Sujet: louisiane ◮ the world just chewed her up and spat her out. Mer 26 Oct - 13:56
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fuckyeahgemmaarterton
louisiane lux weelsher
nom: weelsher ❆ prénom: louisiane lux ❆ âge: vingt-et-un ans ❆ date de naissance: vingt-cinq décembre ❆ origines: montsimpa ❆ études/emploi: études scientifiques ❆ désir à long terme: rencontrer les aliens ❆ aspiration: connaissance ❆
attirances: les garçons bruns qui ne font pas partie d'un moule, ceux qui ne se baladent jamais sans un livre et l'odeur de lessive qui les suit ❆ tues-l'amour: les poils sous les aisselles, les cheveux roux et la transpiration ❆ plat préféré: les lasagnes de grand-père ❆ musique favorite: echo de jason walker ❆ couleur préférée: la couleur verte, évidemment ❆ ton crédo: trouve le bonhomme vert. ❆
louisiane est née le jour de Noël et la vie lui a offert, ce même jour, un frère jumeau , une âme soeur, un pilier, un reflet ◮ quelques jours après leur naissance, leurs parents les abandonnèrent devant la porte du grand-père paternel qui les accueillit à bras ouverts ◮ la valeur la plus importante pour la jeune femme est sans hésitation la famille. elle détruirait le premier qui s'en prend à son frère ou à son grand-père car ils sont tout, ils sont elle ◮ lorsqu'elle avait dix ans, le frère de louisiane a tué son chat nommé schnappi et ne lui a jamais dit. depuis ce jour, Louis' croit dur comme fer à l'existence des extraterrestres ◮ elle a toujours été très intelligente et c'est sa curiosité qui lui permet aujourd'hui d'être à fond dans ses études : les sciences. elle est d'ailleurs bien décidée à prouver que les aliens sont près des hommes ◮ elle a toujours été rejetée, les gens la qualifient de folle et névrosée, si bien qu'ils en viennent même à changer de trottoir lorsqu'ils la croisent ◮ elle cache ses sentiments aux inconnus et feint très bien l'indifférence aux méchancetés dont elle est victime, même si, au fond, elle en souffre sans doute un peu ◮ son frère est la seule personne en qui elle a une confiance aveugle. elle le suivrait n'importe où s'il le lui demandait, et ce sans poser une seule question ◮ elle met une fleur dans ses cheveux chaque vingt-cinq du mois pour célébrer la naissance de son frère et elle ◮ elle porte beaucoup de vêtements chics alors qu'elle ne les affectionne pas, simplement pour se donner un air froid et fort ◮ elle ne se mouche que dans des mouchoirs à la menthe, car tout ce qui est vert lui fait penser aux martiens, son but ◮ elle aime assez cuisiner de bons petits plats pour sa famille et mange d'ailleurs comme un ogre ◮ elle rêve en secret de se faire tatouer le prénom de son frère derrière l'oreille mais a bien trop peur des aiguilles ◮ elle passe plus de cinq heures pas jour dans l'atelier qu'elle a confectionné avec son frère dans le garage pour mener ses différentes et nombreuses expériences ◮ elle n'aime pas l'humanité car celle-ci ne lui a jamais rien apporté de beau ◮ son meilleur ami, malcolm, ne perd pas une miette de ses croyances et montre une curiosité saine à son égard ◮ elle déteste utiliser des animaux comme cobayes et utilise donc toujours des fruits, bien que ce soit réellement moins pratique.
