers les rues de Montsimpa depuis le début de l'après-midi, promenade habituelle quoiqu'un peu ringarde, pendant que Pépie s'obstinait à faire la conversation. « Et si on faisait une cuisine ouverte sur le salon ? Ou genre un immense aquarium pour séparer salon et cuisine ? On pourrait mettre pleins de plantes vertes dans le salon d'ailleurs. » suggéra-t-elle, imaginant dans un recoin de ma tête, ce que pourrait donner la maison avec la décoration à laquelle elle pensait. Ignorant ses propositions je continuais ma promenade, bien décidée à en profiter avant de me morfondre dans le canapé. J'avais bien dans l'intention de téléphoner à Danaé et lui proposer de venir passer la soirée avec moi, mais mon humeur morose ne lui serait sans doute pas très agréable. « Sérieux, arrête de déprimer pour un rien. Reconnais que ma présence t'est agréable. » Inconsciemment je secouais la tête, ne trouvant pas sa remarque très drôle. Justement, la présence de Pépie m'était tout bonnement insupportable. Finalement nous décidons de réfléchir à la décoration de notre chambre, cette fois-ci le débat n'étant pas aussi mitigé que le précédent. Et c'était assez sympathique de constater que parfois nous pouvions discuter ensemble sans se disputer. « Juno ! » Instinctivement à l'entente de mon prénom je me retournais pour voir à qui appartenait cette voix. La silhouette qui se décomposait de l'autre côté de la rue me parue familière lorsque Pépie fouilla mes souvenirs personnels. Micah. Je déglutis difficilement et tourna les talons par réflexe, bien décidée à partir me réfugier chez moi. Changer de trottoir, détourner le regard, presser le pas, c'était mon lot d'actions lorsque je rencontrais Micah dans la rue. C'était cruel et méchant comme façon d'agir à son égard, mais je n'avais pas le choix. « On a toujours le choix Juno. » Pépie tentait difficilement de me réconforter, mais nous savions aussi bien l'une que l'autre que notre situation n'était pas si simple. Micah méritait mieux. Parce que je ne voulais pas qu'il apprenne que j'étais dingue, que parfois ce n'était plus moi qui avait le contrôle du corps et qu'une autre personne, différente de moi, prenait ma place. Je ne voulais pas qu'il souffre plus qu'il ne devait souffrir déjà. Il était Micah, le garçon parfait, et il était hors de question qu'il apprenne mon secret. Alors oui, je l'avais fuis pour me cacher dans ma maison. Et lorsqu'on cogna à la porte, je sursauta, prise d'une bouffée de panique. « C'est Micah, va lui ouvrir ! » Partagée entre l'envie évidente de revoir Micah et la tristesse de ces retrouvailles, j'hésitais pendant plusieurs secondes quand à savoir si je devais lui ouvrir la porte. Finalement je déverrouillais celle-ci et l'ouvrit, plus par politesse que par réelle envie, avant de faire face au jeune homme. « Je peux savoir pourquoi tu m'évites ? Ça devient très agaçant. » Ni bonjour, ni rien du tout. Il avait demandé cela d'un ton tranchant quoique sa voix paraissait naturellement douce et gentille. Le regard plongé dans celui de Micah, j'avais subitement envie de fondre en larme et de m'excuser pour le tord que je pouvais lui avoir causer avec la froideur qu'avait pris notre relation depuis que nous nous connaissions. Mais cela m'étais totalement impossible de lui avouer ma situation, ni même mon état mental. J'étais perdue, désemparée et je ne voulais pas faire subir cela à Micah. C'était mieux qu'il me déteste, qu'il pense que je suis une pauvre fille hypocrite et briseuse de cœur. Je ne voulais pas de sa pitié, ni même qu'il me regarde avec des yeux dégoutés. Pépie se sentait tellement responsable de ma séparation avec Micah qu'elle préféra garder le silence, me laissant souffrir et faire mon deuil de cette relation amoureuse perdue et détruite. J'avais du mal à retenir mes larmes mais je m'y contraignais, sans doute car jamais je n'aurais imaginé que me retrouver face à Micah me fasse autant de mal. Mon regard embué et triste rencontra le sien, et je su à cet instant qu'il était inutile et impossible de l'éviter une nouvelle fois. « Il n'y a rien à dire. » claquais-je durement, espérant le faire réagir et le repousser le plus loin possible. J'essayais de me montrer méchante et de lui montrer à travers mon regard toute la haine que j'éprouvais contre lui et l'effet que me procurait sa présence. En réalité j'étais effondrée, saccagée de l'intérieur, je me bousillais le cœur juste pour soulager la conscience de mon ancien petit-ami, ce qui en soit, s'avérait horrible. « Oublis tout ça et laisse-moi tranquille, c'est trop demander ? » question purement rhétorique car j'étais sur le point de refermer la porte, sans même attendre de réponse de sa part.
