| Sujet: sansa ∞ the perfection as a name. Ven 12 Oct - 17:19 | |
| [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] ∞ nom : bridges. ∞ prénom : sansa heaven. ∞ âge et date de naissance : 23 ans, 15 août 1989. ∞ lieu de naissance et origines : montsimpa, d'origine anglaise. ∞ études ou profession : dessinatrice, serveuse et vampire à plein temps. ∞ statut civil : célibataire. ∞ traits de caractère : Tantôt bonne, tantôt cruelle, je suis l'incarnation même de la contradiction. Certes comme tout bon vampire, je suis une très bonne psychopathe mais, je possède toujours un attachement à mon humanité, ce qui m'empêche parfois de carrément tuer la personne sur qui j'abreuve. Malgré cela, je suis une très bonne non-vivante - quelques peu émotive - qui profite de chaque secondes de la vie, passant de conquêtes à conquêtes. A ma renaissance, je suis devenue cruelle qu’auparavant, me délectant de la souffrance. Mon passé étant encore trouble, je suis souvent à la limite de la lucidité, laissant parfois ma colère éclater comme une tempête. Je suis aussi une grande séductrice, usant de tous mes charmes pour obtenir ce que je veux, que ce soit utile ou non. Je suis avec tout ça, comme si ce n’était pas assez, une croqueuse d’hommes. Une menthe religieuse qui aime se nourrir après l’amour, ou n’importe quelle autre forme d’affection. ∞ groupe et aspiration : vampire, aspiration vampire alpha.☇ ÊTRE UN VAMPIRE, CA REPRÉSENTE QUOI POUR TOI ? Pour moi être un vampire, c'est surtout difficile de passer la journée à bronzer. Si le jour, je suis contrainte de dormir, je n'ai l’intention de passer mon temps enfermée, surtout la nuit. Je ne me suis jamais sentie autant libre de ma vie, mon sens, ma force, et ma vitesse ont été décuplés pour faire de moi une prédatrice d'excellence. J'aime les chasses, que ce soit pour me nourrir ou pour me divertir. Aussi, selon mon envie, je traque au cœur même des rues de la ville où en périphérie afin d’être plus tranquille. ☇ CA AMENE PAS MAL DE RESPONSABILITES, COMME GARDER LE SECRET, VIVRE LA NUIT... TE SENS-TU PRÊT A AFFRONTER CA ? Le jour où je suis devenue un vampire, cet homme - qui m'a transfromée - m'a tout de suite expliqué les avantages et les désavantages d'être cette créature. Malgré le fait que j'ai accepté son offre « d'une vie meilleure », j'ai tenu promesse de ne révéler à personne ce secret, et de respecter les contraintes. ☇ ET TA TRANSFORMATION, CA S'EST PASSE COMMENT ? C'était un soir, alors que je n'avais que 19, je me promenais dans les rues de Montasimpa et soudain un homme est apparu et a compris dans quel état j'étais. Ayant toujours en conscience la mort de mon père, j'étais complètement effondrée et il m'a proposé une vie bien meilleure. J'ai accepté sans savoir de quoi il parlait, étant bien trop dépressive je pouvais confronter n'importe quoi pour pouvoir oublier ma mélancolie. C'est alors qu'il a planté ses canines dans mon cou faisant de moi un nouveau-né plus précisément un vampire. Je me suis réveillée dans une pièce totalement inconnue, et cet homme m'a expliqué les contraires et les pouvoirs dont j'étais dotée. Au début je regrettais d'avoir fait ce choix, mais au bout d'une semaine je découvris un nouvel aspect de la vie. J'ai donc facilement accepté ce que j'étais devenue. ☇ TE PLAIS-TU A MONTSIMPA OU TE SENS-TU PLUS A L'AISE A BRIDGEPORT ? Les deux villes me plaisent énormément. Mais je porte un sentiment plus renforcé pour Montsimpa, étant ma ville de naissance il m'est impossible d'oublier tout ce que j'y ai fais là-bas. Maintenant que je suis un vampire je suis à Bridgeport, qui porte particulièrement le début de mon nom de famille. Bref, je me suis installée là-bas il y a maintenant trois ans. Ainsi le jour j'envoie des dessins à des éditeurs et le soir je suis serveuse ou tueuse. Il m'arrive parfois de me rendre à Montsimpa pendant la nuit pour revoir des vieilles connaissances. ☇ TOI, LES ENFANTS, LE MARIAGE, T'EN DIS QUOI ? Je suis une croqueuse d'homme, j'aime séduire ect.. Il m'est rare de penser à fonder une famille. De toute manière je ne resterai pas séductrice toute ma vie, même si j'ai largement le temps. Un jour si le destin me le permettra, j'espère trouver l'amour et par conséquent avoir un enfant avec mon âme-soeur. ☇ TON RÊVE LE PLUS FOU, C'EST QUOI ? Bizarrement ce n'est pas quelque chose de stupéfiant, beaucoup de gens voudraient ce que je veux moi. Trouver l'amour ferait de moi la femme la plus heureuse au monde. |
