Merde alors, c'était bien lui.. Oui t'inquiètes je te tiens les cheveux. ▲ RAFOU & RORE.
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Merde alors, c'était bien lui.. Oui t'inquiètes je te tiens les cheveux. ▲ RAFOU & RORE.

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MessageSujet: Merde alors, c'était bien lui.. Oui t'inquiètes je te tiens les cheveux. ▲ RAFOU & RORE. Merde alors, c'était bien lui.. Oui t'inquiètes je te tiens les cheveux. ▲ RAFOU & RORE. EmptyVen 24 Aoû - 0:38

Ce soir, c'était le grand soir! Enfin le grand soir, qu'est-ce que je raconte. C'était un soir où Rafaëlle et moi allions sortir boire, fumer, danser, et tout ce qui suit. Un soir banal comme on aime les faire souvent quoi.
Pantalon enfilé, carte bleu présente et talons aux pieds, j'avais décidée d'arpenter les boutiques à la recherche d'une tenu pour ce soir. Après quelques heures de shopping improvisé, un cappuccino et un frappuccino moca avalé, je m'étais achetée une nouvelle robe ainsi que toute la panoplie pour la soirée. Je roulais en direction de chez Rafou pour me préparer, comme à notre habitude. Cependant, j'avais envie d'un petit before entre fille et étais donc allée chercher une bouteille de Vodka, quelques citrons verts ainsi que du jus de citron et de la limonade et roulais directement chez mon amie. Je montais jusque chez elle puis toquais avant qu'elle ne m'ouvre. Alors qu'elle finissait de faire un truc j'étais allée dans sa cuisine afin de préparer nos petits cocktails.
« Ramènes toi, je t'ai fais un truc. Tu vas m'appeler maître. » Lui dis-je avant de rire doucement. Je m'assis sur le canapé et pris un verre avant de l'entamer. J'adorai la nouvelle trouvaille que j'avais faite la soirée passée. Je bus puis regardais la belle blonde, sourire aux lèvres. « Alors ? »
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Maé Fowler
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Maé Fowler

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MessageSujet: Re: Merde alors, c'était bien lui.. Oui t'inquiètes je te tiens les cheveux. ▲ RAFOU & RORE. Merde alors, c'était bien lui.. Oui t'inquiètes je te tiens les cheveux. ▲ RAFOU & RORE. EmptyVen 24 Aoû - 2:19

« AMITIÉ FAUSSÉE »,
L'honnêteté est la plus grande de toutes les malices, parce que c'est la seule que les malins ne prévoient pas.
Merde alors, c'était bien lui.. Oui t'inquiètes je te tiens les cheveux. ▲ RAFOU & RORE. Tumblr_m98fpiBbDk1r846dao1_500
Le buste simplement recouvert d'une serviette de bain, tu quittais la salle de bain. Tes cheveux avaient bon dégouliner sur le sol, tu n'y prêtais aucune attention. La cause ? Ton but suprême était de retrouver ton fichu portable le plus vite possible. Tu l'entendais vibrer, pourtant pas moyen de mettre la main dessus. Purée, c'est quoi cette merde encore. T'avais attendu cet appel toute la journée et au moment venu, il fallait que tu le rates. D'un coup, tu le sens du bout de tes doigts. Sous le coussin du fauteuil. Tu t'en saisis à toute vitesse, souhaites décrocher quand l'écran affiche un appel manqué. Sérieux ? Le seum. C'est vraiment la semaine de tous les emmerdes, c'est pas possible. Un long soupire s’extirpe alors que tes poumons et tu tapotes quelques touches sur l'écran tactile avant de le poser sur le bar de la cuisine. L'affaire était morte. Tu allais devoir faire avec. Heureusement pour toi, ta soirée n'était pas totallement gâchée avec le plan qu'avait prévu la petite nouvelle, Aurore. Fraichement arrivée à Montsimpa, tu t'étais surprise à te lier d'amitié avec si vite, sans même lui avoir octroyer tes répliques ironiques, plus qu'assassine que tout ton entourage connaissait. Un vrai exploit te connaissant. Il fallait dire que c'était tellement inné et naturel chez toi. Sans doute que les événements récent avaient un impact sur ta manière de te comporter, un peu comme si tu te transformais peu à peu en une personne parfaitement sociable. Un vrai cauchemar.

