| Sujet: ROSE + i don't bite but you can't believe it Mar 12 Fév - 19:28 | |
| ∞ nom : Calderoni, qui rime avec macaronis mais ça se passera de tout commentaire ∞ prénom : Rosea Edwige ∞ âge et date de naissance : Née un 25 avril 1990 et est donc âgée de vingt-trois ans ∞ lieu de naissance et origines : Sicile, Italie / origine française de part sa mère. ∞ études ou profession : Officiellement, elle s'avère croque-mort mais officieusement, elle est braqueuse/voleuse. Un métier dangereux mais qui rapporte gros (a) ∞ statut civil : Elle est célibataire. ∞ traits de caractère : Enthousiaste - casse-cou - énergique - possède le sens de l'humour - sérieuse - réconfortante - pragmatique - ordonnée - stricte - farouche - rusée - indépendante - aime le froid - gracieuse - a la main verte - taquine - chiante - cultivée - intelligente - radieuse - aime le chaud - cordon bleu - extravertie - . ∞ groupe et aspiration : Sims ordinaires & aspiration argent.☇ CROIS-TU AUX CRÉATURES DE LA NUIT, AUX ÂMES ERRANTES ET A CE GENRE DE CHOSES ? Honnêtement ? Non. Je ne crois en rien à part moi-même. Alors les montres/créatures, fantômes et tutti quanti, non merci. Et puis, entre nous, combien de chance y a-t-il pour que je rencontre l'une de ses 'choses' à Bridgeport ? Soyons sérieux. ☇ SI OUI, AIMERAIS-TU EN DEVENIR UNE, OU PLUTÔT LES COMBATTRE ? Si vraiment ces créatures venaient à exister, il est clair que je les combattrais. Je ne veux pas d'un buveur de sang ou d'une âme errante chez moi ! ☇ TE PLAIS-TU A MONTSIMPA/BRIDGEPORT ? Oui, cette ville est parfaite pour moi. J'ai toujours rêvé d'habiter dans une petite bourgade tranquille et où les habitants te sourient dès que tu passes à leurs côtés. Je pensais rêver et au final, tout s'est concrétisé. ☇ TOI, LES ENFANTS, LE MARIAGE, T'EN DIS QUOI ? J'en dis que je compte bien me marier dans le futur. Avec qui ? Je ne sais pas mais pourvu que la personne soit riche (a) Les enfants, j'y pense aussi mais sérieusement, à vingt-trois ans, j'ai autre chose à penser que le mariage. Il faut déjà que je m'entretienne financièrement alors ... ☇ TON RÊVE LE PLUS FOU, C'EST QUOI ? Dévaliser une banque. Sans rire, c'est un rêve un peu dingue mais quitte à y songer. Je vous avouerai que j'ai eu cette idée dernièrement, en regardant des westerns et les dessins-animés sur Lucky Luke et les Dalton. L'époque des Daltns, du Farwest, des cowboys ... Ca devait franchement être bien. |
☇ TES MAUVAISES HABITUDES; Elle possède une vieille voiture qu'un ami a retapé, elle en est plutôt fière + Rose a un QI de 189 + Très cultivée, elle lit la presse régulièrement + Elle rêve de voyager et parcourir le monde + Etant adolescente, elle s'est faite rouée de coups à plusieurs reprises par son père. Les raisons ? Son métier était trop prenant sans compter que sa femme était récemment décédée. + Elle a des cicatrices sur ses cotes et omoplates, des brûlures pareilles à l'écrasement de mégots de cigarette + La jeune femme voile son sombre passé grâce à son tempérament plutôt enjoué et dynamique, elle n'en parlera probablement jamais + La mort de son père l'a pourtant marquée, cherchez l'erreur + Voler est un passe-temps comme un autre, elle gagne sa vie entre piller des riches demeures et enterrer des morts + Elle a déjà eu quelques aventures amoureuses, mais rien de sérieux. De toute évidence, elle est bien trop barrée pour que quelqu'un s'intéresse à elle +
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Par un beau mois d'avril est née Rosea Calderoni, jeune fille promit à un brillant avenir ... ou pas Fille unique, je profitais de la fortune de mon père, compensant dès mon plus jeune âge son absence ainsi que celle de ma mère - ayant quitté le domicile familial pour raison inconnue lorsque j'eus six ans - par l’argent.
