quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA)
TOP PARTENAIRES DE PWL

plus?vous?voter


MEMBRES DU MOIS
PWL

RPGISTE DU MOIS
Adel De Lavauderie

RPGISTE DU MOIS
Chuck B. Onekung

AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Fermeture de PWL.
-28%
Le deal à ne pas rater :
Précommande : Smartphone Google Pixel 8a 5G Double Sim 128Go ...
389 € 539 €
Voir le deal

Partagez

quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité
Invité



quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) Empty
MessageSujet: quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) EmptySam 19 Jan - 18:06

Il arrive par moment de m'ennuyer de sa présence. L'embêter étant un de mes passes-temps favoris, il est normal que j'en ressente le besoin. Assis à mon poste au supermarché, je fais défiler les produits uns à uns, mais j'ai clairement l'esprit ailleurs. « Monsieur, vous venez de passer cinq fois mon article, il faudrait peut-être passer au suivant ... ». Une vieille bique qui m'apprend comment faire mon métier, mais où va le monde. Je la fixe d'un regard noir avec mes yeux plissés. C'est censé me rendre effrayant, sauf qu'elle se contente de soupirer. Elle se casse et je passe au client suivant. J'ai perduré ainsi, assis sur ce siège de merde, pendant des heures. Jusqu'à la fermeture, en fait. Une fois les portes closes et la grille baissée, je me suis demandé ce que j'allais bien pouvoir faire. Au bar me bourrer la gueule ? Du déjà vu. Il faut que je change ma routine. Que je prenne des risques. Soudain, l'image du visage de Velvet me parvint. Cela me paraît une excellente idée que d'aller lui rendre visite. Elle sera agacée de me voir et je n'en serais que ravie. C'est donc avec une bouteille de vodka en main, que je me suis dirigé vers le quartier des riches. Un quartier dans lequel j'ai rarement mis les pieds. Étant déjà venu pour déposer la charmante Cortès, je sais laquelle de ces immenses baraques est la sienne. Poster devant comme un con, je prends les devants en pénétrant sur la propriété. C'est si calme, il n'y a pas un chat. Peut-être qu'il n'y a personne ? Dans ce cas je me consolerais avec ma bouteille. Qu'importe ta situation, elle sera toujours présente à tes côtés pour te consoler ou t'occuper. Arrivant devant une immense porte, je finis par sonner. Attendant comme un con, bouteille en main, je dissimule celle-ci derrière mon dos, dans le cas où ça serait son vieux qui ouvrirait. Au final c'était une idée débile que de venir ici. Je me sens soudainement bête et m'apprête à partir. Mais la porte s'ouvre.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) Empty
MessageSujet: Re: quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) EmptyDim 20 Jan - 15:22

Personne à la maison, tranquille. Les parents sont au travail ; ou plutôt papa passe à l'entreprise voir si tout se passe bien et maman fait les magasins avec les femmes des investisseurs, et les soeurs sont de sortie je ne sais où. C'est leur problème après tout, chacun sa vie. Je fais la mienne de mon côté. Et aujourd'hui ma vie se résume à me mettre du vernis devant mon émission favorite. J'avais redisposé le salon selon mes envies, de sorte que les deux canapés soient l'un en face de l'autre et que je puisse poser mes pieds dessus pour faire de la peinture sur mes ongles. J'avais sorti toute ma collection de vernis et les avait mis à côté de moi, mais ne réussissais pas à savoir lequel je souhaitais mettre. Franchement c'était dur la vie. Après de longues minutes d'intense réflexion, à réfléchir par rapport à ma tenue de ce soir, et aussi à qui j'allais voir cet après-midi, je choisis le bleu marine et commence mon travail d'artiste. Ce n'était pas rien d'être une fille, il fallait attendre que ça sèche et tout le reste après. Epuisant. J'écoute d'une oreille l'émission qui passe donc à la télévision et rigole de temps à autre lorsque le personnage principal sort une connerie. Le temps passait lentement cet après-midi, et c'était tant mieux parce que j'avais encore plein de trucs à faire, me dis-je en jetant un coup d'oeil par la baie vitrée asorbant le soleil hivernal. Ding dong. Je sursaute légèrement, ce qui a pour effet de me faire dépasser avec le vernis. J'en ai mis partout du coup. « Roh putain.. » Il y a intérêt que la personne qui sonne ait une bonne raison de me déranger en pleine action. Je me lève et vais ouvrir, le mec a de la chance la porte est pas loin. « Ouais ? » je demande, d'un air blasé, tout en mâchant grossièrement mon chewing-gum. Vu la tenue qu'il a, ça doit sans doute être un livreur que Velvet ou Casey a appelé pour des sushi ou autre. Ou peut-être bien Marissa, la bonne de la famille. Vu qu'elle a le droit maintenant je lui ai dit. On a tellement d'argent qu'on ne sait pas quoi en faire alors autant que ça serve. « Ah, bah dépose ça là. » je lui dis en montrant un guéridon pas loin de l'entrée, tout en laissant la porte ouverte, avant de me tourner à nouveau vers la télévision.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) Empty
MessageSujet: Re: quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) EmptyDim 20 Jan - 18:14

