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retrouvailles. l- gab'

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MessageSujet: retrouvailles. l- gab' retrouvailles. l- gab' EmptyJeu 1 Déc - 16:12

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    L’hiver, saison bénie ou on a froid partout et tout le temps. J’adore cette saison, il faut croire que sentir mes doigts se geler peu à peu et attraper des rhumes à tout va me plait. Non plus sérieusement, j’aime cette saison blanche, ou tout le paysage et la ville semble s’être endormi, c’est si reposant. J’aime la neige, je trouve ça tellement triste comme vision mais tellement joyeux lorsque je vois les gens se rouler dedans. Malgré le fait que j’adore l’hiver, je déteste les conséquences qu’elle a sur mon physique et mon porte-monnaie, pour le premier, j’ai le nez rouge à force de me moucher, la bouche gercée, les joues roses telle un bébé ce qui me rend « mignon » mais plus comme un chiot que comme un mannequin… Pour le deuxième, hiver veut dire noël, nouvel an, donc cadeaux, ce qui implique des dépenses, puisque le collier de nouille a 26 ans fait beaucoup moins plaisir ! Oui je suis comme Picsou, enfin la partie Canard en moins, mais oui je suis toujours en train de compter mon argent, je suis capable de avoir i je perds un centime, et je passe ma journée à vérifier la bourse. Je tiens à mes simflouzes. Enfin malgré mon côté radin, je ne suis pas si terrible que ça ! Si ? Mouarf… Peut-être mais au moins, je suis toujours réglo de ce côté-là. Tout cela pour dire que je déteste acheter mais que je devais bien m’y résoudre. Je devrais d’ailleurs me dépêcher puisque Gabriel m’attends pour faire les courses. Je sortais du cabinet. Le froid me fouetta le visage, j’accélérais le pas pour vite me réchauffer dans le supermarché. Sur le chemin, je sortais mon téléphone et envoyait « on se retrouve dans 5 minutes, ne sois pas en retard, j’ai la dalle. » J’arrivais bien vite. Je me retrouvais dans le supermarché, la petite musique irritante résonnait dans le magasin, tout le monde se hâtait, poussant leurs caddies dans les allées. La plupart des gens avaient les bras remplis de cadeaux, chacun achetait les cadeaux de noël, on voyait ici et là les derniers jeux vidéo, les poupées, les peluches. Je soupirais. Il allait aussi falloir que je m’y mette. Sachant que Gabriel me retrouverait, j’arpentais les allées, à la recherche d’idées. Il me semblait que comme chaque année, j’allais devoir trouver un cadeau à chaque personne et celles-ci feraient de même. Le jour fatidique nous ouvrirons tous nos jolies boites, pour sourire hypocritement alors qu’au fond nous sommes plus que déçus, puisqu’en réalité, personne ne se connait totalement. On ne connait que la partie qu’on laisse entrevoir. Le côté sympathique, on oublie le côté sombre. Il ressort parfois, tel un traitre, mais avec un sourire on le masque. Je déteste noël, c’est une superbe idée d’une équipe marketing, pour faire croire à tous que tout le monde est généreux, alors que nous sommes plus hypocrites les uns que les autres. Ne me faites pas croire qu’on offre pour faire plaisir, pour se faire plaisir. Puisque je peux vous dire que c’est un réel déchirement que de mettre mes simflouzes dans un cadeau qui ne plairera surement pas et qui sera placer dans un placard pour le ressortir aux occasions ou vous êtes présent. Je déteste dépenser mon argent inutilement dans de telles futilités. L’argent ne fait pas le bonheur ? Vous croyez que le SDF que vous croisez chaque jour est heureux ? En fait, je déteste voir tout le monde faire semblant d’être heureux, alors que je ne le suis pas, je ne suis pas heureux, je voudrais m’évader, mais je ne peux pas, alors bêtement je me retranche, je ne suis qu’un homme arrogant, qui semble au-dessus de tout puisque son père est reconnu et qu’il a réussi sa vie et alimente mon portefeuille. Les gens ne voient que les apparences, c’est sans doute aussi bien comme ça !