Calderoni, ce nom de famille semblait être attribué qu’au père et à moi, sa fille car je n’avais jamais entendu parler d’une grand-mère, d’une tante ou même d’un cousin. Tout droit plongée dans le monde des gens riches et célèbres, j'ai toujours mené une vie facile, comparable à celle d’enfants de star. Mon père bien que celui-ci s'avérait froid et hautain en ma compagnie me battait régulièrement. En apparence, il ne paraissait guère violent ni même méchant mais ce côté sombre et déplaisant, il ne le montrait qu'à sa fille. Je me faisais effectivement rouée de coups par mon paternel - de temps en temps, lorsque mon père rentrait de ses longues semaines passées à l'étranger - Âgée seulement de treize ans je me remémorais tant bien que mal ce qu'il se produisait chaque semaine, le week-end - généralement lorsque mon père rentrait las et épuisé de son métier, à vrai dire il avait encore une petite ressource d'énergie pour assouvir ses sauts d'humeur - dans leur vaste maison où ils s'étaient installés non loin de Bridgeport, aux États-Unis. Tous les soirs, je me décidais à écrire tout le mal enduré par la faute de mon père dans une sorte de carnet personnel, un journal intime ; mon père savait-il au moins qu'il risquait de tuer sa fille, sa propre fille ? Peut-être était-il ignorant .. ou tout simplement un père trop occupé à voyager à travers le monde.
→ journal intime de Rosea.
« Cher X, voilà maintenant un mois jour pour jour que mon anniversaire est passé. J'ai eu treize ans le vingt-cinq avril 19** et on peut dire que j'en suis fière enfin, une partie seulement en est fière. A vrai dire, l'autre partie de moi-même n'en peut plus. Je ne peux supporter ces conditions et surtout cette vie qu'on m'a donnée. Je suis jeune, mais tellement las de tout cela. Je ne veux plus faire partie de ce monde, je le clame haut et fort. Pourquoi mériter des coups de la part de son paternel ? Pourquoi se faire battre tout simplement parce que son père en marre des conditions dans lesquelles il travaille ? Ce dernier ne semble pas avoir accepté le fait que je sois sa fille. Il est vrai qu'il aurait tant préféré avoir un garçon. De même que ma mère je suppose.. Bien que je ne la connaisse pas vraiment. Mon père me dégoûte, il est pitoyable ... je le déteste. » Jusqu’à ce que j’aie quinze ans, je ne me posais pas trop de questions sur la vie que mon père menait, lequel prétendant œuvrer dans les « affaires ». Par ailleurs, je n’étais que peu attaché à lui, froid et silencieux lorsqu’il était présent à la maison et qu'il cessait de temps à autres de vouloir à tout prix s'acharner sur mon pauvre corps. Je m’occupais donc comme je le pouvais ; les premières années de ma vie, une nounou prenait soin de moi 24h/24, quand je suis entrée à l’école, je me consolais de la solitude et du désespoir qui régnait dans la grande maison vide, en sortant avec des amis que je charmais avec mon caractère sociable et la vie qui m’animait. Aussi, je pris longtemps des cours de piano, une de mes activités favorites, pour passer le moins de temps possible à la maison. Populaire dès la petite école, je me distrayais avec ce que je pouvais : De petits amis, par exemple. À quinze ans ce n’était pas très sérieux, mais je multipliais les relations avec les garçons. Qu'aimaient-ils réellement chez moi ? Mon côté mystérieux et séducteur ou bien ma sociabilité et mon manque de tact ? Je n'en savais rien mais tout ce que je ne pouvais nier était qu'à cet âge-là j'avais essayé plus de choses que la plupart des jeunes filles de mon âge; l’alcool, bien sûr, la