« Ouais ? » Elle ressemble à Velvet, elle a la même chevelure que Velvet, peut-être ses yeux et sa bouche, sa silhouette également, mais ce n'est pas Velvet. Dégageant une confiance sans faille, elle m'apparaît comme étant le contraire de la jeune Cortès que je connais. Celle-ci utilise un ton et une attitude nonchalante à mon égard. Je me sens soudainement de trop. « Ah, bah dépose ça là. » . Pour qui elle me prend ? J'ai tant la gueule d'un livreur ? En plus je n'ai rien en mains, donc comment pourrais-je être comparé à un livreur. Je la regarde interloqué, laisse quelques secondes de blanc pour finalement lui répondre. « Mademoiselle a beau péter plus haut que son cul, mais je ne suis pas ton larbin. Non ! Je suis venu voir Velvet. Donc si elle est là, tu pourrais ... je ne sais pas, la prévenir ! ». Lui dis-je sous un sourire légèrement forcé. Je me mets simplement à son nouveau. Elle vient à moi en se prenant pour la reine d'Angleterre, je peux donc lui répondre sur le même ton. M'accoudant dans l'encolure de la porte d'entrée, je la passe rapidement sous scanner. Pour infos, je la dévisage simplement de haut en bas afin d'en faire ma propre opinion. Mignonne. Ça doit être un gêne spécifique aux Cortès. Et voyant que Mademoiselle ne daigne pas bouger son joli petit cul, je reprends. « Tu comptes rester planter là ? Ou accueillir comme il se doit l'invité que je suis ? Bien que votre seuil soit joliment décoré ... ». Voilà que je fais un peu d'ironie. Je ne la connais, c'est la première fois que je la vois, mais ce n'est pas pour autant que je vais perdre mes bonnes manières. J'attends une quelconque réaction de sa part, en attendant je me permets de jeter de rapides coups d'oeil à l'intérieur de l'immense baraque. « Chouette maison » Dis-je pour combler le vide.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) Empty
MessageSujet: Re: quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) EmptyDim 20 Jan - 22:26

