el mañana. (lulla)
TOP PARTENAIRES DE PWL

plus?vous?voter


MEMBRES DU MOIS
PWL

RPGISTE DU MOIS
Adel De Lavauderie

RPGISTE DU MOIS
Chuck B. Onekung

AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Fermeture de PWL.
Le Deal du moment : -40%
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 ...
Voir le deal
59.99 €

Partagez

el mañana. (lulla)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité
Invité



el mañana. (lulla) Empty
MessageSujet: el mañana. (lulla) el mañana. (lulla) EmptyLun 27 Jan - 7:41



el mañana
les lucioles pendent dans le vide et se décrochent du plafond. ça ressemble à des petites étoiles sur fond blanc. oh. c'est hypnotique. dans le genre fresque visuel d'une vodka saveur mystique. je m'enfonce, les doigts serraient autours d'un verre en plastique, craquelé. je murmure, je chansonne, du bout des lèvres. it's alright, it's alright now don't panic too soon, kuz my love ,well, all my love is there for you. for you. c'est la radio qui crache un air de tin sparrow pour se donner un petit air de bobo aguichant. know the truth. c'est le théâtre des douceurs de coton. ça se bécote du bout des lèvres, ça se caresse contre le mur, comme des adolescents. ça boit dans le même verre et ça joue aux grands. ça rit très fort, comme pour réveiller des morts. puis ça se confie, ça pleure un peu, de ces fumées qui piquent les yeux. j'ai prévu d'aimer ce soir, dans le genre une fois encore. une brune à l'air fatal, lèvres cerise profonde et far aux joues. un brun énigmatique, de l'océan sous les paupières. une baby doll aux cheveux blond, les cils allongés, rêves lointains. j'ai prévu d'oublier dans d'autres draps. de lécher un placebo, de toi. alors voilà. je me lève, m'accroche au fantasme de d'autres bras. le verre craquelé est abandonné. j'avale une gorgée d'une boisson d'un lointain blanc troublé. le litchi caresse ma langue et j'ai le regard qui pétille. dans le genre agrandit. tu sais. les pupilles qui voient fois trois. le silence pèse soudainement.
temps mort.
el manana.
summer don't know me no more, eager man, that's all. il y a mon crâne qui danse pour moi. le solo de mon pied contre le sol qui fait un tabac. puis il y a elle, juste là. la baby doll aux cils allongés. sous mes paupières elle est fascinante, d'un niveau tendrement au dessus. si ma tête, elle, elle danse encore, encore et encore. mon regard, lui, il est incapable de la quitter elle. si jolie. ten years passed tonight, you'll flee. je m'approche un peu, bois une gorgée de litchi troublé. j'ai presque de la timidité au bout des doigts. les baby doll comme ça, je ne sais pas les aborder. elle a l'air mille fois plus blanche que moi. je me sens noir. alors je murmure tu sais. je murmure un peu. maybe in time, you'll want to be mine c'est son attention que je veux. c'est à elle, que je veux résumer ma soirée, l'aimer un peu. djali. je m'appelle djali. mes doigts gambadent sur ma nuque. tu as déjà aimer de nuit ? moi oui, tout le temps, depuis toujours. je dois être moi-même l'amour de nuit. tout ce tu sais n'est que placebo. je le connais, moi, le vrai secret. celui qui brûle, qui protège et rend plus fort. c'est un murmure, un secret entre nous. elle donne envie de rêver en grand, de faire les choses différemment. je tend presque les doigts. ils sont l'air doux ses cheveux. je voudrais les caresser un peu. et t'as l'air d'avoir besoin de ça. d'un truc qui rend plus forte.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



el mañana. (lulla) Empty
MessageSujet: Re: el mañana. (lulla) el mañana. (lulla) EmptyLun 27 Jan - 19:24



