à la poursuite du bonheur. (aeron)

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I’m the type of person who suddenly gets really crazy about something and equally suddenly gets over it.

(flashback). J'ai lu beaucoup de livres sur les relations amoureuses ou qui évoquaient des histoires d'amour. Un homme qui aime une femme, parfois deux, une femme destinée à un homme mais qui en aime un autre, des amours impossibles, ce genre de conneries. L'amour c'est comme Ikéa. Peut-être même que c'est du made in Ikéa cette connerie. Les gens pensent que l'amour rend heureux, comme ils pensent que acheter dix nouvelles assiettes va changer leur vie. L'amour est un mythe. Les gens en deviennent dépendants, et finissent par devenir obèse. Au début tout est beau et rose, les papillons dansent et tout paraît magique. Le garçon sort des phrases type du mec amoureux et niais et compare sa copine à une rose. Pourtant à la fin, on n'entend plus que les assiettes qui valsent contre les murs et les amoureux se hurlent à tour de rôle : "ne me compare surtout pas à ma mère." Peut-être même que c'est les assiettes de chez Ikéa qu'ils jettent contre les murs ces cons. Le mariage est une institution oppressante qui devrait être abolie depuis des siècles. Personne n'est heureux. Tout le monde finit par souffrir à la fin. J'ai pas envie de devenir grosse parce que j'aurai bouffé trop de chocolat en pleurant, j'ai pas envie d'être niaise, ni de devenir dépendante de quelqu'un. Je crois que Pépie me suffit niveau dépendance. Alors je fixe Aeron fasse à moi, il m'a demandé en mariage, et je crois pas qu'il le réalise. « Tu m'as demandé de t'épouser Aeron. » On vient de se rencontrer. Il débloque. Forcément. Mais peut-être que c'est normal, de demander les gens ainsi en mariage, je veux dire, je sociabilise pas énormément. « Si je réponds oui tu fais quoi ? » Un sourire étire mes lèvres, parce que j'ai envie de savoir si demain il m'achètera une boite de chocolat et aura décidé de m'emmener à Ikéa pour aménager notre future maison. Alors avant qu'il ne réponde, j'ajoute précipitamment : « Attends, ferme les yeux et fais un vœux. » J'attends quelques secondes, le temps qu'il ferme bien les yeux, mais il n'a même pas encore dit "voilà" que je suis déjà sortie de la pièce. (fin du flashback).

« Affordable solutions for better living. » Et je sors de Ikéa. J'ai acheté une lampe, j'ai suivi les flèches au sol, j'ai souris au vendeur quand il m'a souhaité une bonne fin de journée et je suis sortie. Ça n'a pas fais de moi une femme heureuse. Au contraire, je me sens cassée de l'intérieur, un peu brisée de partout. Peut-être que c'est du scotch que j'aurai du acheter, histoire de maintenir tous les morceaux amochés de ma vie et de mon corps. « Tu fais une étrange fixation sur Ikéa. Tu es persuadée que le bonheur se trouve dans ce foutu magasin. Juno, pourquoi tu t'obstines à venir ici ? Il y a rien pour nous là-bas. Rien. Tu vas mal, et c'est pas en achetant une lampe que tu apprendras à sourire. Ça ne te donnera rien. Sauf un peu de lumière, à la limite. » C'est ce que Dumbledore a dit, "On peut trouver le bonheur même dans les moments les plus sombres... Il suffit de se souvenir d'allumer la lumière". C'est pour ça que j'ai acheté la lampe. Je crois. Pour le trouver ce bonheur. Ce mythe étrange. Mais je crois surtout que, oui je crois que je crèverai un jour de ne pas réussir à le trouver ce bonheur. Je pourrai vomir d'aller aussi mal. Je dérange peut-être finalement. Déranger c'est ce que je sais faire de mieux apparemment. « Il y a trop de souvenirs qui t'animent. Tu ressembles à un pantin désarticulé qui s'apprête à se jeter dans le vide. Tu n'es pas un oiseau, mais tu aimerais bien, j'le sais. Je ressens ce que tu ressens Juno, et tu me fais flipper. Allume toutes les lumières que tu veux, tu sais très bien que ce n'est pas en allant tous les jours chez Ikéa que tu verras un sourire fleurir sur tes lèvres. Tu vas crever comme une malheureuse défroquée par la vie. Acheter du scotch, ça va pas t'aider non plus. Même le double-face, c'est que de la merde. Tu regardes les gens passer, tu ne veux pas être un mouton comme eux, c'est ton choix. Mais sois pas une vache qui regarde passer les trains. Avance Juno, tu vas voir comme c'est drôle de vivre un peu. Qui sait, tu te surprendras peut-être à aimer ça. » Et le silence devient maitre. Les paroles de Pépie semblent tourner en boucle dans ma tête. Avance Juno. Dans quel sens ? Quelle direction prendre ? Dans Ikéa il y a des fléches, mais dehors je suis perdue. Alors je me retourne vivement et dans mon élan je percute un homme. Le carton avec la lampe tombe au sol, les éclats de verres se font entendre et je lâche un juron. Un bonheur même pas consommé qui vient de finir en éclat. Super. « Désolée. » Je relève le visage vers l'homme que j'ai bousculé et ouvre la bouche pour m'excuser une nouvelle fois mais à la place que je me contente de la refermer. J'me sens transportée, ailleurs, si je pouvais je m'agripperai à sa présence, je resterai collée à ce mec toute ma vie. Mais c'est con. Je suis pas une huître. Je vais pas m'accrocher à lui. « Aeron. » Simple murmure. Un chuchotement qui ressemble à une plainte. Silence. « Dis-moi, ton vœux s'est réalisé ? »