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❝ Il faut toujours poser ses problèmes loin, parce qu'on les regarde différemment. On voit ce qu'il y a derrière. Quand on les a sous le nez, on ne voit plus rien. On ne voit plus la beauté, le bonheur qui demeurent malgré tout, tout autour. ❞
« Des aliens, dis-tu ? » D'après mes souvenirs, c'est ce jour-là que la possibilité d'un autre peuple m'a frappée à la gueule. Je dois avoir dix ou onze ans, à vrai dire, je ne me rappelle plus très bien, et je discute avec grand-père dans la bibliothèque. Ça fait bientôt une semaine que Schnappi n'est pas rentré à la maison et nous, on a certainement arrêté de le chercher. Schnappi, c'est mon chat, enfin, c'était mon chat parce que personne ne l'a jamais revu. Volatilisé, comme ça. Aujourd'hui, plus personne ne se souvient de ce vieux chat grisonnant qui passait ses journées à dormir et avait du mal à se traîner à travers les allées. Plus personne, sinon nous, sinon moi. J'ai toujours été persuadée qu'il lui était arrivé quelque chose de formidable, mieux, d'extraordinaire, et déjà à dix ans, je défendais mon point de vue comme un patriote part à la guerre, le fusil sur l'épaule, défendre des milliers d'enculés. « Mais oui, des aliens papy ! Schnappi les aimait bien, comme moi. Tu sais, je suis sûre qu'ils sont plus gentils que les garçons de ma classe. » Les garçons de ma classe. A l'époque, l'humanité se résumait aux quelques personnes que je côtoyais tous les jours, soient les garçons de ma classe qui m'appelaient la mongole, ces mêmes garçons qui prenaient plaisir à me tailler une mèche de cheveux dès que j'avais le dos tourné. Grand-père me raconte encore à quel point je les détestais, eux et leurs idées sur la vie. Il fallait être ni trop petit ni trop grand, ni trop maigre ni trop gros, ni trop intelligent et ni trop bête. Il fallait être dans la norme, et si la norme ne te collait pas à la peau, alors t'avais rien à faire ici, alors c'est toi qui déraillait. Oui, c'est exactement ça, la vie : des idées toutes faites, des bocaux remplis de gens tous plus ennuyeux les uns que les autres. Et parfois, au détour d'un sentier boueux, tu te cognes contre quelqu'un d'un peu bancal, quelqu'un d'un peu comme toi... Du moins c'est ce qu'ils disent dans les livres. Parce que moi, ces conneries sur l'amour, j'ai arrêté d'y croire le jour où j'ai arrêté de croire en l'homme. Maintenant, ce trop plein de rage s'est cassé, heureusement, je suppose que ce n'était pas très facile à vivre. Ça aussi, j'ai oublié. J'ai enchaîné les moments de mon enfance sans vraiment m'en rendre compte, sans vraiment faire attention à ce qui se passait autour de moi, dans la rue d'en face, dans les couloirs de l'école, ou bien trois kilomètres plus loin. Il y avait Phoenix, mon moi, et puis grand-père, le fil conducteur. Le reste n'avait, à l'époque que peu d'importance. Puis la colère, la haine, la douleur et la honte ont été enfouies au fond de mes entrailles, si bien qu'aujourd'hui, le reste n'a plus du tout d'importance. Il y a Phoenix et mon grand-père. Il y a le bonheur et puis la vie. « Viens par là, mon enfant. » Ça, c'était le geste qui caractérisait le plus celui qui nous avait accueillis sous son toit sans réfléchir, ce soir où ceux qui nous servaient de parents avaient choisi de nous abandonner devant sa porte. Comme ça, sans représailles, parce que tout est faisable à Montsimpa. Je ne suis pas sûre de la suite des évènements ce jour-là, mais j'imagine que papy m'a invitée à me loger sur ces genoux et qu'il m'a raconté des histoires fantastiques, avec des martiens gentils et des humains moins gentils car il n'allait jamais contre nos songes, contre notre imagination. Il la nourrissait, et même si le temps a filé et que mon frère et moi avons grandi, nous sommes toujours des mômes émerveillés lorsqu'il nous parle de vies antérieures. La seule chose, finalement, dont je me souviens parfaitement, c'est de l'arrivée de Phoenix, ce soir-là. Il semblait tendu, presque triste pour Schnappi alors qu'il ne l'avait jamais aimé. Je n'ai jamais compris pourquoi, mais il m'a regardée, avec cet air abattu qu'il fait aujourd'hui à chaque fois qu'il a commis une connerie et qu'il veut nous amadouer -soit au moins une fois par jour- et a dit qu'une seule phrase avant de filer dans son lit. « Si les aliens ont vraiment kidnappé Schnappi, ce sont de vrais connards. » Tu as été bizarre ce soir-là Nix, puis celui d'après et depuis, rien n'a changé. Schnappi a disparu, tu as balancé le costume de Super-Héros que j'avais décoré pour toi au fond du placard et tu t'es sûrement dit qu'être le méchant, c'était sans doute plus simple. Mais ce n'est pas ce que j'ai retenu de cette journée, non, il y a eu autre chose. De plus fort, plus surprenant, un espoir infini : les aliens sont près de nous, et j'irai bientôt chez eux. Avec vous, bien sûr. Ça ne pourra pas être pire que de baiser avec l’humanité, de toute façon.