☇ TES MAUVAISES HABITUDES; elle passe la journée à dormir ou à dessiner • elle aime prendre soin de ses affaires • côté vestimentaire, à la pointe de la mode, ses vêtements reflètent sa personnalité • souvent lunatique chez elle • elle prend soin d'elle et ne rate jamais une occasion de séduire • elle ne fume pas • elle boit et est souvent bourrée • elle est dotée d'une grande force physique - même avant sa transformation - étant légère, elle est rapide et peu de personne arrivent à la dépasser. • elle est impulsive et on ne sait jamais sur quel tableau il faut jouer avec elle. • son film préféré est titanic • elle aime faire du shopping • elle possède un collier en or qui appartenait à son arrière grand-mère • le chocolat est son meilleur ami • elle adore regarder le coucher du soleil en s'asseyant devant la fenêtre • ses cheveux lui permettent de faire n'importe quelle coiffure en fait, un chignon, des tresses, une queue de cheval, peu importe • il lui arrive de s'attacher à des personnes • elle n'a plus aucun sentiment concernant la mort de son père • parfois elle est obligée de se nourrir de poche de sang de l'hôpital, pour éviter de faire couler trop de sang • étant séductrice elle pense parfois au vrai amour • elle possède un sens de l'humour bien à elle • elle à l'âme d'un chef.
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Il y a un commencement à tout. Le mien s'est déroulé pendant plus de cinq heures à l'hôpital de Montsimpa. Mes parents ont toujours été avides d'aventures. Lorsqu'ils se sont rencontrés à Bridgeport, mon père a eu le coup de foudre pour cette femme qui travaillait dans un bar de Montsimpa. Cela pourrait être le prince qui sauve cette demoiselle des bas fonds de la ville pour lui faire connaître ce qu'il y a de plus beau. Après un mariage fabuleux qui réuni deux familles, neuf mois plus tard je pointais le bout de mon nez. Pourtant la vie n'est pourtant pas un long fleuve tranquille et je n'allais pas tarder à le savoir... Quelques semaines après le jour de mes huit ans, arriva l'incident qui allait conditionner tout le reste de sa vie. Je rentrai de l'école à pied, en compagnie de mon père. Plus que deux rues avant qu'on arrive à la maison. Mais la rue qu'on empruntait habituellement était inaccessible en raison de travaux. On dut donc emprunter une ruelle que je n'avais jamais vu auparavant. La ruelle était assez sombre bien qu'il fasse encore jour, les murs, qui avaient probablement été blancs autrefois étaient couverts de crasse, et plusieurs poubelles étaient renversées en travers du chemin. Je frissonnai, mais mon père agrippa plus fermement ma main et on avançait tous les deux. La ruelle était déserte, mais j'avais un mauvais pressentiment. On passait juste à côté d'une des poubelles renversées, et brusquement, tout bascula. Un homme apparut soudain dans mon champ de vision, brandissant un couteau, l'air menaçant. Je me retins de pousser un hurlement. Mon père s'était mis devant moi, de manière à me protéger. Je ne sus pas très bien ce qui se passa ensuite, ayant fermé les yeux. Tout ce que je savais, c'est que lorsque je les rouvris, notre agresseur tenait son couteau sous la gorge de mon père. Je pleurai à présent, suppliant l'homme de relâcher mon père. Il ricana « Ton portefeuille. » ordonna-t-il. Soudain l'agresseur reçut comme une giclée d'eau bouillante en pleine figure ce qui lui fit pousser un hurlement de douleur. Pris par surprise, il enfonça spontanément le couteau dans la gorge de sa victime. Il ne savait pas qui avait fait ça, mais ce gars allait payer le prix fort. Un nouveau hurlement retentit. Je m'évanouis. Lorsque je me réveillai, j'étais à l'hôpital, et ma mère était assise à côté de moi, plongée dans ses pensées. On m'annonça que mon père avait reçu un coup de couteau, qu'il était blessé. Ma mère me félicita pour mon courage, mais mon regard paraissait étrangement vide, ma voix sonnait faux. Peu importait, je n'en avais que faire, où était mon père ? Mon père était mort. Et je me sentai atrocement coupable. Lorsqu'il était arrivé à l'hôpital, il était déjà trop tard. La blessure était trop profonde, il avait perdu bien trop de sang. Tout ce qui comptait, c'était qu'un jour, je vengerai mon père...
