| | | BLAKE › karma's gonna look you right in the face · |  |
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 | | Sujet: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 2:52 | |
| [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] ∞ nom : morgan. c'est un prénom-nom de famille qui, dans mon cas, s'applique à la fin. c'est assez cool parce que comme ça c'est comme si j'avais trois prénoms, et quiconque m'appelle comme il le veut, je m'en fous. ∞ prénom : blake thom. je préfère qu'on m'appelle blake, parce que c'est assez cool, puis un peu ironique puisque je bosse avec des aveugles (parce que ça ressemble à black, qui veut dire noir, et ils y voient rien eux), mais thom c'est pas mal non plus. c'est pas un raccourci de thomas, non, c'est juste thom. ∞ âge et date de naissance : vingt-deux ans, né le trente-et-un octobre quatre-vingt-neuf. je suis sorti le premier de jumeaux, mais ça, je le sais pas. dean nan plus. mais je suis sorti le premier. ∞ lieu de naissance et origines : né à montsimpa, race arienne man. cependant, les personnes qui m'ont élevées sont toutes deux d'origines anglaises et de double nationalité américano-canadienne. ∞ études ou profession : éducateur spécialisé. après avoir passé quatre ans en profil social à l'université de bridgeport, suivant des cours de médecine générale et d'optométrie, j'ai aisément réussi à obtenir un poste d'éducateur dans un centre pour aveugle au centre-ville. c'est pas ce que j'ai toujours voulu, mais je m'y plais bien, au final. ∞ statut civil : célibataire. ne vous y méprenez pas, cela ne veut pas dire que je suis puceau ou maladroit avec les femmes ; j'ai eu un paquet de petites amies, mais mon attirance pour les filles déjà en couple combiné à ma mauvaise habitude d'infidèle ne m'a jamais réellement donné l'occasion d'être sérieux avec quiconque. ∞ traits de caractère : spontané, taquin, rationnel, violent, possessif, digne, meneur ∞ groupe et aspiration : sim ordinaire, aspiration fromage fondu.☇ CROIS-TU AUX CRÉATURES DE LA NUIT, AUX ÂMES ERRANTES ET A CE GENRE DE CHOSES ? hahaha. non. petit, j'étais comme tous les gosses, je faisais bien attention à ce que mes pieds ne dépassent pas de mon lit, trop effrayé du croque-mitaines, mais maintenant, ça n'a plus aucun sens. blake l'intrépide. ☇ TE PLAIS-TU A BRIDGEPORT ? je m'y suis plu pendant des années, du genre c'était vraiment bien, mais maintenant je ne fais que subir ma vie qui ne ressemble en rien à celle à laquelle j'aspirais et je me force à jouir des petites choses. ☇ TOI, LES ENFANTS, LE MARIAGE, T'EN DIS QUOI ? oh ben c'est pas mal, mais après trente ans seulement. ☇ TON RÊVE LE PLUS FOU, C'EST QUOI ? retourner en arrière, m'empêcher de dégommer ce type à coup de droites et vivre ma vie pépère comme je l'avais prévu. à new-york, au milieu de mes fans, à sauver des vies en prescrivant des lunettes (pas mal, je sais). |
☇ TES MAUVAISES HABITUDES; j'avais l'habitude de me ronger les ongles, et pour arrêter, j'ai commencé à les vernir. en transparent hein, je suis pas une folle, mais quand même. ça brille d'un bel éclat. • quand j'étais petit, je mangeais mes crottes de nez genre souvent, et maintenant j'dois encore y réfléchir pour m'en empêcher. c'est un réflexe dont on ne se sépare pas aisément. • j'ai commencé à fumer la clope après mon "accident" et, depuis lors, je suis passé à un paquet par jour. • je mange de la compote de pommes en accompagnement avec n'importe quel plat, des frites aux pâtes bolo. • dès que j'apprends un mot dans une nouvelle langue, j'ajoute ladite langue à mon profil facebook comme si je la parlais couramment. • quand j'aime bien une fille, en général, elle est en couple. mode opératoire ? je la séduit, elle trompe son copain avec moi, culpabilise, plaque son copain, sort avec moi, puis je la trompe à mon tour, et elle retourne avec son copain.
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 ∞ comment as-tu connu le forum ? stou  ∞ t'es plutôt du genre à traumatiser tes sims où à aimer les belles et grandes familles parfaites ? j'avais fait Wade en sims il y a deux semaines, j'l'ai transformé en gay pour qu'il souffre d'être un connard sur pwl. (aucune logique  ) ∞ raconte-nous ta vie : belge, rousse, vit aux USA, j'l'ai dit mille fois aujourd'hui je pense ∞ tes autres comptes sur pwl : non merci ∞ célébrité : chico
Dernière édition par Blake Morgan le Mer 24 Oct - 2:44, édité 15 fois |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 2:52 | |
| [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] ‹Charmanders are red. Squirtles are blue. If you were a pokemon, I'd choose you.