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❝ Son rire en cascade est mon médicament, je devrais l'enregistrer en boucle et me le diffuser les soirs de déprime. S'il fallait définir la joie de vivre, le bonheur d'exister, ce serait cet éclat de rire, une apothéose, ma récompense bénie, un baume descendu du ciel. ❞
« Louis ? Mais qu'est-ce que tu fous là putain ? T'as vu l'heure ? » Nous sommes au beau milieu de la nuit, le silence caresse ma peau laiteuse depuis deux bonnes heures et je ne sursaute pas au son grave de sa voix. Il paraît que c'est un truc de jumeaux, qu'on peut sentir la présence de l'autre jusque dans les méandres. Moi, je préfère me dire que c'est quelque chose qui nous est propre, quelque chose qu'on a développé avec le temps, qu'on a apprivoisé quand on a su que nos parents s'étaient cassés en nous laissant crever de froid dans une boîte en carton devant une porte de Montsimpa. Heureusement, ils avaient choisi la bonne porte, si bien qu'aujourd'hui, à défaut de crever de froid, on crève d'amour grâce à Grand-père. « Salut Nix ! Parle moins fort s'il te plaît, tu risques de réveiller papy. » soufflé-je finalement tout en attrapant un torchon pour m'essuyer les mains. Aujourd'hui, je n'ai fait que le croiser et quand j'y pense, c'est toujours comme ça. On se croise, on se laisse des mots partout dans la maison et puis souvent, l'un vient voler une journée à l'autre, comme ça, à l'improviste, parce que c'est nécessaire, parce qu'au fond, rien n'est plus important que ça et qu'on se fout bien de l'univers tant que nos rires résonnent à l'unisson. Ses yeux sondent la pièce et se posent sur la plan de travail que j'ai improvisé dans le garage, près de la vieille Camaro SS datant de 1967 de grand-père. « Qu'est-ce que c'est ? » Il désigne du menton mes travaux puis reporte son attention sur moi. « Encore un truc pour retrouver E.T ? » Je lui souris, avec tendresse, et hausse les épaules. Phoenix est le seul à me laisser tranquille avec ces histoires d'aliens. Je devine qu'il n'y a peut-être jamais cru, mais il ne m'empêche pas pour autant de poursuivre ma quête. Même si tout le monde dit de moi que je suis folle, déséquilibrée, tarée, aliénée et névrosée. Même si tout le monde descend du trottoir lorsque je grime sur celui-ci. Il m'interdit d'arrêter, il me pousse à gerber mon savoir à la figure de ces ignorants, il me demande de me battre. Au quotidien. Pour tous ceux qui y ont cru avant moi et ont perdu espoir. Et même si je n'y fais pas souvent attention, ça fait du bien d'avoir quelqu'un sur qui s'appuyer, d'avoir quelqu'un qui vous connait assez pour savoir où recoller un peu de joie, où rallumer un peu l'envie. « Chacun son truc. Je chasse les martiens et tu joues le grand méchant loup. » Mon frère jumeau arque un sourcil, feignant la surprise alors qu'il me sait parfaitement, mes pensées et moi, et davantage ce que je pense de son comportement, ce que je pense du bourreau qu'il s'évertue à être depuis le jour où il a remarqué que le costume de Super-Héros n'était pas tout à fait à sa taille. « Le grand méchant loup ? Sérieusement Louisiane Lux Weelsher ? » Ses pupilles se teintent de noir et il fait un pas en avant. Loupé. Je refuse d'avoir peur et il le sait pertinemment, sans doute parce qu'il n'a jamais levé la main sur moi, sans doute parce qu'il n'arrive pas à tenir un long discours colérique quand nos iris se fendent, sans doute parce que blesser l'un blesserait l'autre. « Tu ne l'avais pas vue venir, celle-là, hein ? Peut-être qu'on n'est pas vraiment jumeaux, finalement. » Un son cristallin gratte ma gorge et s'envole dans l'air tandis qu'une longue trainée de peinture -dont j'ignore la couleur à cause de l'obscurité dans laquelle est plongée la pièce- balafre ma joue droite. « Tu vas me le payer Weelsher ! » hurlé-je avant de me mettre à courir derrière lui. Tu te souviens ? Nous avons couru, couru et encore couru. A en perdre haleine, à s'en bousiller les poumons et à y laisser nos peaux. On a ri aussi, comme deux enfants abandonnés aux mains du destin. Comme deux gosses perdus. Je sais que tu es la terre et que je suis le ciel, que je suis le jour et que tu es la nuit. Mais je n'ai pas peur que nos chemins se séparent, tu vois, je n'ai pas peur de demain et des jours qui suivront parce que tu crois en moi, parce que tu crois en ce sang qui court dans nos veines et qui nous pousse à nous donner la main. Encore un peu, toujours autant. Phoenix est mon frère jumeau, et malgré tout ce qui nous oppose, j'ai la certitude que nous sommes unis pour une éternité, peut-être même deux.