Pas le moment de se prendre la tête et de se battre avec tes pensées, il fallait que tu te sèches un peu avant de finir avec la crève. En plein été, ça serait vraiment malin. Le temps de te diriger vers ta chambre, tu savais déjà comment t'habiller dans les moindres détails. Non, tu n'étais pas comme ces bimbos superficielles qui mettaient deux heures à choisir un fichu top. C'était d'une débilité atroce. D'ailleurs, si tu pouvais t'en farcir une ce soir en boite, ça serait juste parfait. Histoire de te défouler un peu. T'avais clairement l'impression que ça faisait des lustres que tu n'avais pas humilier une personne. Limite, un manque s'était creusé en toi. Enfilant une robe épousant tes formes parfaitement et tes escarpins, tu observais ton reflet dans le miroir. Parfait. Soudain, la porte résonnait. Aurore sans doute. Abandonnant ton reflet, tu quittais ta chambre afin de lui ouvrir. Un bonjour, un sourire et tu t'excusais auprès d'elle en lui disant qu'elle pouvait faire comme chez elle et que tu devais finir de te maquiller. « Ramènes toi, je t'ai fais un truc. Tu vas m'appeler maître. » Tu pouffes de rire en terminant les dernières retouches de mascara et tu vas retrouver ton amie dans la cuisine. « Appelle-moi d'abord dieu, après on verra. » Elle te présente fièrement une boisson qu'elle venait de concocter avec soin. C'est qu'il paraissait vraiment alléchant ce cocktail. « Alors ? » Mais qu'elle impatiente dit-donc. Portant tes lèvres contre le verre, tu goutais à cette fameuse boisson. « Infecte. C'est bien une boisson à ta hauteur. » Et bam, première taquinerie de la soirée. Tu rigoles. Ce que ça fait du bien de rire et d'oublier ses tracas. Tu reposes alors tes lèvres sur ton verre pour finir par le boire cul sec. « Si on veut profiter de la soirée, autant ne pas y aller de main morte. » Tu offres un clin d'oeil à Aurore en fixant son verre qui était encore à moitié plein.

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MessageSujet: Re: Merde alors, c'était bien lui.. Oui t'inquiètes je te tiens les cheveux. ▲ RAFOU & RORE. Merde alors, c'était bien lui.. Oui t'inquiètes je te tiens les cheveux. ▲ RAFOU & RORE. EmptyVen 24 Aoû - 2:44

J'entrais chez elle sourire aux lèvres, la salua et exécuta sa demande en faisant comme chez moi. Après ma boisson préparée, j'attendais le verdict de madame. Le petit rire que j'eus en entendant ma réponse voulait tout dire. « Crève. » Lui dis-je gentiment avant de reprendre une gorgée. On m'avait parlé de Rafaelle à plusieurs reprises, mais disons que les critiques n'étaient pas très fameuses. Non pas qu'elle n'était pas aimée, mais disons que son franc parlé et ses douces remarques étaient connues dans Bridgeport. Moi qui étais de nature douce et gentille -fille modèle n'est-ce pas? j'avais depuis quelques temps la mauvaise habitude de me préoccuper de rien, de vivre comme bon me semble, fréquenter qui me plait et ouvrir les cuisses à qui je veux. C'est d'ailleurs depuis ma rencontre avec Rafaelle qu'un côté méchant me vint. Méchant ? Non, quel bien grand mot. Disons que chacune de ses remarques sarcastiques me font désormais sourire, alors qu'il y a des années, je lui aurai crachée au visage plus d'une fois.
Je la vis terminer son verre cul sec, ce qui me fit sourire.
« Si on veut profiter de la soirée, autant ne pas y aller de main morte. » Elle n'avait pas tord. Je finis à mon tour mon verre cul sec et regardais sa tenu une seconde, avant de baisser le regard vers mes jambes. Passer d'une robe taillée sur-mesure à un jean m'a fait réaliser que Coolidge était contrairement à moi, prête à partir. « Je paye ma clope, tu roules pendant que je me prépare ? » Lui dis-je en me levant, attrapant mon sac au passage. Je la regardais, sourire aux lèvres ne sachant pas vraiment si elle partageais l'une de mes mauvaises habitudes. Je fouillais dans mon sac, pris mon paquet et déposais une cigarette sur la table puis sentis mon portable vibrer. Appel, message ? C'était l'éternelle question que je me posais dès lorsque je le sentais vibrer. Je crue recevoir un appel, mais non. Belle chute n'est-ce pas ? Je me dirigeais enfin vers la salle de bain mais regardais Rafaelle avant de franchir la porte. « Bois pas tout. » Lui dis-je en souriant, avant de lui faire un clin d'oeil et d'entrer enfiler ma robe.
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MessageSujet: Re: Merde alors, c'était bien lui.. Oui t'inquiètes je te tiens les cheveux. ▲ RAFOU & RORE. Merde alors, c'était bien lui.. Oui t'inquiètes je te tiens les cheveux. ▲ RAFOU & RORE. EmptyMer 29 Aoû - 18:43