A la télé, le personnage principal vient de se casser la figure par terre, sa copine est inquiète et se met à pleurer, puis c'est c'est tellement bête que je me mets à rire. Je me mets à rire puis je me rappelle que je ne suis plus toute seule, qu'il y a cet inconnu qui vient de frapper chez moi. Bon alors, il a déposé les sushi c'est bon là ? Je peux fermer ? Je me tourne à nouveau vers lui et jette un coup d'oeil au guéridon, qui est pourtant resté intact. Agacée, je lève mes yeux vers lui mais il parle avant que j'aie le temps de râler. « Mademoiselle a beau péter plus haut que son cul, mais je ne suis pas ton larbin. Non ! Je suis venu voir Velvet. Donc si elle est là, tu pourrais ... je ne sais pas, la prévenir ! » J'arque un sourcil, amusée. Le mec a l'air affolé d'être face à moi plutôt que Velvet, c'est pas tellement mon problème, on est au 21ème siècle, les messages n'arrivent plus par pigeon voyageur au bout de trois jours, il avait qu'à être mieux informé. Et maintenant c'est de ma faute, elle est bien bonne celle-là. Tiens d'ailleurs. « Montre voir. Tourne-toi. » J'attends que le mec s'exécute. « Ah oui, t'as des jambes. Tu peux donc aller la chercher, tu te débrouilles. » Sans gêne je touche la poche de son jean qui a une bosse ; il a même un portable et même pas foutu de se renseigner. « Tu veux que je t'apprenne comment rédiger un sms peut-être ? » Allez, oust maintenant. De toute façon Velvet n'est pas là. Ou alors elle est dans sa chambre et je n'en savais rien, de toute façon qu'elle soit là ou pas cela ne change rien, cette fille est transparente. Je baisse les yeux vers mes pieds et me rends compte que le vernis qui a débordé va sécher et ça m'agace d'autant plus. J'ai d'autres priorités que d'aider ce garçon. Mais il n'a pas l'air décidé à bouger, non au contraire il commente les décorations de la maison. « Tu comptes rester plantée là ? Ou accueillir comme il se doit l'invité que je suis ? Bien que votre seuil soit joliment décoré ... » Je ne relève pas, visiblement il attend de moi que je m'énerve et honnêtement j'ai d'autres chats à fouetter présentement. Mon vernis.. Mais ce mec est gonflé, c'est intéressant à voir. « Bah vas-y installe-toi en attendant qu'elle arrive, monsieur l'invité qui s'est invité tout seul, mais je te préviens après vous allez ailleurs je veux pas de vous ici. » Je ferme la porte derrière lui. « Chouette maison. » « T'as vu. » Vu la tête qu'il fait la sienne ne doit pas ressembler à la notre. Il a l'air plus paumé qu'autre chose et je me demande ce qu'il fiche dans le quartier. Bientôt je m'aperçois qu'il tient dans sa main une bouteille de vodka. Donc il est vraiment livreur je ne rêve pas ? « Ah j'en avais plus ça tombe bien. » je fais, tout en attrapant la bouteille. « Et sinon tu venais voir Velvet pour.. ? » Je pose la question parce que ça m'étonne vraiment qu'elle ait de la visite. Déjà, personne ne vient jamais voir Velvet, de deux, elle a des potes cette fille ? Je fais la conversation pour qu'il reste dans le salon parce que mine de rien je me dis que c'est peut-être un voleur, si ça se trouve c'est une embuscade et il attend juste que je retourne m'asseoir pour filer à l'étage et tout chiper. Vous rigolez mais c'est déjà arrivé, une fois. Ça aurait dû m'apprendre à ne pas ouvrir aux inconnus, mais ça n'a pas marché. Trop têtue, comme dit maman. Enfin, d'habitude ce n'est pas moi qui ouvre.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) Empty
MessageSujet: Re: quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) EmptyLun 21 Jan - 18:02

Elle me prend mon con et je n'apprécie guère son ton. Sauf que la petite bourge s'en balance. Du coup je préfère ignorer ces dires, afficher un magnifique sourire de faux-cul et lui répondre. « Ouais, c'est ça ... ». Mais quelques secondes plus tard, je ne peux m'empêcher de lui demander de réagir. Deux de tensions. Nous ne sommes pas tous ses larbins. Il faut que la petite princesse descende de son piédestal. « Bah vas-y installe-toi en attendant qu'elle arrive, monsieur l'invité qui s'est invité tout seul, mais je te préviens après vous allez ailleurs je veux pas de vous ici. » . J'acquiesce ces paroles d'un signe de tête. Je suis plus subjugué par l'immensité de la maison que par sa présence. Agaçante comme elle est, elle n'est d'aucune utilité. Sauf peut être pour faire la potiche. Pour ça, elle est très douée. Et je dis ça, sans même la connaître. Pour dire qu'au premier abord, ce qui dégage de cette femme est sa manie de faire chier les gens. « T'as vu. » . Ne te la pète pas trop non plus. Mais il est vrai que je dois tirer une tronche de gamin devant une vitrine de bonbons. C'est-à-dire les yeux ronds, émerveillés et intrigués. Me concernant, ce n'est pas autant, mais je suis tout de même impressionné. On va dire que je ne vais que rarement dans ce genre de baraque. Voir jamais. Je me contente de mon appartement merdique, mais cosy. Je ne pourrais pas vivre dans un tel endroit. Car c'est certes beau, mais comment peut-on se sentir chez soit avec autant de pièces, de babioles aux murs, de statuettes, (...). « Ah j'en avais plus ça tombe bien. » . Puis voilà qu'elle me sort de mes pensées et me ramène à la réalité en me piquant ma bouteille. La garce. Je n'ai pas le temps de réagir ou même de répliquer, qu'elle ramène de nouveau sa fraise. « Et sinon tu venais voir Velvet pour.. ? » « Pour la sauter ... » dis-je tout en récupérant de ses mains, ma bouteille. « Et désolé ma belle, ceci m'appartient .. ». C'est dingue comment cette fille est aux antipodes de Velvet. Mais d'ailleurs, une question existentielle me vient à l'esprit. C'est qui ? La jeune femme ne me parle jamais de sa famille, donc je n'ai aucune idée si elle a des frères, des soeurs ou autre. Je ne suis pas un adepte des magasines people ou autres conneries du genre, donc je ne sais pas qui est la famille Cortès. Je savais qu'ils étaient riches, mais point. Du coup tout en la dévisageant de haut en bas, je reprends. « Et sinon tu es ? Ah non, laisse-moi deviner, la bonniche ? ... et tu dois comprendre que l'espagnol ..., dónde está Velvet ? ». Elle m'a traité de livreur, je peux tout aussi bien la traiter de bonne. Oeil pour oeil, dent pour dent. Même si je ne sais vraiment pas qui elle est (...).
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) Empty
MessageSujet: Re: quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) EmptyMar 22 Jan - 2:04

