Falling to pieces. INDIANA&CLEANDRO
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Falling to pieces. INDIANA&CLEANDRO

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MessageSujet: Falling to pieces. INDIANA&CLEANDRO Falling to pieces. INDIANA&CLEANDRO EmptyVen 29 Juin - 19:15

J'avais l'impression qu'un géant m'avais complètement aplatit le cerveau. Je me souviens d'avoir passé une soirée géniale en compagnie d'une femme, son nom commençait par un D mais le reste des lettres m'était totalement inconnu. Je sortais du lit en essayant de remettre la main sur mon boxer qui avait du voler la nuit précédente. C'était vraiment le chantier dans ma chambre, je devais faire attention à ne pas marcher sur les bouts de verre de la lampe qui s'était littéralement explosé par terre durant la bataille, tout en cherchant à récupérer un boxer sous une pile de vêtements jetés Après quelques minutes de recherches j'ai jeté l'éponge et je décide de parcourir le trajet de ma chambre à ma salle de bain nu. Je remerciais le décorateur intérieur que j'avais engagé et qui m'avait conseillé de mettre des rideaux à toute les fenêtres pour ne pas être épié. C'était finalement utile. J'avais déjà fait la moitié du chemin mais un incident de parcours m'obligea à m'arrêter. Quelqu'un sonnait à ma porte. Je devais choisir entre ne pas lui ouvrir ou le faire mais nu. C'était peu être quelqu'un d'important mais si ce n'était pas le cas j'allais me retrouver sur les couvertures des magazines à scandale et je ne voulais pas avoir à faire à mon patron par la suite. Après deux minutes d'attente à deux pas de la porte je m'en rapprochais. Non pas pour ouvrir mais pour tenter d'expliquer la situation. « Vous êtes encore là ? Je ne peux pas vraiment vous ouvrir maintenant, ce n'est pas que j'en ai pas envie mais comment dire, heu... ma tenue n'est pas la plus convenable. Pourriez vous me laisser quelques instants juste pour que je sois présentable ? Merci beaucoup. »
Je courrais dans la salle de bain pour attraper le premier boxer propre et enfiler un pantalon. Je m'apprêtais à sortir de la salle de bain, mais j'avais bien sur oublier quelque chose. Mes cheveux étaient vraiment en bataille, je ne pouvais pas ouvrir la porte à un étranger si mon cheveux décidaient de faire la guerre sur ma tête. J'attrapais un peigne et les plaquais soigneusement sur mon crâne. Je pris aussi l'anti cerne et en appliqua sous mes yeux. Je me regardais une dernière fois dans la glace, j'étais enfin prêt. Je me dirigeais vers la porte d'entrée. En ouvrant je découvris la factrice qui attendais sur les marches avec un colis dans les mains. Elle ne m'avait pas vu. « Ha tiens, bonjour mademoiselle la factrice. Excusez de mon retard, je n'avais pas vraiment la tenue adéquate pour ouvrir cette porte. J'espère que vous ne m'en voulez pas ». Devant son regard ébahi je remarquait que quelque chose clochait encore au niveau de mes habits. J'avais oublié de mettre une chemise. Je me retrouvais torse nu devant ma maison avec la factrice qui semblait assez désemparée. Après tout, des heures de travail pour sculpter ce corps il fallait bien le montrer. C'était une situation un peu gênante mais je passais outre. « Bon alors je vois que j'ai un colis, qu'est ce que ça peut-être ? Je ne me souviens pas avec fait une commande. » Je pris le paquet qu'elle me tendis ainsi que la fiche et le stylo pour ma signature. A plusieurs reprises je tentais de le faire marcher mais rien n'y faisait. « Bon, je vais chercher un stylo, entrez le temps que je le trouve. » Sur ce je retournais dans le hall de ma maison et me mis en quête d'un stylo.