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“I love how she makes me feel, like anything’s possible, or like life is worth it.”

Une nouvelle maison. Il y a quelques jours avec Olive et Oscar, nous avons emménagé dans une ancienne caserne à pompier. Je vous dit pas comment c'est le pied d'avoir une barre à incendie qui part de ma chambre et qui atterrit directement au rez-de-chaussé. L'envers du décor, c'est que ma chambre ne ressemble à rien. Je le lit sur le visage de captain avoine qu'il déteste la nouvelle décoration qui ne peut même pas être qualifié de bordélisme compulsif. Beebel n'oserait même pas mettre les pieds à l'intérieur, je me dois de faire quelque chose. Je n'est pas encore ressortit mes dessins, ni même mes figurines et encore moins mes peintures, cela ne me ressemble pas. Nouvelle chambre, pour une nouvelle vie. Je sais exactement où je pourrais trouvé ce que je souhaite, il y a un petit paradis qui est semblable à un immense labyrinthe et qui offre un bonheur certain. Ikéa. Lorsque l'on met les pieds à intérieur, on est sur à cent pour cent de ressortir avec ce que l'on désire. Je ne suis pas doué question décoration, je demanderais bien à Olive de m'aider, mais elle est de sortie. Je vais devoir me débrouiller comme un grand, ça va me changer de d'habitude et puis au moins, cela sera soudain. J'aime en parlé comme si c'était un évènement important, comme si ça allait changé le cours de certaines vies. Je prend mon courage à deux et pars de la maison en direction d'Ikéa. J'essaye de savoir ce que je souhaite, mais j'ai toujours eu une décor très personnelle, alors c'est compliqué de me fixer sur une déco spécifique. Dans mon sac, j'ai emmené captain avoine, car lui aussi avait le droit de choisir avec moi. Je dis grandir, mais je dois être le seul adulte à me balader avec un cheval en plastique dans mon sac et surtout le seul qui a un cheval en plastic comme confident.

« C'est partit pour nous trouver un nouveau nid douillet. » J'avance d'un pas décidé, je ne fais pas attention à ce qui m'entoure, c'est comme s'il y avait un couloir magique avec des petits bouts de pains qui m'indiquent le chemin à suivre. Je suis ramené à la réalité lorsque l'on me percute et l'on m'arrache à mon couloir, mon super couloir... Le carton de la jeune femme tombe et quelque chose semble s'être brisé à l'intérieur. « Désolée. » Je m'apprêtais à répondre, mais lorsque je relève ma tête, je suis à des années lumières de ce que j'aurais pu imaginer. Je n'en croyais pas mes yeux, ça me fais le même effet à chaque fois. La surprise sera toujours la même et surtout, depuis qu'on s'est parlé. Le destin ça existe, j'en suis persuadé maintenant. Ou c'est Ikéa juste Ikéa. Je la scrute n'oubliant aucun trait, je suis incapable de sortir le moindre mot comme si j'étais en état de choc. « Aeron. » murmure t-elle, je ne sais pas comment je dois prendre le ton de sa voix, mais je m'en fiche. Elle a prononcé mon prénom, dans ma tête je pouvais lui faire prendre la voix que je voulais. « Dis-moi, ton vœux s'est réalisé ? » Le voeux. Elle est partie prématurément lors de notre réunion improvisée du club de lecture, j'ai interprété cette scène de toutes les façons possibles passant par plusieurs émotions à la fois. Au final, je suis resté sur mon voeux. Je n'aurais jamais pu espérer mieux. Ma soirée s'est déroulé exactement comme je l'est toujours désiré, je n'avais pas le droit d'en vouloir plus, j'avais juste peur de l'avoir fait fuir avec mon histoire de mariage. « Il s'est réalisé. » dis-je simplement avec un sourire celui qui je lui avais accordé tout au long de notre soirée. Mon regard est planté sur elle, j'essaye de lui faire passer le message, mais je n'insiste pas pour autant. Je voulais la revoir, voilà mon voeux. Simple et peut être un brin pathétique, mais c'était mon voeux. Je repense au carton et surtout à sa contenance qui fut sacrifié pour l'on se retrouve. « Ton carton. » je baisse les yeux, afin de connaître le nom spécifique de l'objet, c'était une lampe. Je me sens coupable. Captain Avoine, Captain avoine se trouve à côté du carton. Il a dû tombé de mon sac pendant la collision, dur. « Je te présente mon meilleur ami d'enfance "Captain Avoine", c'est assez gênant. » dis-je en le regardant. Je me baisse et le ramasse. Je n'allais pas le laisser tout seul sur le parking et faire comme si de rien était. Je n'avais pas envie qu'un enfant me le vole, le mal-traître et pire encore. Il faut que je rebondisse sur autre chose, sinon elle va me prendre pour fou qui parle avec un cheval en plastique. « Euhm. Je compte aller m'acheter une chambre, tu veux m'accompagner ? On pourra te trouver une nouvelle lampe. » dis-je gêné en me grattant le derrière de la tête, c'est une proposition banale d'un mec banale à une fille qui est à des années lumières de tout ça. Juno Stark ou la fille qui fait mon bonheur depuis des années sans même le savoir.