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MessageSujet: Re: there's no getting over you ∆ Juno. there's no getting over you ∆ Juno. EmptySam 29 Sep - 22:58

Voir Juno se défiler lorsqu'elle avait le malheur de se trouver en sa présence peinait Micah. Non seulement il ne comprenait pas le comportement de la jeune femme, mais il n'appréciait pas d'être fui comme un vulgaire ex petit copain qui n'a pas su tourner la page, et qui se raccroche pitoyablement à quelques espoirs d'une éventuelle explication. C'est donc sans réfléchir qu'il se décida à la suivre, sans penser une seconde à passer pour un pervers mal intentionné. En tous les cas, Micah serait presque devenu acide tant il était vexé de son attitude. Ne méritait-il pas plus que de simples regards esquivés ? S'il était désormais devant la porte de la jeune femme, c'était pour en avoir le cœur net. Malgré sa détermination, le jeune homme était nerveux, c'était indéniable. « Il n'y a rien à dire. » Comment faire redescendre toutes les attentes d'un homme : Juno Stark en avait la parfaite recette. Il ouvrit la bouche, mais ne trouva rien à redire, tant sa froideur le perturbait. Elle semblait le mépriser au plus haut point, et ne lui offrait qu'un regard mauvais, comme s'il la dérangeait dans un moment crucial. Depuis quand nourrissait-elle tant de haine à son égare ? Il ne pouvait croire que celle qui se tenait devant lui était la Juno de ses dix-sept ans. « Vraiment ? » demanda-t-il en plongeant ses yeux dans ceux de la brune. Son attitude le déprimait, et il regretta tout d'un coup d'être venu. Après tout, à quoi bon courir après quelqu'un qui n'a visiblement plus envie d'entendre parler de vous ? La capacité du jeune homme à passer au dessus de sa fierté avec ses limites, et il jugea qu'elles n'étaient pas loin. Il fixait Juno sans ciller, cherchant derrière sa terrible froideur le moindre signe qui prouverait qu'elle ne pouvait être aussi indifférente. « Oublis tout ça et laisse-moi tranquille, c'est trop demander ? » Nouvelle douche froide. Micah n'en revenait pas. La déception l'envahissait tandis qu'il réalisait peu à peu la tristesse de sa situation. Finalement, elle ne voulait vraiment plus le voir, ni entretenir la moindre relation avec lui, quelle qu'elle soit. Il était stupide de sa part d'essayer de comprendre la raison de leur rupture. Il avait plus ou moins décidé de tourner les talons et de décider d'oublier définitivement la jeune femme que cette dernière poussait la porte, dans l'intention de la lui claquer au nez apparemment. D'une certaine manière ce geste le remotiva, puisqu'il posa sa main sur la porte afin de la pousser dans l'autre sens, s'invitant ainsi dans la maison de la jeune femme. Bien vite oubliées les politesses. Elle l'avait presque abandonné sur le pallier comme un malpropre, et il ne pouvait supporter d'être traité ainsi. Une fois dans la maison, il referma la porte derrière lui sans laisser le choix à Juno. « A vrai dire oui, c'est trop me demander. Je peux savoir ce qui te prend ? Je crois mériter mieux de ta part que ton simple mépris. » Sa voix était toujours aussi sévère, bien qu'il avait abandonné sa froideur feinte. Il n'avait jamais pu se comporter ainsi avec la jeune femme, et il était venu pour jouer cartes sur table, non pour lui montrer qu'il pouvait lui aussi se montrer désagréable et aussi indifférent qu'elle pouvait l'être.
