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we're sleeping together, but it doesn't mean that we're fucking together. (sade&blythe)

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MessageSujet: we're sleeping together, but it doesn't mean that we're fucking together. (sade&blythe) we're sleeping together, but it doesn't mean that we're fucking together. (sade&blythe) EmptyDim 6 Jan - 21:22

Découvert de ses draps vaporeux, l’astre du jour étincelait de mille flammes dans les cieux. Ses majestueux rayons caressaient chaudement les plaines enneigées de Montsimpa, ravivant inexorablement les carnations endormies par l’hiver. La neige tombait. Je humais son parfum. Collée à lui, comme si nous ne faisions qu'un. Je lève la tête et le regarde là, dormir. Il a l'air tellement innocent. Mais il est trop jeune pour souffrir, trop jeune pour tout ça. Nos rires s’étaient librement évanouies dans l’atmosphère, emportés dans de lointains pays par les ailes des oiseaux. Le calme s'était installé. À chaque respiration son souffle soulevait doucement mes cheveux. Je joue avec mes doigts sur sa peau matte. Et nous restons ainsi. Deux libertins n'ayant encore pas couché ensemble et qui ne coucheront ensemble. Se câlinant comme un vieux couple. Pathétique. Un soupir quitte la barrière de mes lèvres. Je m'adosse contre le mur, ma main se referme autour de mon sac et j'en sortis une cigarette et son fidèle briquet. Entre un nuage de fumée et une gorgée d’alcool, je le regardais. Flemmard. Une dernière bouffée et je jetais celle qui me tuerait un jour dans le cendrier. Le cendrier. Toute ma vie était dans le cendrier. Sade n'est toujours pas là. Perdue dans un monde de rêves ou de cauchemars. Je ne vais pas le réveiller. Je ne vais pas le réveiller parce que je briserais le mur qui l'entoure, la paix. Et que sa colère le ré-détruira complètement. Comme tous les matins. Haussement d'épaules. Mes pieds nus se posent sur la moquette bleue de la chambre, mon corps se lève, même si mon esprit est encore ailleurs. J'enfile un short. Parce que je tenais à garder ma dignité au cas où mon malheureux chemin me mènerait jusqu'à sa mère. J'envoie rapidement un SMS à Nicho. « Suis chez un ami, je reviens dans genre 3 heures. Je t’aime. » Mon téléphone retourne dans mon sac et avec précaution j’ouvre la porte qui mène au petit salon. Merde, faut que je pisse aussi. Tant pis Blythe, on attendra jusqu’à ce que ta vessie explose. J’ouvre donc la porte et doucement je traverse la pièce. Sa mère dort. Plus besoin de faire gaffe. J’ouvre donc, brusquement le frigo. Il n’y a presque rien. De l’eau, les restes d’hier soir, de l'alcool et du pain. Je soupire et mon ventre grogne. Je vais oser : doucement je toque à la porte de la chambre de sa mère. Et merde, qu'est-ce que j'ai fait ? De toute façon il est trop tard, un « qu'est-ce que tu veux petite merde ? » se fait entendre de l'autre côté de la porte. Paniquée je me mords la lèvre et ferme les yeux. Tu es conne, tu es conne, tu es conne. Mais rester ainsi me présentera juste comme encore plus conne. Doucement j'ouvre la porte. L'odeur de vomi, d'alcool, de moisi, de merde, me frappe au visage. Oh mon Dieu. Infecte. La tapisserie de la chambre est arrachée, le sol sale, pleins de bouteille d'alcool. Les volets fermés. Les livres étalés, déchirés, tachés par terre. Je me retiens de crier. Et je suis obligée de me ressaisir car ma tête ne doit pas ressembler à celle de Dora quand elle voit babouche et j'en passe. « Oh, tu es une de ses salopes. » Un rire dégueulasse se libère d'elle. Je la regardais gênée et énervée. Pour qui elle se prenait de me parler ainsi. Mais elle était bourrée, c'était comme ça. Dépressive, blasée, après la mort de son fils. Je retire donc mes griffes et me mets à bégayer. « Je...je suis désolée de vous avoir déranger. C'est juste que... -long moment de silence- il n'y a rien à manger dans le frigo et je pensais que... je pourrais aller faire les courses pour vous. » La femme, affalée sur son canapé me regarda, étonnée. Puis leva les yeux au ciel, fouilla dans les recoins du canapé et en sortit des petits billets. « Je sais pas ce que mon fils t'a fait mais tu es bien mignonne. Tiens, 35 $, maintenant dégage. » Je me penche pour prendre l'argent et me dépêche de ressortir de la chambre maudite. Je referme la porte derrière moi, je ne peux plus me retenir, mon visage montre tout les airs que je cachais dans la pièce. Mélange super je vous dis. Bref. Je m'attache les cheveux en chignon et retourne dans la chambre du roux. Il dort encore. Je soupire. Tant pis pour lui. Je prends mon élan et lui saute dessus. Il laisse échapper un grognement de mécontentement et ouvre un oeil. « Ta mère m'a donné 35 dollars pour faire les courses. Tu veux continuer à dormir où tu viens avec moi ? » Je pense connaître la réponse. Et le connaissant ce sera non. Mais, on peut toujours essayer.