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Poor thing, J'ai toujours pensé que tu deviendrais quelqu'un d'important Louisiane, que ton prénom te porterait chance et que tu te réussirais jusqu'au bout. Je m'étais trompée. Complètement. Parce que toi, Louis, t'as pas été foutue de réussir dans la vie, t'as pas été foutue de te relever et d'avancer, de tomber, de te faire mal, de t'écorcher les genoux et de décoller du sol, une bonne fois pour toutes. C'est con, hein, pour une fille qui rêve de toucher les étoiles, de serrer la main aux monstres verts qui couchent sur les nuages. Ouais, c'est con de ne pas arriver à enlever un pied du sol, de ne pas arriver à courir vingt mètres au dessus de la gueule de l'humanité. Tu sais, maintenant, les gens ne sont même plus surpris de te voir essuyer les échecs, même plus surpris de te voir louper tout ce que tu entreprends. T'es nulle, Louisiane, pire vicieux, je me rends lentement compte que tu ne sers à rien, que tu n'existes que pour distraire les gens, que pour les faire rire à s'en exploser les tympans. Louise la ratée, qu'ils t'appellent dans le coin. A l'époque, quand on pariait qui des jumeaux abandonnés au destin s'en sortirait, j'ai longtemps misé sur toi. Parce que j'imaginais que tu serais la plus belle du quartier, que tu roulerais dans une bagnole à soixante mille thunes et que tu inviterais chaque soir entre tes reins l'homme riche et tout aussi puissant que toi, celui qui vit sur le palier d'en face. Tu m'as déçue. J'ai perdu. Par chance, je n'avais pas parié de fric, juste quelques vies arrachées au hasard. Pauvre chose qu'est ta vie, Louis. Pauvre existence que tu mènes en rampant, en baisant la terre. J'vais te dire une chose car j'en ai marre de te regarder te bercer d'illusions, j'en ai marre de te regarder avoir encore un peu d'espoir, le cul assis sur mon futon inconfortable : le ciel, tu ne le verras jamais. Et tes potes aliens ne voudront jamais d'une fille comme toi parmi eux. Parce que, quand on y regarde à deux fois, il n'y a que ton frère qui veuille encore de toi. Ouais, je parle bien de Phoenix, ton frère jumeau, celui qui, pour te prouver son amour, a bousillé ton petit Schnappi, ce putain de chat qui laissait des poils partout et qu'il ne pouvait pas voir en peinture. Il l'a buté, comme ça, parce que ton frère n'était qu'un faible et qu'il avait peur du monde entier, du haut de son un mètre dix. Le plus marrant, dans tout ça, c'est que tu ne le sauras sans doute jamais. Toi, t'es assez conne pour croire qu'un petit monstre vert est descendu de sa soucoupe, a empoigné Schnappi et est reparti comme il est venu, en silence, à l'ombre des regards. Toi, t'es assez rêveuse pour ne pas comprendre que ton chat est en train de pourrir à l'angle de la rue, sous le vieux chêne qui n'a jamais été plus beau que depuis sa mort. De la vie, de l'engrais. J'ai toujours pensé que tu deviendrais quelqu'un d'important, Louisiane, et tu n'es aujourd'hui qu'un tas de croyances éphémères, qu'un tas de merde. J'ai toujours pensé que tu t'en sortirais, que tu vomirais à la gueule de tous ces abrutis qui t'ont mené la vie dure. Ça, c'est ton frère qui l'a fait. Ce garçon deviendra un grand homme, un vrai tyran. Il fera partie de ceux qui font font monter la flotte aux yeux des filles, de ceux qui tueront par excitation. Tu devrais suivre son exemple, petite, parce que lui qui était destiné à crever avant l'heure a tout compris à la vie : pour être tranquille, il faut choisir d'être un tyran. Les flans, eux, se font toujours écrasés. Dépêche, toi as encore un peu de temps pour changer mais bientôt, ce sera trop tard.