Les années ont passé et bien des choses avaient changé. Des mois passés dans cet état, je n'y arrivais pas. Me renfermant sur moi-même. En adhérant à l'université de Montsimpa située non loin de chez moi, je pris le soin de me spécialiser dans le dessin. Et une fois mon diplôme en poche je devins dessinatrice pour des livres ainsi que serveuse pour me faire de l'argent de poche... Un jour, alors que je me promenais dans les rues de Montsimpa, mes pensées furent coupées par des paroles, provenant d'un homme qui restait dans l’ombre. « Tu as besoin d'une nouvelle vie jeune fille, je le sens. Je vais te donner un don, le même que moi. Tu vas survivre, je n’en doute pas. Commençons. » Lorsqu’il fit un pas en avant, son visage fut éclairé par la lumière vacillante résultant des flammes chancelantes émises par les bâtons de cire. Il ne montrait aucune expression, je ne pouvais pas voir ce qu’il ressentait à cet instant présent, je ne pouvais pas deviner ce qu’il s’apprêtait à faire mais visiblement il avait besoin d’être très près de moi. Je ne pouvais dévier mon regard de son visage, la peur prenant de plus en plus de place dans mon esprit quand, avec horreur, il laissa apparaitre des canines bien loin de la normale. Dans un mouvement d’une rapidité inouïe il les planta dans mon cou, provoquant une douleur lancinante et insoutenable tandis que je pouvais sentir le sang quitter de mon corps. La douleur faisait perler des gouttes de sueurs le long de mon corps tandis que, par fierté, j’étouffais un cri de douleur pendant que mes forces continuaient de m’abandonner. Rapidement ma vue commença à se troubler, laissant se flouter tout ce qui se trouvait dans mon champs de vision, tandis que je sentais de plus en plus la froideur de la mort s’approcher de mon corps. Dans un dernier souffle de vie je sentis une pression sur mes lèvres, ma vue ne me permettant plus de distinguer ce qu’il pouvait bien se passer, je n’osais qu’imaginer ce qu’il pouvait être entrain de me faire, ne sentant qu’un liquide couler dans ma bouche avant de perdre une fois de plus connaissance... La douleur ne se faisait plus ressentir, la sueur semblait avoir disparue, j'étais dans une pièce était plongée dans la lumière vacillante des bougies, tout semblait normal, comme si la scène précédante n’avait été qu’un terrible cauchemar et que je venais seulement de revenir à moi. Puis un bruit se fit entendre, un bruit que je reconnu sur le champ, cette démarche lourde sur le sol, ce pas accusant le poids des années. Tout était bien réel, je n’avais pas rêvé, mais pourtant, j’en étais sûr, sûr que l’on m’avait ôté la vie alors comment pouvais-je encore être consciente dans cette pièce, pourquoi cet homme n’était plus présent près de moi. Combien de temps avait bien pu s’écouler depuis que j’avais une nouvelle fois sombré dans l’inconscience. « Merveilleux, la transformation est un succès. » Il me faisait face, son visage penché en avant, regardant mon corps dans son intégralité avant de fixer son regard sur mon cou. « La morsure a cicatrisé » murmura-t-il rapidement tandis que je restais allongé, immobile, n’osant pas bouger pour éviter toutes douleurs causées par sa morsure. « Que m’avez-vous fait ? » La seule question présente dans ma tête à cet instant, je venais de la lui poser sur une voix faible, trahissant l’appréhension et la peur de la réponse pouvant en découler. « Qu’est-ce que je t'ai fait? Je t'ai tout simplement transformé, grâce à… » ; « En quoi ? » Je ne pouvais pas me contraindre à écouter de nouvelles explications, il fallait que je sache, que m’était-il arrivé, pourquoi lors