« Ouais, c'est ça ... » Je n'entends même pas ce qu'il marmonne dans sa moustache et dans tous les cas ça ne m'intéresse pas. Ce qui se passe à la télé est cent fois plus intéressant que ce mec qui visiblement n'est venu ici simplement que pour m'emmerder. Velvet n'est pas là, il faut que je le lui dise en quelle langue ? De toute façon je ne parle que l'anglais alors ça ira vite. A ce propos les parents font d'ailleurs la tête que je ne sache parler ni italien ni espagnol, les deux langues réunissant la famille Cortès, mais pour tout dire je m'en fous et je ne vois pas à quoi ça pourrait bien me servir dans la vie. C'est aux autres de s'adapter à moi. Pas l'inverse. Je propose à l'inconnu de prendre plus ou moins ses aises, ce dont il devrait déjà se ravir, mais il trouve encore de quoi m'agacer. « Pour la sauter ... » Au fond de moi je me dis qu'il est gonflé, de dire ça à la soeur de la concernée, mais de l'extérieur on ne voit que mes épaules qui se haussent dans un mouvement las. « Mais encore ? » Ce garçon ne manque pas d'air. Mais après tout si Velvet a encore des plaisirs dans la vie, c'est tant mieux pour elle. J'aimerais juste savoir qui est cet inconnu qui est chez moi. Il reprend son dû de mes mains et je me crispe, irritée. Il fait quoi là ? « Et désolé ma belle, ceci m'appartient .. » « Je pensais que c'était un présent pour la famille de ta bien-aimée, je croyais que t'étais quelqu'un de bien élevé, navrée de m'être trompée. » Puis merde un petit cocktail là tout de suite je n'aurais pas dit non. J'ai déjà tout ce que je désire dans le bar mais il faut traverser la pièce pour aller dans celle d'à côté et cela est trop d'effort. J'ai bien la clochette pour sonner Marissa mais même ça je n'en ai pas la force. Je hausse les épaules à nouveau, je vais pas me battre pour sa pauvre bouteille merdique qu'il a sans doute trouvée dans un supermarché bas de gamme, c'était juste histoire de le titiller. Je commence à me rasseoir sur le canapé et à reprendre mon activité comme si de rien n'était. Mais le mec semble s'ennuyer puisqu'il fait la conversation à nouveau. Ou plutôt.. « Et sinon tu es ? » Ceci explique donc cela. Voilà pourquoi il me parle comme ça depuis tout à l'heure. Nul doute qu'il n'aurait pas osé dans le cas inverse. « Ah non, laisse-moi deviner, la bonniche ? ... et tu dois comprendre que l'espagnol ..., dónde está Velvet ? » Ce mec fait-il exprès ou est-il juste con ? Est-ce qu'il sort de sa grotte parfois ? Ne pas connaitre les Cortès, voilà un comble. C'est bien la première fois qu'on me fait le coup. Mon sang ne fait qu'un tour, je me lève et lui colle une gifle cinglante. « Ça t'arrive d'ouvrir les journaux ou d'allumer la télé ? » Ce mec est plus odieux que tout ce que j'avais pu imaginer. Me parler ainsi, en espagnol de surcroît, comme si j'étais la bonniche du coin. Mais si les femmes de ménage étaient son kif, je pouvais toujours lui présenter Marissa, nul doute qu'elle devait se trouver à sa hauteur.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) Empty
MessageSujet: Re: quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) EmptyDim 27 Jan - 16:13