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MessageSujet: Re: Falling to pieces. INDIANA&CLEANDRO Falling to pieces. INDIANA&CLEANDRO EmptyVen 29 Juin - 20:33

Il faisait beau, ce matin. C'était l'été et pourtant, tu n'es pas comblée. Il y a ce quelque chose qui te démange, tu voudrais le voir. Hier soir, il n'était pas sorti à la même heure que d'habitude et tu l'as manqué. Il t'as manqué. Tu ignores où il était et tu rages intérieurement. Il pourrait te prévenir dans ces moments-là ! Tu étais rentrée de mauvaise humeur et tu avais renoncé à faire quoi que ce soit de ta soirée. C'était si frustrant de ne pas pouvoir le voir. Accro, oui, tu l'es. Non. Tu le nies encore, tu n'es pas accro, tu aimes ton futur époux, tu es normale. Convaincue par tes frêles arguments, tu continues à marcher la tête haute pour ne pas admettre l'évidence même. C'est une obsession que ta maladie t'empêche de reconnaître, tu essaies de vivre avec. Alors, ce matin, quelque chose t'as réveillé plus tôt, bien avant que la sonnerie de ton réveil ne retentisse dans l'appartement. En quelques minutes, tu es prête alors tu sors. Tu marches dans les rues désertes, tu marches jusqu'à ton travail. Tu arrives le coeur battant. C'était un long trajet, tu aurais dû attendre le bus, comme d'habitude. Mais ce parc par lequel tu es passée, il y passe chaque dimanche pendant son footing. Tu as flâné un peu plus longtemps dans ces allées, tu pensais à lui.

Tu entres dans l'entrepôt et déjà, on te balance à la figure tes caisses d'enveloppes. Aujourd'hui, il y a un colis. Tu déposes le tout dans ta voiture de fonction et te penche dessus pour regarder le nom. Cléandro De Conti. Un battement manqué, tu imagines en quelques secondes des milliards de scènes. Une occasion rêvée et où il ne pourra plus t'éviter. Il devra te parler. Et qui sait ce qu'il t'annoncera? Les yeux pétillants, tu t'assois au volant et la vie te semble soudain plus rose. Tu ne penses plus à la veille, tu ne penses plus qu'à lui. Tu modifies ta tournée et tu commences par son allée. Tu as du mal à te retenir de ne pas te diriger directement vers sa maison, tu te contiens. Une fois devant, tu sonnes, un sourire béat aux lèvres. Pas de réponses, rien. Tu retentes ta chance et tu entends un mouvement, puis une voix et des bruits de pas rapides qui s'éloignent. Tu murmures : « Je te prendrais comme tu es mon amour... Ne t'embêtes pas pour moi. » Un sourire en coin se dessine sur tes lèvres quand tu l'imagines, de l'autre côté de la porte. L'attente n'est pas longue, mais tu ne tiens pas en place, tu descends d'une marche et tu observes la façade. Les rideaux sont tirés, tu es déçue, tu aimerais pouvoir le voir. Ton regard se pose ensuite sur le jardin des voisins, une belle petite famille et tu te prends à rêver de votre avenir à deux. Sa voix te surprends et tu sursautes bêtement en te tournant rapidement vers lui. Pendant un instant, tu restes sur place, les yeux fixés sur son torse. Tu souris, il l'a fait exprès, c'est certain. Mademoiselle la factrice, tu trouves cela adorable. « Bonjour... » Tu ne sais pas quoi dire et tu baisses les yeux, tu ne veux pas sembler trop insistante. Pour combler le silence, tu t'apprêtes à débiter une banalité, mais il est plus rapide. « Pourtant, c'est bien votre nom dessus, monsieur De Conti ! Peut être une surprise de vos parents? On ne sait jamais à quoi s'attendre avec la famille ! » Tu relèves les yeux vers lui, un peu éblouie par le soleil et tu souris en te mordant légèrement la lèvre du bas. Tu ne sais pas ce que c'est, mais tu fais comme. Tu sais que tu n'aurais pas mérité ce genre d'attentions, lui, il mériterait tout l'or du monde. Un gouffre vous sépare, mais ça ne l'empêche pas de t'aimer. En ça, tu l'admires.