Une nuit bien sordide qu'est celle d'Halloween. Bien que les enfants s'amusent à récolter des friandises, il est bien connu que, dans la ville de Montsimpa, vampires et fantômes se font encore plus présents lors de cette soirée. Ce n'est cependant pas pour autant que l'alliance des familles Freyes et Jones, représentée en majorité par cette femme pleinement enceinte, ne pouvait se réjouir et espérer le meilleur. Cependant, deux drames arrivèrent, cette nuit-là.
Enceinte de jumeaux, il avait été établi dans la tête de l'engrossée que le premier des deux garçons à sortir, peu importe lequel il serait, se nommerait David. David, premier roi des juifs, prophète accompli, humble berger. Elle savourait ce nom comme s'il était plus important en soi que la future personnalité du nouveau-né. Le suivant se nommerait Dean, simplement parce que c'est joli. Cette future mère n'avait même pas pris la peine de saluer l'heureux couple qui partagerait la salle d'accouchement voisine, trop occupée à se concentrer pour ne pas, vulgairement, se chier dessus. Elle ne se douterait pas qu'eux, décidés à appeler leur fils Blake, deviendront de bien meilleurs parents qu'elle ne le serait jamais. La première erreur de la nuit se déroula juste après deux accouchements consécutifs. Une infirmière se mélangeant les pinceaux échangea des bracelets, sur ce coup, David et Blake furent échangés. Ils se ressemblaient tous, à ses yeux – ainsi qu'à ceux des parents. C'est plus tard dans la nuit que le vrai Blake devenu David décéda de mort subite. Un nouveau-né qui arrête de respirer, ça arrive souvent. Le petit Dean grandirait donc sans sa moitié, non pas parce que celle-ci décéda durant la nuit, non. Elle était belle et bien vivante, et grandirait au centre de Bridgeport.
« Allez, va plus loin ! » Debout sur le toit de notre immeuble résidentiel, je lançais ma balle de base-ball fétiche à mon père. J'avais six ans mais j'étais déjà un sacré bon lanceur – heureusement, d'ailleurs, parce que mon père n'était pas un si bon rattrapeur et je ne voulais pas perdre ma balle. Malgré le fait qu'on n'avait pas beaucoup de place pour s'entrainer en vivant au centre ville, mon père utilisait toujours son temps libre et son imagination pour réaliser mes caprices. C'était un vrai papa poule, contrastant la froideur légendaire de ma mère, avocate de renom, qui ne me traitait pas plus chaleureusement que le pire des tueurs en séries qu'elle avait jamais du défendre. Alors que, pour papa, avoir un fils était comme avoir un nouveau chiot, juste du plaisir, aucune responsabilités, ma mère passait le plus clair de son temps à donner des instructions strictes à ma nounou quand elle n'était pas celle qui m'attachait le dos contre ma chaise pour être sûr que je me tienne bien droit. Je passais du chaud au froid en permanence quand mes parents étaient à proximité. Bien évidemment, ils n'avaient pas l'occasion de passer beaucoup de temps avec moi à cause de leurs métiers. Mon père, chef du service de chirurgie cardio-vasculaire au mémorial de la rate sacrée, passait bien plus de temps à l'hôpital qu'à la maison. Ma mère avait beau avoir installé son bureau à la maison, elle en sortait bien rarement. Mais parfois, le dimanche matin, j'avais droit à lancer la balle avec mon papa. C'était notre truc. « Mais plus loin, j'ai dit ! »
En un peu plus de dix ans, maintenant, j'avais passé la petite ligue, l'équipe des freshmen, et enfin la Varsity de mon lycée. J'étais le capitaine. Le meilleur joueur. Celui dont les épaules étaient surchargées des espoirs de bien trop de monde pour mon jeune âge. Quand vint la terminale, j'ai du commencer à penser à mon avenir. Intelligent et éveillé grâce à l'éducation pointilleuse et surveillée de mes parents, j'étais devenu très ouvert d'esprit. Tellement que je n'avais, finalement, aucune idée de ce que je voudrais faire de mon futur. Architecte, agriculteur ou dessinateur, tout me plaisait. La seule chose dont j'étais sûr, c'était que je voulais continuer le base-ball, la seule réelle passion que j'eus jamais eu. Mes parents, bien nantis et se trouvant dans une situation fixe, m'avaient toujours montré les facilités de la vie. Cependant, les médias m'avaient aussi appris qu'il fallait se préparer à gérer n'importe quelle crise et, avant toute autre chose, penser à la stabilité. C'est par élimination que j'ai décidé de ce que je voulais faire. Je voulais aller étudier la médecine à Stanford pour quatre ans et, ensuite, aller dans une école spécialisé en optométrie. J'en sortirais avec un diplôme de docteur pour les yeux, mais ma carrière brillante de base-baller universitaire m'ouvrirait les portes du monde des professionnels du sport. J'aurais donc le temps de vivre ma passion et, quand l'heure serait venue pour moi de me retirer de la « course », je pourrais me recycler en vendeur de lunettes particulier à Manhattan, mon rêve. J'avais tracé ma vie, cependant, tout ne tenait qu'à un fil. Il me fallait tout d'abord rentrer à Stanford et, ensuite seulement, je pourrais me reposer sur mes lauriers. J'allais avoir un match de championnat important, et un recruteur viendrait me voir. C'était ce match qui allait décider de toute ma vie. J'étais confiant, bien évidemment ; personne ne m'était jamais arrivé à la cheville, et ce, dans tout l'état.