de mon réveil mon corps m’avait semblé si paisible, comme s’il n’abritait plus aucuns troubles. Le vieil homme ne sembla guère troublé par le fait de s’être fait couper la parole et, tout en affichant un faible sourire, reprit la parole de sa voix roque et fatiguée. « Très bonne question, l’espèce dont tu es maintenant est un être à part entière qui est connue sous plusieurs noms. Dans certaines contrées nous vous nommons dieu, dans d’autres vous êtes un monstres sortant de l’imagination de personne ayant perdu l’esprit. Mais pour les personnes les plus avisées, tu portes le nom de vampire. Ces êtres vivant à l’envers des hommes, préférant la compagnie de la lune à celle du soleil, des êtres au sommet de la chaîne alimentaire, l’élite des chasseurs. » Le ton de sa voix montrait une sorte de passion à l’égard des paroles fusant de sa bouche, comme s’il était en train de décrire un chef d’œuvre qu’il avait lui-même façonné. Mon esprit n’arrivait pas à se faire à l’idée d’être devenue une de ces choses qu’il venait de décrire, après tout ces êtres n’étaient censés vivre que dans l’imaginaire, tout homme doué d’un esprit sain savait qu’une chose aussi contre nature ne pouvait avoir sa place dans le monde des mortels. « Maintenant que tu es une créature de l’ombre, les rayons du soleil sont tes ennemis, pour pouvoir combler cette faim irrépressible qui sera présente durant chaque moment de conscience tu devras t'abreuver de sang humain, et uniquement de sang humain, tout autre liquide vital étant proscrit. Pour cela ton corps a subit… une amélioration dirons-nous, tes sens ainsi que ta force et ta vitesse, tout a été décuplé afin de faire de toi la prédatrice par excellence. » Jusqu’alors je n’avais pas prêté attention à quoi que se soit, mon esprit était totalement focalisé sur ce qu’il venait de m’arriver, mais à la suite de ses paroles, comme s’il avait suffit qu’il me le fasse remarquer, plusieurs choses m’interpelèrent. Tout semblait plus clair, l’odeur fétide de cet endroit, qui jusqu’à maintenant était tellement insupportable, se décomposait en plusieurs fragrances, laissant se deviner chacune des odeurs composant ce mélange répugnant. Ma vue, bien que bonne, était maintenant des plus perçante et me laissait découvrir des multitudes de détails qui me passaient outre alors que mon ouïe, elle, semblait captivée par un bruit sourd et régulier, comme si quelqu’un avait collé son cœur contre mon oreille. Disait-il vrai, l’expérience douloureuse dont je venais d’être l’actrice m’avait-elle vraiment transformée en l’une de ses choses, je n’avais d’autre choix que de m’y résigner, chaque phrase émanant de sa bouche se vérifiait dans les secondes suivantes. « Je te laisse, prend toi-même mesure de tes nouveaux dons et surtout respecte mes contraintes. Ou bien il te suffira de peu pour que tu meurs brûlée sous le soleil ou encore de finir avec un pieu en bois dans le coeur. » Il disparut avant même que je ne pose une question. Une nouvelle vie s'offrait dorénavant à moi... ∞ prénom et pseudo : tagada, leila. ∞ âge : 18 ans. ∞ sexe : femme. ∞ comment as-tu connu le forum ? top 50 rpg. ∞ t'es plutôt du genre à traumatiser tes sims où à aimer les belles et grandes familles parfaites ? traumatiser parce que je le vaux bien. ∞ raconte-nous ta vie : flemme ∞ tes autres comptes sur pwl : aucun. ∞ célébrité : claire holt.
Dernière édition par Sansa Bridges le Dim 14 Oct - 8:41, édité 25 fois |
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| Sujet: Re: sansa ∞ the perfection as a name. Dim 14 Oct - 12:01 | |
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