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MessageSujet: Re: retrouvailles. l- gab' retrouvailles. l- gab' EmptyJeu 1 Déc - 17:03

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La pluie s'était abattue sur Montsimpa sans crier gare. Les gouttes s'écrasaient à toute allure sur la visière de mon casque tandis que je prenais de la vitesse. Ma vespa (on est italien ou on ne l'est pas!) slalomait entre les voitures et sillonnait les rue avec habitude. Voila bientôt cinq ans que je résidais dans cette ville. Bien évidemment, mon Italie natale me manquait, et continuer a vivre à Florence aurait été le rêve, si seulement mon père ne m'avait pas coupé les vivres (cela va de soi...!). Je ne vivais pas à Montsimpa comme j'aurais pu vivre à Florence, mais je m'en sortais bien mieux que je ne l'aurais imaginé, compte tenu de ma situation. A peine mon paternel avait-il évoqué la possibilité de restreindre mon budget (illimité à l'époque) que j'avais lancé des recherches quant à l'obtention possible d'une bourse. Je connaissais mon père et il ne mettait jamais bien longtemps à réaliser ses plans, pour mon avenir dans ce cas précis! Malgré le fait que j'aurai préféré me la couler douce en dépensant notre intarissable fortune (alimentée par les soins de mon trader de père), il était hors de question de finir à la rue comme un moins que rien sans le sou, si misérable que je n'aurais eu d'autre choix que de demander l'asile à un ami. C'était impensable. Ma fierté m'en aurait empêché. Afin que le dessein qu'avaient prévu mes parents pour remettre les idées en place de leur rejeton un peu trop rebelle (moi en l'occurrence) ne se réalise pas, je m'étais ... "sorti les doigts du cul" comme on dit, je m'étais préparé une bouée de secours, et pas des moindres!! Dans la vie je n'avais jamais aimé bosser, pourtant, par un phénomène que je ne saurai jamais expliquer, j'avais un don pour les mathématiques. Situation plutôt cocasse, un dealer de coke ami des chiffres! Toutes les autres matières me passaient au dessus de la tête, mais les maths... Comme ma mère le répétait souvent "en maths ya pas à tortiller du cul, t'as bon ou t'as faux". Contrairement à ce que beaucoup disaient, les maths n'étaient pas un casse tête ! Il n'y a qu'une bonne réponse. Pas trente-six. Pas besoin de peser le pour et le contre, ni de songer aux différents aspects de la chose. Il n'y a qu'un résultat. Rien de plus logique. J'aimais les maths car elles ne permettaient personne de tergiverser. Et surtout, j'aimais cette sensation de défi que je relevais à chaque fois que je me lançais dans la résolution d'une équation. Alors quand il avait fallu me trouver une alternative à ma vie de luxe j'avais songé aux maths. Un très bon ami qui habitait Montsimpa m'avait parlé de l'université de sa ville. C'était d'ailleurs lui que je cherchais à rejoindre à cheval sur mon scooter! Il n'avait pas arrêté de me dire que les bourses que proposait la fac' de sa ville étaient faramineuses si l'on avait le niveau. Alors après tout... J'avais tenté ma chance. J'étais parti quelques jours chez lui et avait passé le concours. En effet les bourses étaient très importantes, cela s'expliquait assez facilement par le nombre qui était accordées. Dix huit. Pas une de plus. Vous savez quoi ? J'ai été le quatrième boursier à sauter de joie ! Ainsi j'étais ici, les poches pleine d'argent (bon ok, pas aussi pleine qu'à Florence), mais les poches pleine de MON argent, près à rejoindre mon pote à la superette du coin comme à chaque fois qu'on prévoyait de se caler chez l'un ou l'autre. Cela faisait quelque temps que je n'avais pas vu ce bon vieux (et je pèse mes mots, mister Fields avait quatre ans de plus que moi) Alex'! Quoique, une semaine comparé aux mois entier à ne pouvoir communiquer que par lettre. Finalement, je n'allais pas me plaindre. Je voyais enfin l'enseigne lumineuse de la superette s'illuminer, je prenais soin de me garer à côté de l'entrée et pénétrais à l'intérieur. J'ouvrais mon blouson en cuir afin d'y récupérer mon portable. Je découvrais le SMS d'Alex et lançais des regards de toutes parts afin de le retrouver. Quelques rayons plus loin, je mettais enfin la main sur mon ami, rayon... chocolats. Original en cette période de fête ! « Alex ! Je t'ai déjà dis cent fois que tu te faisais du mal en regardant ces friandises ! Tu devrais faire gaffe à ta ligne, surtout si tu traines avec moi! » Je lui lançais un clin d'œil pour plaisanter et posais mon regard sur son ventre qu'on aurait davantage pu qualifié de musclé que de rebondi!