« Non mais ça va je te dis, je peux marcher ! » Je ne pouvais pas marcher, malheureusement. Mon tibia souffrait, saignait même un peu. On se sent puissant avec une batte de base-ball en main, mais c'est quand on la reçoit dans la jambe qu'on se rend vraiment compte que ça doit être pénible d'être une balle, tant ça fait mal. J'étais ouvert, on pouvait voir mon os si on écartait un peu la peau. Un malheureux maladroit venait de me lâcher sa batte dans la jambe. Là, il était à côté de moi, à s'excuser. C'était mon match, bordel. Il fallait que je le joue. C'était à mon tour de frapper. J'ai saisi ma batte et fait la plus belle frappe de ma vie. C'était beau, c'était loin, c'était comme dans Olive et Tom, la balle tournoyait dans l’auréole du soleil. Les gens s'aveuglaient à regarder mon chef d'oeuvre, et moi, j'ai essayé de courir pour m’aplatir après un seul pas. J'étais hors jeu. Et dans ma tête, rien ne s'est activé avant que le médecin qui m'avait recousu me dise que c'était « rien », juste la peau bien ouverte. Mais le recruteur avait vu de moi un goofy qui n'était pas capable de grand chose, c'était ce que je pensais. Un seul jour de repos pour moi, des béquilles, un bandage et la permission d'assister à mes examens finaux. Dans ma tête, c'était mort pour Stanford. C'est pour ça que quelques jours seulement après mon accident, alors que je boitais toujours un peu, j'ai été pris d'un coup de folie. Je ne pouvais pas conduire tant que j'étais blessé, alors mon pote Josh se comportait en taxi. Il devait être dix-huit heures, c'était un mardi. Une journée ordinaire. J'ai reconnu une tête et j'ai demandé à Josh de s'arrêter. Je suis sorti, ai refermé la portière, je suivais le type qui m'avait lancé sa batte dans la jambe. Celui qui, pour moi, avait ruiné ma vie. Je ne pris même pas la peine de l'interpellé, j'ai posé la main sur son épaule pour le retourner et lui ai collé un vilain coup de boule. Il n'y avait ni pitié ni honneur, ici. Parfois, je l'admets, il m'arrive de voir rouge.Un copain à lui est arrivé, l'a aidé à se relever. J'ai cogné l'autre type qui, moins cool, m'en a remise une. Ça, c'était pas trop mauvais. Par contre, quand il a shooté dans mon tibia endommagé, là, je l'ai senti passer. Il m'a poussé et j'ai trébuché. J'ai fini sur la route alors qu'une voiture passait justement. C'était juste très con. J'ai roulé sur le toit et je suis retombé sur mon genou. Après cette douleur fulgurante, je me suis même demandé pourquoi je m'étais plaint de mon tibia.