cigarette, ainsi que les drogues que j'essayais quelques fois simplement pour voir si ce qu’on disait était vrai. Il ne fallut qu'un jour, qu'une seule nuit pour que tout bascule : le 12 novembre 2000 ; en rentrant chez moi comme à mon habitude, un affreux spectacle se dressait devant mes yeux: Des voitures de police encerclaient mon immense maison, et une limite interdisait l’accès au terrain. Les cris, les sirènes, les pas pressés; j'avais les yeux remplis de larmes, je pleurais en sachant, mais sans le savoir... Je parvins à me faufiler entre tous ces gens en uniformes, entre ces curieux qui observaient la scène avec une expression qui trahissait leur avidité de savoir. J'entrais, tout en percevant une voix hurler mon nom et en sentant un policier me prendre par le bras pour tenter de m’entraîner hors de portée de la scène que j'avais sous les yeux ; Le corps de mon père gisait, inanimé, dans un coin, appuyé contre une commode, transpercé de la lame d’un couteau. Cette image restera gravée pour toujours dans ma mémoire, mais il m'évoque toujours des sentiments opposés; Le déni d’abord, semblable à la première étape qu’affrontent tous les autres face à la mort. Je ne pouvais le croire, c’était trop irréel, horrible ... Mais le sang dans lequel baignait l’homme avec qui j'avais vécu durant toutes ces années était là, rouge, écarlate ... La tristesse ensuite, déception d’avoir perdu un être « proche », « cher », après tout c’était mon père, n’est-ce pas ? Puis la culpabilité de ne l’avoir jamais appelé « papa », de l’avoir négligé ; Tout comme je l’avais fait, mais tout de même. Finalement la colère, la colère de comprendre tout ce que j'avais repoussé de mon esprit jusqu’à présent. Cette colère contre lui, mais contre moi-même aussi. On ne m'avait rien dit, on avait refusé de parler. Mais les pièces du puzzle s’assemblaient dans ma tête; j'eus le temps de réfléchir à cette énigme qui m’opposait à l’accomplissement de moi-même, les deux longues années qui suivirent. 01. ETRE CROQUE-MORT. Ma mère l'était et puis, faut dire que j'ai toujours été attirée par tout ce qui était macabre. En gros mon boulot consiste à faire ' disparaître les morts ' . Je me rappelle qu'en 2003, il y avait eu une canicule gargantuesque sur le pays et près de 70 000 vieux ont rendu l'âme, ce qui m'a permis de faire amplement mon job. A cette époque là, mon collègue et moi-même avons été débordés. Enfin, j'étais aussi dans mes touts premiers débuts et je dois vous avouer que j'ai longuement galéré avant d'avoir le coup de main. D'ailleurs, en parlant de macabres, j'avais aussi dans l'idée de devenir médecin légiste ; parce que charcuter des morts, à la base, j'aimais bien et pourtant, je déteste les films d'horreur - hors-sujet, je sais - Bref, je n'ai pas pu réaliser ce rêve sachant que je n'ai pas suivi la bonne section et puis, soyons honnête, je n'ai fais que quelques années de fac de médecine et à la base, c'était pour devenir chirurgienne. Etre croque-mort était pour moi l'occasion d'emprunter le même chemin que ma mère. Au départ, c'était difficile d'être seule face à un être inerte, décédé. Je vous épargne le nombre de fois où mes larmes se sont échouées sur mon visage. Et puis, j'ai finalement adopter le pli et voir des morts ne me posent plus aucun problème désormais. J'essaie simplement de ne pas penser à ce qui leur est arrivé. 