La faucheuse.
pseudo/prénom: wasted comets ; cam ❆ âge: dix-sept ans ❆ sexe: je suis une fille, normalement ❆où tu as trouvé le forum: ben c'est le forum de ma alex quoi ❆ si tu devais y ajouter quelque chose: moi, mais je suis arrivée ❆ célébrité: gemma arterton ❆ toi aussi tu traumatises tes sims? j'ai pas le temps, dès que la famille et la maison sont créées, je recommence ❆ raconte-nous ta vie: c'est l'histoire d'une fille qui changeait de couleur de cheveux trop souvent et qui aurait aimé vivre à une autre époque ❆ tes autres personnages: laisse moi déjà finir une fiche hein ahahah ❆
Dernière édition par Louisiane Lux Weelsher le Jeu 27 Oct - 13:46, édité 48 fois
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Sujet: Re: louisiane ◮ the world just chewed her up and spat her out. Mer 26 Oct - 13:58
Bienvenue Miss GEMMA
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Sujet: Re: louisiane ◮ the world just chewed her up and spat her out. Mer 26 Oct - 13:58
Sujet: Re: louisiane ◮ the world just chewed her up and spat her out. Mer 26 Oct - 14:00
on pensait pas que tu faisais ta fiche en une heure, mais on l'espérait quand même bienvenue ma belle, et beaucoup beaucoup de courage pour ta fiche (parce que te connaissant )
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Sujet: Re: louisiane ◮ the world just chewed her up and spat her out. Mer 26 Oct - 14:02
Bienvenue
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Sujet: Re: louisiane ◮ the world just chewed her up and spat her out. Mer 26 Oct - 14:03
MA PETITE JUMELLE. Promis, elle la fera très rapidement sa fiche. Bref. Tout ça pour dire que ça me manquait d'avoir un lien avec toi. J'ai hâte, alors on ne perd pas de temps.
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Sujet: Re: louisiane ◮ the world just chewed her up and spat her out. Mer 26 Oct - 14:03
bienvenue Gemma est un superbe choix et j'aime beaucoup ton pseudo
Sujet: Re: louisiane ◮ the world just chewed her up and spat her out. Mer 26 Oct - 14:06
Bienvenue sur PWL Bonne chance pour la suite de ta fiche
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Sujet: Re: louisiane ◮ the world just chewed her up and spat her out. Mer 26 Oct - 14:10
Comme je l'ai dit tout à l'heure, j'adore ton deuxième prénom, Lux c'est trop beau (et poétique faut dire) très bon choix, et puis Gemma quoi ! Donc bienvenue et bonne chance pour faire ta fiche (et t'inquiètes pas, on embêtera Jaiz sur la CB le temps que tu finisses ta fiche je vais me cacher avant de me reprendre une vilaine tête rouge)
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Sujet: Re: louisiane ◮ the world just chewed her up and spat her out. Mer 26 Oct - 14:28
Bienvenue Gemma
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Sujet: Re: louisiane ◮ the world just chewed her up and spat her out. Mer 26 Oct - 14:34
bienvenue et bonne fiche
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Sujet: Re: louisiane ◮ the world just chewed her up and spat her out. Mer 26 Oct - 14:43
Ta bannière est trop jolie BIENVENUE mad'moiselle
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Sujet: Re: louisiane ◮ the world just chewed her up and spat her out. Mer 26 Oct - 14:57
Bienvenue
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Sujet: Re: louisiane ◮ the world just chewed her up and spat her out. Mer 26 Oct - 15:59
Merci à chacun de vous.
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Sujet: Re: louisiane ◮ the world just chewed her up and spat her out. Mer 26 Oct - 17:02
wouuuuuuuh, trouvée ma Cam' BIENVENUE MA PLUS BELLE DE TOUTES et j'ai hâte de voir ce perso' et je te dis bonne chance pour ta fiche tu risques d'en avoir besoin te connaissant et Gemma quoi
allé, en bonne modo je vais allé dire bienvenue à tout le monde
Posy Hawkins
⊹ messages : 14694 ⊹ arrivée : 21/09/2011 ⊹ avatar : nina dobrev. ⊹ multinicks : non. ⊹ disponibilité : fermé ⊹ bonus à long terme : 3