« Il s'est passé quoi ? » « Je me suis battu. » « C'est pas beau un mec qui se bat. » Je lui en posais pas, moi, des questions. J'avais pas envie de partager ma chambre avec une inconnue. J'étais égratigné de partout, elle, elle était amochée aussi. « Et toi, c'est quoi ? » « Un bête accident. Mais ça fait mal... » « ...A chier. Ouais, je sais. Comment tu t'appelles ? » Un docteur est rentré dans ma chambre. On se demandait probablement tous les deux pour qui était la mauvaise nouvelle, puis j'ai vu mes parents le suivre, mon père dans sa veste de docteur, épuisé et inquiet – je le voyais aux rides sur son front qui ne se marquaient de cette façon que quand je le décevais – et ma mère, toujours tirée à quatre épingles, mais les yeux pleins de larmes. « bzz bzz bzz fauteuil roulant bzz bzz durée indéterminée bzz bzz bzz pas de base-ball pro bzz bzz. Désobzz. » Putain. Je fixais le plafond. Ma mère me tenait la main, mon père aussi. C'était pas évident. Surtout pas pour moi. Et mon genou qui me faisait mal à chier. Apparemment, j'étais touché à la colonne, aussi... C'était peut-être pour ça que je n'arrivais pas à bouger la jambe qui ne me faisait pas souffrir, en fait. Dans ces moments-là, tu sais pas si tu préfères chier de mal ou rien sentir du tout. Ils sont vite sorti de la chambre, apparemment j'avais besoin de repos. « Harper. » J'ai tourné la tête. « Blake. »
Donc me voilà, cinq ans plus tard. J'ai pas vraiment fait de dépression, j'ai juste passé un an à glander dans mon fauteuil. En fait, c'est surtout Harper qui m'a permis de tenir le coup, parce que sinon, j'aurais sombré. Surtout quand j'ai découvert que, en fait, Stanford me voulait dans son équipe de base-ball. Si j'y suis pas allé, c'est à cause de ma connerie. Parce qu'à cause de mon accident, de ma colonne explosée, j'en avais fini de jouer à la balle, et ce, pour toujours. Alors je suis allé à la fac tout près de chez moi pour être sûr de pouvoir retourner voir mes kinés quand je le voulais. J'ai juste fait quatre ans de fac, pas d'école supplémentaire. Dans le monde d'aujourd'hui, un diplôme est plus que nécessaire, mais franchement, je n'avais pas trop envie de rester aux études. Il était temps pour moi de gagner ma vie et de rentrer dans une routine. « Tu sais, ils cherchent un nouvel éducateur au centre pour malvoyants. » J'ai regardé mon père. On était assis à la table familiale, c'était dimanche, onze heures du matin, heure de la soupe. « Ah ouais ? » Je ne semblais pas plus intéressé que ça. Je ne l'étais pas vraiment. « Avec les cours d'optométrie que tu as suivi, t'as toutes des chances de ton côté. » J'ai bu ma soupe. Le jour d'après, j'ai passé un entretien d'embauche spontané. C'était l'été après ma remise de diplômes, cet été en somme. Vingt-deux ans, j'allais sur mes vingt-trois. Et dès la première semaine de boulot, j'ai su que ça allait être dur, mais plutôt cool quand même. C'était social, comme métier. Mais au moins, je pouvais me fringuer comme je voulais ; ils remarqueraient pas vraiment la différence. Déjeuner gratuit à la cantine, une sieste dans l'après-midi. La plupart des pensionnaires étaient des personnes âgées, et il y avait aussi des non-résidents, la plupart plus jeunes, aux histoires toutes plus tristes les unes que les autres. Ils avaient vraiment tout perdu, eux.
Dernière édition par Blake Morgan le Mer 24 Oct - 2:44, édité 9 fois |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 2:57 | |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 3:05 | |
| Va dormir  (sérieux, 4h du mat ) Sinon, Marine 2 m'a dit qu'tu voulais un lien |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 3:06 | |
| hahahahahahahaha LE JUMEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAU  |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 3:07 | |
| Putain mais sérieux vous foutez quoi réveillés tous, là ? J'suis toujours sage moi  |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 3:10 | |
| je jouais aux sims j'ai pas vu l'heure  now je vais me coucher mais je tenais à passer sur la fiche de ma future moitié la base elle est au states marine |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 3:11 | |
| Ben moi il est que 20h10 chez moi  Tu vas dormir, pour du vrai ? Nuuuuuul |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 3:12 | |
| bah ouais j'suis fatiguée là je m'endors grave |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 3:14 | |
| Suis dans les bois et ma connexion est pourrie, j'ai pas trop trop de chance au final |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 3:16 | |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 3:18 | |
| et elle est à la chasse Anouck bon j'arrête de dire des conneries j'me casse |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 3:19 | |
| Ben c'est la forêt quoi, ça sera beau en hiver mais là j'ose pas trop sortir parce que les ours sont pas encore en hibernation |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 3:23 | |
| t'inquiètes, moi je suis làààà |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 3:25 | |
| Toi c'est le matin chez toi, chanceuse (demain matin, église pour moi, wooohooo ) |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 5:59 | |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 6:00 | |
| OUI OUI OUI |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 6:27 | |
| t'es bonne quand meme  |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 6:48 | |
| Un peu ouais |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 7:55 | |
| Rebienvenue  |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · Dim 21 Oct - 9:44 | |
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| | Sujet: Re: BLAKE › karma's gonna look you right in the face · | |
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| | | | | | BLAKE › karma's gonna look you right in the face · | |
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