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I’m the type of person who suddenly gets really crazy about something and equally suddenly gets over it.

« C'était quoi ? » que je demande. « Ton vœu, c'était quoi ? » Il paraît qu'être amoureux, ça rend heureux. Mais c'est que des conneries, qu'une légende urbaine qu'on raconte aux gosses pour les rendre un peu plus heureux. Il y a pas de prince charmant qui arrive sur son cheval, qui se met à chanter l'amour et toutes ces conneries. Il y a juste Aeron. Aeron et son cheval en plastique. Aeron et sa gueule de chanceux, de mec heureux par la vie. Il a la tête d'un type amoureux. « Amoureux de sa blonde là. » La jalousie de Pépie m'arrache un vague sourire qui ressemble plus à une grimace. Je fixe ses lèvres qui s'étirent dans un sourire, et lui me regarde bizarrement. Peut-être que j'ai de la pâte à dentifrice au coin de la bouche. Ça serait salement con n'empêche. Ou alors c'est sa tête d'amoureux qui ne me revient pas. D'ailleurs, je braderai bien un peu d'amour si ça pouvait me permettre d'être heureuse. Mais je crois que même ça, j'en ai pas en stock. On peut pas conserver de l'amour dans une boite ? Dommage. Pourtant l'amour c'est un produit de consommation. C'est comme un kinder bueno, ça se partage mais quand il est mangé, il n'y en a plus. « Un peu logique, non ? » Ouais. Personne n'est fait pour s'aimer toute la vie de toute façon. Un kinder ça finit par pourrir. C'est que des conneries sinon. On peut s'aimer un peu. Mais on ne s'aime pas pour toujours. On peut s'aimer partout, mais pas pour toujours. Parce que toujours, c'est long. Parce que toujours, c'est impossible. Je n'ai pas aimé Reedel pour toujours. Alors j'me dis que peut-être grâce à Aeron je pourrais être heureuse par procuration. Encore faut-il qu'il me le dise, son foutu vœu. Il se penche pour constater les dégâts sur mon carton et dans ses affaires. J'ai pas trop d'espoir pour ma lampe. Je crois qu'elle est fichue. « Je te présente mon meilleur ami d'enfance "Captain Avoine", c'est assez gênant. » Ouais. C'est gênant. C'est con aussi. Il y a Pépie qui est pendue à ses lèvres, qui boit ses paroles alors qu'il raconte n'importe quoi. Son vœu s'est réalisé, il a cassé ma lampe et son meilleur ami c'est un cheval en plastique. Il me le montre, confus. J'aimerais le rassurer, lui dire que finalement c'est pas si grave. Avoir un cheval comme meilleur ami c'est comme avoir une voix dans sa tête. Ça fait passer pour un fou sans ami. « J'ai pas de cheval, et j'ai pas d'ami. » Et ma lampe, éparpillée en mille morceaux partout sur le sol. Ma lampe qui devait m'aider à trouver le bonheur. Ma lampe brisée, cassée, abimée, consumée avant d'être consommée. Comme le bonheur qui danse autour de moi, mais qui ne m'enveloppe jamais. J'aimerais ne plus avoir de voix dans ma tête, j'aimerais juste une fois ne plus penser, ne plus avoir penser. « Tu oublies Danaé ? » Elle est amie avec toi. « Tu sais bien que c'est faux. Elle est amie avec toi aussi. Et Téo ? Téo c'est notre amie. A toi, à moi, à Danaé. » J'arrête de l'écouter. Je fixe Aeron. Je le regarde qui finit par ranger le cheval dans son sac. J'aurais bien aimé avoir un Captain Avoine moi aussi. Mais tant pis, j'ai Pépie. « Je suis ton Captain Avoine. » Seulement il suffit pas que je te range dans un sac pour que tu te taises. Tu seras toujours là, à me pourrir la vie, à fantasmer sur Aeron, à rêver de lui comme tu sais si bien faire. Et quand il se redresse devant moi, c'est tous les amoureux de la planète que j'emmerde. Il y a pas