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MessageSujet: Re: we're sleeping together, but it doesn't mean that we're fucking together. (sade&blythe) we're sleeping together, but it doesn't mean that we're fucking together. (sade&blythe) EmptyJeu 10 Jan - 23:20

❝ Ils n’étaient pas toujours d’accord, en fait ils n’étaient jamais d’accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun ils étaient fou l’un de l’autre...❞

Ton cœur se serre, alors que ta tête se relève dans un gémissement de plainte alors qu’un poids énorme s’écrase brutalement sur ta cage thoracique. C'est quoi ce putain de bordel ? Ouvrant lentement les yeux, tu jettes un regard par la fenêtre crasseuse en face de toi. Dehors le ciel se pare de zébrure rosées, signe annonciateur d'un soleil levant alors que de minuscule flocon de neige tombent lentement, recouvrant peu à peu les rues de montsimpa. Putain mais il est quel heure ? Tu n’as pas le temps d’ouvrir la bouche pour demander l’heure à la chose emmerdante qui squatte ton torse depuis plusieurs minutes déjà, que tu te retrouves harcelé de question. Ton cerveau encore assommé par la dose d’alcool que tu avais ingurgité cette nuit t’empêche de comprendre un seul des mots qui s’échappent des lèvres de blythe. Tu fronces les sourcils, tentant de t’efforcer à suivre ses paroles. Faudrait qu'elle pense à ralentir la cadence, il est bien trop tôt pour que ton cerveau soit en parfait état de marche. Posant l’une de tes mains sur sa bouche pour la faire taire alors que sa jumelle se pose sur les tienne pour lui montrer qu’elle devait se la fermer, tu te décides enfin en placer une. "- How on se calme, ok ? Putain mais il est quelle heure-là ? Et vire ton putain de gros cul de mon torse tu m’écrases espèce de triso " Etre aimable ? Tu ne onnais pas… Tu ne peux pas t'empêcher de dresser sur tes lèvres un sourire narquois. T'es détestable comme mec mais tu t'en balances. Prenant une longue inspiration, tu te relèves avec le peu de courage qu'il te reste pour poser tes avant-bras à plats sur le drap anciennement blanc, grimaçant quand tes cervicales craquèrent. Faisant fi de la douleur que te procure chacun de tes muscles quand tu bouges, tu passes furtivement ta main sur ton visage, afin de frotter énergiquement tes yeux encore emplis de sommeil puis dans ta nuque avant de faire glisser ton bras droit un peu plus loin que ton corps, tes doigts tâtonnant la boiserie du meuble posé à côté de toi, à la recherche de ton téléphone. Un sourire triste étira tes lèvres quand la photo de ton frère que tu avais mis en fond d’écran te sauta aux yeux. T'as l'esprit qui s'amuse à contrôler ton cœur gelé. Marteler ton âme de soubresauts dérangeants. Les souvenirs affluent, comme une vague que tu te prends en pleine gueule. Il t'arrive parfois de vouloir oublier. Son nom, Son visage. Le début de vie que tu as mené avec lui. Oublier les derniers mots qu'il avait murmuré à ton oreille, pour ne plus sentir tes os se glacer lorsque leurs souvenirs te frappent au visage, s'écrasent contre ton cœur comme un coup de couteau. Un long soupir lourd de sens franchit la barrière de tes lèvres alors que tu reprends peu à peu place dans la réalité. Envoyant valser le corps de blythe qui encombrait toujours ta poitrine, tu t’étiras longuement, te mouvant dans tous les sens envisageables, pouvant entendre et sentir chacun de tes os craquer sous tes mouvements. Te hissant lentement pour t’assoir sur le matelas qui habitait le sommier du lit, tu laissas échapper un jappement de douleur quand ton pouls valsa douloureusement dans tes tempes, seul vestige de ta nuit de fête. Ton corps te paraît lourd et tu fais un effort surhumain pour t’extirper des draps chauds et rassurants de ton lit, qui te protègent tel un enfant effrayé par le monde extérieur et poser tes pieds dévêtus sur le parquet qui recouvrait le sol crasseux de ta chambre, encore refroidi par la nuit. A peine debout, que tu t'enfiles un rail de coke. Parce qu'en ce moment tu marches qu'à ça. Ton corps en souffre mais tu t'en balances. Après tout tu cherches un moyen de le rejoindre non ? Alors autant prendre du plaisir avant de bouffer les pissenlits par la racine ! Te retournant lentement, évitant de planter tes yeux dans ceux de blythe, tu t’approchas lentement de son corps toujours assis sur le matelas, posant doucement tes mains moites sur ses hanches parfaites. "- Tu veux que je vienne avec toi faire des courses ? Donne-moi une putain de bonne raison de venir sinon j’vais a nouveau rejoindre Morphée amour… " Un sourire pervers étira tes lèvres alors que tu doucement tu l’embrassa dans le cou, faisant vagabonder tes doigts sur ses côtes sans jamais vraiment la toucher intimement. Blythe était sans doute l’une des seules qui refusait de coucher avec toi, mais tu ne pouvais pas lui en vouloir après tout votre amitié comptait beaucoup plus pour toi qu’une histoire de cul…Déposant un dernier baiser sur sa peau diaphane tu t'éloignas en offrant à ses hanches une dernière caresse aérienne, attrapant au passage le pantalon en toile blanc et la chemise noire qui trainaient à côté d’elle sur le lit pour les enfiler."- Prend Alecto avec toi et casse-toi !" A peine que tu as prononcé le nom alecto qu’une boule de poils à peine plus grosse qu'un ballon de backet percute violemment la porte de ta chambre pour s’y engouffrer et te sauter dans les bras. Une langue rugueuse entra presque intensément en contact avec la peau tendre de ton visage, et tu grimaças de dégout. T’avais beau aimé ce chiot, tu ne pouvais t’empêcher d’être dégouté quand il te léchait, sans doute parce que comme toi il fourrait sa langue n’ importe où…Offrant une dernière caresse tendre à la boule de poils toujours occupée à te laver le visage à coups de muscle baveux, tu le fourra dans les bras de la jeune fille avant de te jeter sur le lit pour t’y recoucher. "- Bye bye chérie" Blythe et toi, c'était un peu comme un vieux couple dans "Les Feux de L'Amour"; vous étiez clairement incompatibles, mais au final,vous vous apportiez mutuellement beaucoup de choses. Envers et contre tout, comme un pacte silencieux, vous vous l'étiez promis. L’un sans l’autre n’avait jamais été envisageable et ne le serait sans doute jamais. Et tu te rattachais à elle, comme à une bouée, une corde, quelque chose qui te sauverait contre tout ce qui était horrible en ce bas monde.