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MessageSujet: Re: retrouvailles. l- gab' retrouvailles. l- gab' EmptyVen 2 Déc - 22:15

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    La musique résonnait dans le magasin, à cette heure-là c’était l’affluence, chacun venait faire ses courses après le travail ou les cours. Les gens se pressaient dans les rayons, se bousculant les uns les autres, réfléchissant en même temps à ce qu’ils pourraient bien manger. Je déteste vraiment devoir me faire à manger, non pas que je ne sais pas le faire, je sais plutôt bien me débrouiller mais je n’ai jamais d’idées, si bien que je finis avec un plat à emporter, tout me semble insipide, sans intérêt, alors autant finir avec quelque chose pour lequel je ne me serais pas décarcasser pendant des heures pour l’engloutir en moins de temps qu’il m’aura fallu pour juste trouver l’idée. Je marchais entre les allées et une attira mon attention, celle des chocolats. Je savais exactement pourquoi, non pas que je sois gourmand, (non quand je vois le prix exorbitant de ces sucreries qui ne feront rien à part vous satisfaire deux secondes et après sadiquement vous devrez lutter contre vous-même pour ne pas en reprendre…) ça me fait seulement penser aux gâteaux, plus précisément aux cookies d’Appoline. Elle adorait déjà faire des pâtisseries lorsque je l’ai revu au collège, elle cuisinait déjà parfaitement tous les gâteaux possible. Moi qui à l’époque n’avait jamais vu un rouleau de pâtisserie de ma vie. Je me souviens nostalgiquement de nos après-midis passées à regarder des films d’horreur, (tout en essayant de déterminer lequel de nous deux avait le plus peur !) elle cuisinait des tas de gâteaux que je dévorais pour éviter de regarder les scènes qui faisait peur, il m’est d’ailleurs arrivé plusieurs fois d’avaler de travers suite à un sursaut. En pensant à ça, je regarde le chocolat, je me souviens qu’elle adorait en prendre avec son thé, un sourire nait sur mes lèvres à ce souvenir. Puis j’entends la voix de Gabriel, il me tire de mes pensées, malgré que ces souvenirs entrainent un sentiment de cœur qui se serre, je ne veux pas m’arracher à ces souvenirs de bonheur, malheureusement, je suis déjà redescendu sur terre. « Alex ! Je t'ai déjà dis cent fois que tu te faisais du mal en regardant ces friandises ! Tu devrais faire gaffe à ta ligne, surtout si tu traines avec moi! » Sa blague me redonna le sourire, et je riais de bon cœur. Je le regardais, puis soudain me revint le fait qu’il était diabétique en tête, je devais le faire saliver, ce qui était loin d’être sympathique. Je me pinçais la lèvre. Je le plaignais, jamais il ne pourrait déguster les pâtisseries d’Appoline, par chance il ne savait pas ce qu’il ratait, sinon il aurait eu de quoi me sauter au cou pour prendre ma place… Je souris et répondit : « Pff, tu parles, vu le prix je n’en consommerais pas une miette, qui plus est, je ne voudrais pas gâcher mon corps magnifique. » Je ponctuais ma phrase d’un clin d’œil. Je regardais autour de nous, le magasin semblait enfin commencer à se vider, et il me semblait pouvoir enfin respirer, je me sentais bien mieux, et oubliait presque le sourire de mon ancienne amie pour me concentrer sur la soirée qui ne faisait que commencer. Je me prenais par les épaules et l’entrainait avec moi tout en lui indiquant : « allons au rayon boissons, je pense qu’il va me falloir un bon verre pour faire couler cette semaine, et toutes les autres que je vais encore devoir faire, bon sinon, ta semaine à toi ? » Je préférais l’éloigner de ces friandises qui risquait de le faire souffrir, que je suis avenant !