« Mais encore ? » . Que lui faut-il de plus ? Un dessin peut être. Je ris, je baisse le menton, puis je finis par lui répondre sur un ton plus qu'amusé et légèrement moqueur. « La sauter n'est pas assez claire ? Il te faut en plus une petite démonstration ? ... ». Dis-je ironiquement. Par son air hautain et sa façon de se sentir supérieur, elle me fait rire. Rire, parce qu'elle est si pitoyable. Comment peut-on péter plus haut que son cul comme elle le fait ? Je suis moi-même une personne assez égocentrique et il est évident que je manque de tact, d'une éducation, mais je ne suis pas pour autant prétentieux et vantard. D'un côté, la demoiselle a de quoi se la péter, vu la baraque dans laquelle elle vit, mais ce n'est pas une raison d'être aussi désagréable. Heureusement que j'ai des couilles en bétons et de la répartie, sans quoi je me serais fait écrabouillé par cette sorcière. En plus, cela m'amuse. Après lui avoir repris des mains ma bouteille, celle-ci se permet de me répondre. « Je pensais que c'était un présent pour la famille de ta bien-aimée, je croyais que t'étais quelqu'un de bien élevé, navrée de m'être trompée. » « Navré de te décevoir, quoi que ... je m'en branle ma jolie .. ». Lui répondis-je en lui adressant un petit clin d'oeil. Je peux me montrer aussi agaçant que cette pimbêche. Je suis très doué pour ennuyer les gens. On me trouve rapidement chiant et agaçant. Sans gêne également. Cela me fait davantage sourire. Puis voilà qu'une question existentielle vint se poser à moi. Qui est cette meuf ? « Ça t'arrive d'ouvrir les journaux ou d'allumer la télé ? » . Dit-elle tout en me giflant au visage. En plus d'être une vraie chieuse, elle est violente. Je ne régis pas, ignore son geste. Je me contente simplement de souffler. « Pauvre fille ... » puis j'y ajoute un petit rire sarcastique. « Je ne passe pas mon temps à feuilleter le ramassis d'immondices que pondent les journaux people ... j'ai une vie ma jolie ! ». Bouteille en main, je me dirige vers le salon et un des canapés qui le compose. Je m'y installe, comme si j'étais chez moi, puis remarque la débilité qu'elle était en train de visionner. Je me moque d'elle, détourne mon regard vers celle-ci et lui dis sur un ton railleur. « Tu regardes ce truc ? ... franchement, ça craint. Mais je ne vais pas te blâmer pour ta stupidité et ta naïveté d'être accroc à ce genre de débilité. ». Je m'étale sur le canapé, m'y installe confortablement et continu la conversation. « Sache que je n'ai pas apprécié la petite baffe. Une chance pour toi que je ne m'attaque pas aux filles et aux faiblardes. ». Avec mes paroles, je sens que je vais m'en prendre une deuxième. Mais je m'en moque. Ouvrant ma bouteille, je bois deux-trois gorgées au goulot, puis finalement tout en lui tendant celle-ci, je lui propose. « Une petite soif ? ». Car ayant conclu que Velvet n'était pas en ses lieux, je me suis dit qu'entre temps, je pouvais m'occuper en la délicieuse compagnie de cette chose, ou femme, comme vous voulez.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) Empty
MessageSujet: Re: quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) EmptyMar 29 Jan - 19:48