02. ETRE CAMBRIOLEUSE. Vous auriez peut-être pensé que j'avais tout pour plaire ? Non. Je ne suis pas rassasiée en n'étant qu'une simple croque-mort. Enfaîte, étant adepte des métiers à risques et ou insolites, j'avais eu dans l'idée de devenir comme Daniel Ocean - vous savez Clooney qui joue dans Ocean's Eleven - Bref, je comptais devenir cambrioleuse, pick-pocket, voleuse ... Appelez ça comme vous le voulez. J'ai un ami, ici à Bridgeport qui est vraiment un pro au niveau des cambriolages et tout l'toutim. C'est lui qui m'a appris les ficelles de ce ' métier ' et depuis maintenant près de deux ans, j'enchaîne les vols - tous types confondus - en sa compagnie. Mais je compte bien me la jouer solo d'un jour à l'autre. Ce n'est qu'une question de temps (...) Ah et, c'est un secret alors ne le dite à personne voulez-vous. ∞ prénom et pseudo : Soow. ∞ âge : la vingtaine ∞ sexe : Herma ... Féminin aux dernières nouvelles ∞ comment as-tu connu le forum ? Bazzart m'a montré le chemin ∞ t'es plutôt du genre à traumatiser tes sims où à aimer les belles et grandes familles parfaites ? Je les ai jamais traumatisé en faite mais peut-être que j'aurai dû car ils étaient trop parfaits. ∞ raconte-nous ta vie : Heu ... Non, la flemme mais si t'es sage, t'en auras un avant-goût ∞ tes autres comptes sur pwl : Aucun. ∞ célébrité : Dianna Agron, la magnifique ♥
Dernière édition par Rosea E. Calderoni le Ven 15 Fév - 0:12, édité 3 fois |
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| Sujet: Re: ROSE + i don't bite but you can't believe it Mer 13 Fév - 12:20 | |
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| Sujet: Re: ROSE + i don't bite but you can't believe it Ven 15 Fév - 1:14 | |
| Je ressors le grand Tigra juste pour tes beaux yeux Moi qui ne suis pas fan de Dianna, tu me fais changer d'avis avec ton personnage là C'est le clin d'oeil à Ocean's Eleven qui a tout fait en fait Tout ça pour dire que tout est parfait. Après lecture de ta fiche, j'ai l'honneur de t'annoncer que tu es désormais validé(e), bienvenue dans ta nouvelle famille qu'est PWL, Macaroni * danse du string oblige :cooper: * Tu peux désormais te mettre en route et compléter déjà quelques petites choses essentielles pour que tu te sentes bien chez nous si si je t'assure ☇ Recenser ton avatar, parce que c'est important. Tu trouveras le bottin en cliquant sur ce lien. N'oublie pas que si tu ne recenses pas ton avatar, quelqu'un d'autre risque de prendre ton avatar par inadvertance puis le staff n'a pas les yeux tout le temps sur tout le monde même si on adore vous regarder ☇ N'oublie pas d'aller jeter un coup d’œil curieux aux annexes qui sont très importants sur le forum tu les trouveras ici. ☇ L'intrigue actuelle se trouve ici ouais on est trop sympathique nous on te donne tous les liens utiles je te conseille de bien regarder la partie sur les points de bonus à long terme ça pourra t'aider ☇ Tu as la possibilité de te créer un petit coin à toi où personne ne pourra venir t'embêter - si on vient t'embêter contacte nous on s'en chargera - pour y rajouter ce que tu veux dedans, comme tes liens, tes rps en cours un peu comme un journal de bord quoi tu veux le créer ? pas de souci, alors clique et n'oublie pas de regarder le le bottin des métiers nous sommes persuadées qu'il te sera très utile ou encore les demandes de rangs en cliquant là. ☇ Et enfin pour finir - ouais quand est-ce que tu vas t'arrêter de parler hein ? - n'oublie pas de voter pour nous toutes les deux heures en cliquant sur ce petit symbole ! N'oublie pas que chaque vote peut te rapporter un point de bonus à long terme si tu viens le signaler dans cette section. Alors ? Elle est pas belle la vie chez nous ? AMUSE TOI BIEN |
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