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MessageSujet: Re: retrouvailles. l- gab' retrouvailles. l- gab' EmptyDim 4 Déc - 19:47

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Il était clair que je tirais mon ami Alexander de ses pensées. Il avait l'air si paisible, si heureux, que j'avais même hésité à l'en arracher. Mais je savais qu'il n'aurait pas vu d'un très bon œil que je reste là, au milieu du rayons des friandises à l'observer, lui et son air rêveur. Il semblait parti si loin... J'en venais à me demander quelle pensée qui pouvais le rendre si serein, et si moi aussi j'avais cet air là lorsque je rêvassais. Non, je ne devais certainement pas avoir la même expression que lui, pour cela il aurait fallu avoir une motivation telle qu'elle m'aurait fait oublier que ma vie, surtout en ce moment, c'était un peu (beaucoup?) de la merde. En moins de trente seconde, je constatais que je venais de ruiner l'instant "peace" de mon pote, et que ma vie ne me permettrais jamais d'avoir ce genre d'instant. COOL ! Il sembla surpris donc de me voir, et j'espérais que sa surprise ne sous entendait pas que j'avais pour habitude d'être en retard, car s'il y avait bien une chose sur laquelle j'étais réglo, c'était l'heure, à défaut de l'être avec les femmes, hum hum... On ne peut pas être parfait (mais on peut s'en approcher, comme moi non ? Ha. Ha. Ha. Hum. Comme a mon habitude je lançais une petite vanne. C'était devenu un rituel de se charrier. Il faut dire que l'équipe Alex&Gab fonctionnait depuis un sacré bout de temps. Son sourire provoqua le mien, et aussitôt j'oubliais mes soucis. La soirée qui s'annonçait avait tout pour être réussie. Un ami d'enfance, un pack de bière, une bouteille, et des tas de choses à se raconter. Sur ce côté, nous étions un peu "filles", mais qui a dit que les mecs ne pouvaient pas se parler entre eux ? Son regard oscilla entre les chocolats et ma personne. J'attendais qu'il percute, comme toujours. Et ce petit manège m'arracha un franc sourire. Alexander devait-être le seul à savoir que j'étais atteints du diabète. J'espérais d'ailleurs qu'il reste le seul, c'est pourquoi il était l'unique personne a qui j'en avais fais la confidence. Il était l'une des seules personnes sur cette planète à qui je pouvais faire assez confiance pour lui confier mon plus lourd secret. Ma maladie était mon talon d'Achille, mais s'il n'était pas révélé, j'avais l'illusion qu'il n'était pas réel, alors si cela pouvait durer toute la vie, je ne m'en porterais que mieux ! Je détestais l'idée de pouvoir paraître vulnérable aux yeux de tous. J'étais tout sauf faible, je voulais le crier au monde entier, leur prouver, malheureusement, le monde était stupide, la vie fourbe, et je savais que la connerie humaine aurait eu raison de mon "anomalie". Plutôt crever que d'inspirer la pitié. Alex' ne s'attarda pas sur les chocolats et me répondis « Pff, tu parles, vu le prix je n’en consommerais pas une miette, qui plus est, je ne voudrais pas gâcher mon corps magnifique. » J'étouffais un rire sans grande réussite. « L'argument du prix, je veux bien, mais du corps magnifique... Laisse moi rire. A moins que tu ne parle du mien ! Tu peux prendre exemple mon pote, je ne t'en tiendrais pas rigueur! » Je lui décochais une tape amicale sur l'épaule en constatant intérieurement qu'en effet quiconque souhaitait rester mince pouvait prendre exemple sur moi. J'étais le portrait parfait de l'abstinence sur tout ce qui pouvait faire grossir, car ce qui faisait grossir était par définition très sucré. Mais mon ami ne se débrouillais vraiment pas mal, et j'étais toujours autant étonné lorsque je constatais qu'il restait des plus sveltes après s'être empiffré de cochonneries... Le métabolisme humain et ses mystère ! « allons au rayon boissons, je pense qu’il va me falloir un bon verre pour faire couler cette semaine, et toutes les autres que je vais encore devoir faire, bon sinon, ta semaine à toi ? » J'acquiesçais, plutôt d'accord. « Je vote pour ! Dépêchons nous de faire ces deux trois courses pour se poser enfin. On va chez moi ? Wanda n'est pas. Wanda c'est ma colloc' hein. » Je ne me rappelais pas s'il se souvenais d'elle, on se retrouvait davantage chez lui que chez moi il fallait le dire. « Semaine complètement dingue, beaucoup trop de boulot, beaucoup trop de filles... Et toi ? »

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