el mañana
Perle des lunes d’ivoire, elle ne sait ce qu’elle fait en ce lieu de danse où les corps cruauté se confondent, se mêlent, valsent les litanies apprivoisées des amants vermeils ; où les pierres s’échouent sur les rivages insensé des amours lointains. Elle observe, comme à son habitude la fée dans ce territoire déchu de misère, l’espoir frôle les rosées sur quelques joues montrées à ces néons de coton mirifiques des ambiances parcheminées. Elle a fuie peut-être l’oncle, la tante, l’école, les notes, naufragée devenir elle glisse sur des étoffes fleuris sur la chaise brinquebalante, se cache un peu honteuse, des questions tourbillonnantes dans sa caboche, elle se demande de ce que cette nuit sera faite, d’une expérience aboutie, rêvée, dessinée, usée. Son écarlate de verre qu’elle scrute comme ce Graal mirobolant, sa surface transparente et ces vagues de feu c’est du jus de pomme l’enfance secrète dans cette babiole secondée, c’est du fruit sucré s’écoulant sur ses lippes écarquillées de nacre intense. Ses cheveux lâchés non tressé à son habitude clairvoyante glisse entre ses reins de poupée parfumés des nuances fragmentés de bruns et de blond se consument dans la stalle espérée des gens communs, la piste rythme la cadence des soupirants étouffants. Elle se lève soleil rugissant un peu timide un peu branlante, maladroite elle chute les pieds entre des branches d’objets néfastes et elle papillonne l’innocence, elle danse l’exubérance dans ce ciel monotone de pensées sournoises, ivre de bonheur elle le prend en pleine main.
Alors l’homme s’approche gentiment, elle ne le voit pas tout à son rêve grelottant froid de magique précipices des ancêtres qui la protègent le croit-elle. Elle entend l’ombre d’une voix doucement pénétrant ses oreilles de boucle d’argent l’ornant, ses yeux clos dégustent les mots du joli, elle se voit au pays des merveilles d’un prince l’accompagnant dans ce royaume utopique d’étoile luminescentes. Oubliant les soucis elle se noie dans le mouvement de sa bouche qu’elle imagine facilement, sa présence réconfortante tout près d’elle, elle n’ose bouger maybe in time, you'll want to be mine, elle dessine des arabesques avec ses talons flamboyant des vestiges de grâce, femme des prouesses. djali. je m'appelle djali. elle embrasse son nom pur et coloré brume de l’Espagne et des épices pétillante sur le palais. Elle n’est que gel sur les herbes grimpantes dans la jungle des aimés, elle, cette russe à consonnes grumeleuses sur la langue C’est Lullaby la berceuse, le chant doucereux. Les doigts vagabonds dans sa nuque laissent leurs empreintes de loup, de tigre, de chat sillonnant les monts apprivoisés trop tôt, elle se détourne, aperçoit l’Apollon qui la poursuit tu as déjà aimé de nuit ? elle secoue la tête effrayée soudainement, surprise, excitée par la demande j’ai chanté les jours, elle se recule. Scrute le visage prononcé du viril tendre dans la lumière tamisé de la pièce où sa tête se met à tourbillonner par l’émotion embrasée des bijoux rutilants tout ce tu sais n'est que placebo. je le connais, moi, le vrai secret. celui qui brûle, qui protège et rend plus fort.. L’envie trépasse elle penche légèrement la plume, elle veut légèrement la plume se reposer sur les épaules de l’amoureux, découvrir les esquisses des secrets nullement sortit d’entre ses lèvres rugueuses et quel est-il le trésor caché ? L’as-tu dérobé aux pirates ? Aux princesses ? Montres-moi. Magnifique l’étalon devant ses orbes éblouies, qu’a-t-elle fait pour le passionner, avec des sortilèges, des filtres d’amour qu’elle ne possède pas, elle veut toucher sa joue de la forêt de charbon et t'as l'air d'avoir besoin de ça. d'un truc qui rend plus forte.. Son rire cristal résonne sur les murs tapissés flèches que Cupidon de son don avait pourvu la gamine par l’amour et la joie Ai-je l’air si fragile ? Ai-je l’air si jolie ?
Revenir en haut Aller en bas

el mañana. (lulla)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» Lullà-Beth
» crossing lines (lulla)
» BUTTERFLY AND HURRICANES feat Lulla&Mortimer

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
THE SIMS™ play with life. :: 404 ERREUR :: DEMOLIR LE TERRAIN :: Corbeille PWL 3.0 :: Cimetière rpgique-