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MessageSujet: Re: there's no getting over you ∆ Juno. there's no getting over you ∆ Juno. EmptyDim 30 Sep - 12:51

« Peut-être que tu devrais lui dire. Tu l'as bien fais avec Connie. Et franchement, c'est Micah. » Pépie a raison, il n'est pas n'importe qui, je pourrais lui dire la vérité. Mais c'est trop difficile. Alors c'est sans doute préférable qu'il me fuit en me détestant plutôt qu'en me croyant folle et qu'il aille le crier partout. En réalité j'ignore ce qui est le pire, qu'il finisse par vraiment me haïr ou qu'il soit dégouté de ce que je suis en apprenant la vérité. Personne ne sait quelle attitude il adoptera quand il saura mon secret, et ça m'effraie. J'ai toujours tout fais pour l'éviter, pour échapper au moment où je devrais lui apprendre que parfois ce n'était même pas vraiment moi qu'il avait en face de lui. Qu'il s'agissait juste de Pépie, une petite voix dans ma tête qui se faisait passer pour moi. Franchement, dit ainsi, il y a des risques qu'il parte en courant. « Il finira bien par l'accepter. » Pas si sûre. Comme je m'y attendais il repousse la porte lorsque mon attention est de la lui claquer au nez. Il s'invite dans la maison, referme la porte et me fixe, l'air mécontent. Je me surprend à être nostalgique de notre histoire passée. C'est le seul garçon que j'ai connu, je peux pas trop dire cela avec tout le monde de toute façon. « Dis-lui. » Mais j'en suis incapable. « A vrai dire oui, c'est trop me demander. Je peux savoir ce qui te prend ? Je crois mériter mieux de ta part que ton simple mépris. » Il a raison dans ce qu'il dit, il mérite de connaître la vérité. Et je commence doucement à vraiment m'en vouloir, de la façon dont je parle à Micah et de la façon dont je l'ai ignoré toutes ces années. Mais je suis surprise du ton méchant qu'il emploi, parce que je ne l'avais jamais vu en colère. Notre histoire date peut-être, mais les souvenirs sont toujours là, et à l'époque Micah était bien trop gentil pour oser élever la voix. Du moins, je n'ai pas souvenir qu'on se soit un jour disputé. Justement, j'ai évité la confrontation en le fuyant. Faut croire qu'aujourd'hui on s'engage dans la dispute qu'on est tous les couples au moment de leur rupture. Sauf que nous, on a attendu sept années avant de se revoir. « Je crois qu'il est triste. » souffle Pépie timidement. Et lorsque je croise le regard de Micah, j'ai bêtement envie de pleurer. C'est pathétique les filles qui pleurent, mais je n'y peux rien, la tristesse m'envahit. Parce que je suis déçue et triste qu'il s'énerve contre moi, même si c'est vrai que je l'ai mérité. « Dis-lui la vérité allez, et si il part en courant bah... Au moins tu seras fixée, et lui aussi. Tu crois pas ? » Je hoche bêtement la tête, ce qui paraît un peu dingue parce que c'est à Pépie que je parle. Mal à l'aise je finis tout de même par relever la tête vers Micah, et me demande si vraiment je dois lui dire ou non. Mais à l'idée que Micah, le seul garçon qui m'ait un jour aimé, en vienne à me détester ou à me trouver étrange, je bloque au moment de lui révéler l'existence de Pépie. « Tu veux savoir pourquoi je t'ai quitté ? C'est simple, je n'étais pas amoureuse de toi. » ; « MENTEUSE ! » Mon ton flanche vers la fin de ma phrase à cause de Pépie qui m'a surprise en hurlant dans ma tête. J'essayai d'être convaincante, et finalement, ma phrase sonne plus comme une plainte, ce qui en soit, n'est pas très crédible. Je me mord les lèvres et finis par détourner le regard. Parce que je ne suis pas capable de jouer à la fille méchante très longtemps. Surtout avec Micah. Et puis, n'ayant jamais été douée pour la comédie, il n'est pas difficile de voir que je mentais. « Tu veux bien partir maintenant ? » J'évite toujours de le regarder, et finis par reculer de quelques pas pour me retrouver coller contre le mur. Peut-être que je devrais lui dire... « Évidemment. »
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