« AMITIÉ FAUSSÉE »,
L'honnêteté est la plus grande de toutes les malices, parce que c'est la seule que les malins ne prévoient pas.
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« Crève. » Un mot suffisait pour commenter ta taquinerie et elle avait réussis à le choisir avec soin. T'aimais bien ce côté là chez Aurore. La plupart des gens auraient été vexés et n'auraient rien trouvé de marrant à te plaisanterie. Beaucoup, sauf elle. Plus tu la fréquentais et plus tu te surprenais à apprécier sa compagnie ce qui n'avait pas été gagné au début. On ne peut pas dire que tu avais été tendre avec, loin de là. Pourtant, au final, tu lui avais laisser une chance de te convaincre et voila où vous en étiez arrivées à présent. A vous taquiner sur le cocktail qu'elle venait de préparer. « Je sais que t'en rêve, mais c'est pas prêt d'arriver. » Petit clin d'oeil. « Mais attends, j'espère que tu n'as pas empoisonné mon verre. » Tu fais de grands yeux avant de lâcher un léger rire. Tu finissais par hausser les épaules en buvant ton verre cul sec. Tu n'étais pas une petite joueuse et si vous deviez vous éclater ce soir, autant entrer dans l'ambiance tout de suite. Tu reposes délicatement ton verre sur la table basse en regardant Aurore sourire. Tu n'hésites pas à lui lancer une sorte de défi histoire de voir qu'elle genre de joueuse elle est. Parce que c'est certain que si elle ne sait pas jouer, autant la jarter tout de suite et trouver un autre pion à aller soûler. D'un coup, son verre s'était retrouvé vide à son tour. Pas mal, ça te plaisait. Un rictus s'affichait le long de tes lèvres. Ce même sourire qui ne tarderait pas à s'élargir une fois qu'Aurore te filerait de quoi rouler une petite source de plaisir intense. Intense, oh que oui. Pour toi qui étais du genre à apprécier les petits extras du genre, c’était du pain béni. « Je paye ma clope, tu roules pendant que je me prépare ? » Tu acquiesces en le regardant poser une clope sur la table avant de rejoindre la salle de bain. « Bois pas tout. » Tu affiches ta mine tout innocente. « Alors traine pas trop. » Sans te faire prier tu commences à rouler ce fameux bedo avec brio et envie. Pour terminer, d’une main de maitre, tu scelles les deux extrémités de la feuille et hop, le voila terminé. Il était parfait. « C'est pas que tu te fais longue, mais c'est tout comme. On ne va pas t'attendre infiniment. » On ? Oui on, le spliff et toi. Argument de taille, tu étais persuadée qu'elle accourait près de toi histoire d'être certaine de ne pas rater votre petit extra. Sans plus attendre, tu le portais à tes lèvres pour l'allumer comme il se devait.

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