Velvet a plutôt intérêt à se magner, j'en ai assez de faire la charité avec ce garçon, on le fait déjà suffisamment avec maman dans ces gala à deux balles pour donner une bonne image de la famille. Le temps c'est de l'argent, or là je n'avais pas le temps. Pas pour lui du moins. Ma journée aurait pu être plus productive si j'étais sortie dehors me faire mitrailler par les paparazzi, ça leur aurait donné un sujet intéressant duquel parler dans leurs magazines: Moi. Mais non je suis là à me faire enquiquiner par un mec qui sort de je ne sais où. « La sauter n'est pas assez clair ? Il te faut en plus une petite démonstration ? ... » Je lève les yeux aux ciel et me tape le front dans un geste désespéré. Donc ouais il est vraiment con, il ne le fait pas exprès. « C'était pas la question. » Mais apparemment à lui aussi il faut lui faire un dessin. « Je voulais savoir d'où tu sors, en fait. » Parce que ses explications ne sont pas très claires et que j'estime qu'il est un minimum normal de savoir qui entre chez moi, même si j'en ai pas grand-chose à faire, au moins je le teste et ça passe le temps en attendant que l'autre conne arrive. Au fur et à mesure de la conversation, je comprends qu'il compte rester là un petit moment. Autant me faire à l'idée, il a l'air aussi borné que moi. Deux têtus dans la même pièce, ça ne fait jamais bon ménage. Mais il m'empêche de rester calme, j'ai beau essayer de me modérer dans mes propos ou mes gestes, rien n'y fait. Quoi que, non, je n'ai pas vraiment essayé en fait. Pas du tout même. Je me lève et le gifle. Pas pour lui faire mal, après tout c'est une gifle de fille, on sait tous que ça fait pas mal, juste pour le secouer. « Dernière fois que tu t'adresses à moi de cette façon. » Je le lui interdis. Mes yeux ne blaguent pas. Je ne sais vraiment pas pour qui il se prend, mais il est doté d'un sacré culot. Alors je lui conseille de s'informer avant de s'adresser à moi de cette façon, nul doute qu'il changera de comportement après ça. Or sa réponse me laisse perplexe. « Je ne passe pas mon temps à feuilleter le ramassis d'immondices que pondent les journaux people ... j'ai une vie ma jolie ! » C'est tellement ridicule que j'éclate de rire. Une vie, lui ? « Merci pour l'énorme blague. » je concède avec sincérité, avant de lui tapoter l'épaule avec un regard faussement compatissant mais aussi plein de pitié, tout en continuant à rire. De nous deux ce n'est pas moi l'immondice ici. Comment peut-il connaitre Velvet mais ne pas savoir qui est sa famille ? Ça me dépasse un peu et je n'arrive pas à suivre sa logique mais je ne vais pas non plus chercher à savoir le pourquoi du comment, tant pis pour lui quoi. N'empêche que je suis sûre qu'il fait ça juste pour m'énerver. Être aussi ignorant n'est pas vraiment possible. Il y a des limites à la connerie. Du moins, j'espère pour lui. Le mec va s'installer dans le canapé, je ne dis rien mais vais m'asseoir à côté de lui pour surveiller ce qu'il fait, sait-on jamais. Il se met à se foutre de moi par rapport à l'émission que je regarde, puis aussi me fait savoir que la "petite baffe" est mal passée. « Dommage le rose aux joues te va bien pourtant. » je ricane. Puis il me fait une liste d'adjectifs élogieux qui lui viennent à l'esprit me qualifiant. Stupide, naïve, débile, faiblarde.. Mh ? « Bah c'est tout ce que tu as en stock ? Tu n'ouvres pas plus souvent les dictionnaires que les magazines apparemment. » Je fais une petite moue, désolée pour lui de ses lacunes de culture dans visiblement un peu tous les domaines. S'il cherche à m'énerver c'est dommage, ça ne marche plus. Ce qu'on pense de moi me passe pas mal au-dessus de la tête, depuis le temps. « Une petite soif ? » L'inconnu se met à boire au goulot de sa bouteille à la noix alors qu'il est affalé sur mon canapé ; c'est une blague ? Je le bouscule de sorte qu'il arrête ça, mais en faisant attention qu'il ne renverse pas non plus le liquide partout. Les insultes je m'en fous, mais le canapé c'est important. Enfin après s'il veut avoir affaire aux foudres de papa Cortès c'est lui qui voit. « Tu t'es cru chez toi à la porcherie ou quoi ? » je gueule, indignée. Ce garçon est vraiment mal élevé, ça me rend dingue. « Et sinon l'alcoolique il a un prénom ? » Non parce que l'appeler "l'inconnu" dans ma tête ça va bien cinq minutes.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé



quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) Empty
MessageSujet: Re: quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA) Empty

Revenir en haut Aller en bas

quand ce n'est pas l'une, c'est l'autre (DEVA)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» who's laughing now ? • cooper & deva.
» i got a hangover. • noam & deva.
» Deva ◮ Respect ?! Oh come on, who cares, he's dead !!
» Blaine ϰ Toujours présente quand j'ai besoin de conseils, ou tout simplement quand j'ai besoin d'une amie.
» t'as aucun amour propre, j'te méprise, dégage ▬ deva + velvet.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
THE SIMS™ play with life. :: 404 ERREUR :: DEMOLIR LE TERRAIN :: Corbeille PWL 2.0 :: Cimetière rpgique-