d'amour, il y a pas de bonheur, il y a pas de kinder bueno à partager et l'espoir a disparu. Il me regarde. J'le fixe bêtement et j'hausse les épaules. « Mais j'ai Pépie, là-dedans. » Je tapote doucement sur ma tête. Le regard posé sur son visage heureux. Je soupire. On se connait à peine, je pourrais lui raconter ce que je veux. Je pourrais lui dire pour Pépie. Là, comme ça. Juste pour lui faire peur. De toute façon, il ne comprendrait pas. Personne ne comprend jamais trop. Il y a juste Zola qui peut. Les autres font semblant. Ils font toujours semblant de comprendre. « Danaé, elle nous comprend. » Je ferme les yeux. Tente d'oublier Pépie. De l'éliminer un peu de mes pensées. De ne plus penser. « Je suis toujours là. » J'ai pas envie de te parler. Alors je décide juste de changer de sujet, vers un sujet qui nous mettra moins mal à l'aise. « Bref, je raconte n'importe quoi. » Je tente un nouveau sourire, mais décidément, je suis plus très douée pour ça. « Euhm. Je compte aller m'acheter une chambre, tu veux m'accompagner ? On pourra te trouver une nouvelle lampe. » J'ignore si c'est normal de demander à une autre fille d'aider à choisir une chambre alors qu'il a une petite-amie, mais je pose pas de question. Je crois même que je souris un peu. Non pas parce qu'on va me chercher une nouvelle lampe mais parce qu'il veut bien de moi. « Admets-le, tu l'apprécies. Et arrête de m'ignorer. » Toi arrête de parler d'abord. « Blablabla, je continue si je veux. » « C'est d'accord, j'veux bien t'accompagner. Mais tu n'as pas intérêt à me redemander en mariage hein ?! » « Tu lui diras oui, ça sera plus simple. » Je soupire. Lève les yeux au ciel. Parce que je suis lasse. Mais je me retiens pour pas gueuler. C'est souvent ainsi. Que je garde le silence. On finit tout de même par rentrer dans Ikéa. Et ça me fait bizarre d'y venir en compagnie de quelqu'un. D'habitude je suis toute seule. « Seule avec moi. » Nouveau soupire. Je passe mon bras autour de celui de Aeron et l'entraine vers le parcourt de la visite. « Fais lui la conversation. » Mais je sais pas parler. Je sais pas quoi dire. Je sais juste suivre les flèches au sol. Finalement je lui jette un coup d’œil. Il sourit. Il sourit toujours. Et je réalise que je suis soudainement fusionnelle avec Pépie. Plus que d'habitude. On l'est toujours en présence de Aeron, je crois. Déjà à la réunion au lycée, nous l'étions. Sauf à partir du moment où on est entrés dans la salle de lecture. Je la sens dans chaque fibre de ma peau. Comme ci elle voulait profiter du contact de Aeron autant que moi. Eurk. Je retire mon bras et fourre mes mains dans mes poches. « Ta copine t'a dit quel genre de chambre elle souhaitait ? Ou tu choisis celle que tu veux ? » Il fallait que je dise quelque chose. Pour masquer ma gêne et pour faire taire Pépie qui s'apprêtait à parler et peut-être même à m'engueuler. Parce qu'elle passe son temps à ça. Mais je viens d'aborder un sujet qui attise sa jalousie. Ça m'amuse de l'entendre ronchonner contre la blonde de la soirée ou contre une potentielle copine de Aeron. « Tu es jalouse aussi. » Il manquait plus que ça.

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» nika • tu peux courir à l'infini, à la poursuite du bonheur, la terre est ronde autant l'attendre ici
» loly ※ Le bonheur ne serait pas le bonheur sans une chèvre qui joue du violon.
» if we were in wonderland ∆ Aeron.
» Somebody save meee ♪ Aeron&Eli.
» high school never end ∆ stark & aeron man.

à la poursuite du bonheur. (aeron)

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