Un stylo qui ne marche plus. Le destin est vraiment avec toi aujourd'hui, voilà ce que tu te dis sur le moment. Tu allais attendre ici, mais il t'invite à entrer. Tu n'hésites pas une seconde, tu rêvais de voir son intérieur. Voilà chose faite. Il fait plutôt sombre, avec tous ses rideaux tirés. Tu le suis doucement et tu te stoppes dans l'entrée. Il s'affère et tu es un peu gênée de te trouver là, à attendre. Tu regardes partout autour de toi, de tous les côtés. Mais tu ne souris plus, tu es comme captivée. C'est si particulier de se trouver là, seule avec lui. Tu fixes donc ton regard sur cet homme, torse nu. Ton homme. Cette fois, tu combles le silence. « Il faudra que j'en parle à mes chefs, qu'il change cela. C'est inadmissible que ce soit à vous d'avoir à en chercher un... Je suis vraiment désolée. En plus, je vous fais perdre un temps pas possible, vous aviez sûrement des choses beaucoup plus importantes à faire aujourd'hui. Vraiment, excusez-moi... » Encore une fois, tu te mords la lèvre, ton regard est rempli de remords. Tu as l'habitude de t'excuser de tout, tu les penses vraiment tes mots, malgré ta joie d'avoir découvert son intérieur, tu es gênée de devoir lui faire chercher ce stylo. Tu le maudirais presque de ne pas avoir fonctionné, mais c'est de ta faute... Toujours.
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MessageSujet: Re: Falling to pieces. INDIANA&CLEANDRO Falling to pieces. INDIANA&CLEANDRO EmptyLun 2 Juil - 15:46

Cette factrice, je la voyais tous les jours ou presque mais pas aux heures normales des factrices. Peut-être qu’elle habitait dans le coin après tout, même si elle n’avait pas vraiment le type de personnes qui vivaient ici. Mais bon tant qu’elle apportait le courrier. Elle avait vraiment été très surprise quand je suis sortis torse nu, ce n’était pas vraiment naturel mais après tout c’était juste un corps. Elle avait l’air assez timide, assez embêtant pour une factrice qui devait souvent être en contact avec des personnes qu’elle ne connaissait pas. Elle me montrait le colis pour prouver que c’était bien moi le destinataire. Je n’avais aucune idée de qui pouvait bien m’envoyer ce colis. « Aucunes chances, il ne vient pas d’Italie et mes parents ne sont pas très cadeaux-cadeaux. Ils s’en foutent un peu de leurs enfants surtout depuis... Non ça ne peux pas venir d’eux. » Mes parents nous ne voulais des enfants que pour leur plaisir et pour faire croire qu’ils faisaient autre choses que travailler. Mais je ne les avaient pas beaucoup vu durant mon enfance et il y avait aucune chances que ce présent soit d’eux. « Peut-être Lena, peut-être. » Ma meilleure était bien ce genre de filles qui envoyait des cadeaux sans prévenir. Je regardais la factrice, je la trouvais même un peu effrayante.
Je rentrais je savais exactement où trouver un stylo, ça n’allait pas prendre beaucoup de temps. Je me dirigeais vers le salon pour trouver le saint Graal. Je revenais vers la factrice, celle ci engagea la conversation. Elle me parlais de ses chefs et du stylo, il n’y avait strictement aucun rapport pour moi là dedans mais si elle en voyais un, c’était son affaire. « C’est votre stylo et non celui de vos chefs. C’est quand même plutôt à vous de faire en sorte que vous avez toujours un stylo en état de marche sur vous. Vos chefs n’ont rien à voir là dedans mademoiselle. Des choses beaucoup plus importantes que chercher un stylo, ce n’est pas très compliqué en même temps. Et il y en a un tas. » J’étais franc, mais il n’y avait que comme ça que les gens comprenaient, dans toutes les situations possibles. 
Je lui signais son petit bout de papier et posais le stylo sur la table de la cuisine. J’en profitais pour mettre en marche la machine à café. « Vous voulez un peu de café ? » J’attendais la réponse qui ne venait pas. Je retournais dans le hall d’entrée pour voir ce qu’il se passait. Il y avait cette fille, Ariel, qui sortais de ma chambre. Elle était entièrement nue. Je sentais déjà la catastrophe. Et si la factrice allait tout raconter, moi qui essayait tant bien que mal à rester hors des couvertures des magazines à scandales. « Putain mais Ariel qu’est ce que tu fous ! Tu pourrais pas t’habiller non ? C’est trop te demander ? Et tu récupéreras ton string sur le lustre. » Je lui avais montré la lampe au dessus de la factrice. Cette dernière devait se sentir vraiment mal à l’aise et je la comprenais. Le comportement d’Ariel m’avait vraiment mis en colère. Je me tournais vers la factrice. « Bon, vous venez ? » Je retournais dans la cuisine et je servais trois mugs café.
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