Dernière édition par T.H Sade Hendrik le Mar 22 Jan - 7:16, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: we're sleeping together, but it doesn't mean that we're fucking together. (sade&blythe) we're sleeping together, but it doesn't mean that we're fucking together. (sade&blythe) EmptyDim 20 Jan - 18:57

Un vague d'ardeur, de vanité, de chaleur. Elle me faisait culbuter du radeau auquel je m'accrochais. Me jetant dans l'immense mer débordante de mélancolie. Sa langue parcourait mon cou. Baisant ma peau, effleurant mes épaules. Que je sens de rudes combats. Contre mon propre honneur mon besoin s’intéresse : continuer et perdre ou arrêter et perdre. L’un m’anime le cœur, l’autre retient mon bras. Je ne peux pas. J’aurais ordonné à mes mains de repousser l’homme, l’enfant, mais, je ne suis plus maître de mon corps. Ironisons. Oui, ironie, mais triste vérité. Lamentable même. Une raison qu’il demande. Je le regarde, sans vraiment le faire. Trop occupée à songer de tout et de rien. Bon. On n’a pas besoin de deux dépressifs. Je lâchais un dernier soupire. Le chien dégueulasse de Sade s’agrippait à mes cuisses nues. Aie. « Putain. Tu fais chier Sade. » Je soulèvais le chiot à la hauteur de ma tête. Mes yeux se plongaient dans les siens. Ils sont noirs, vides, apeurés. Bien sûr,’il ne comprenait pas. Mes mains moites se refermaient autour de son ventre. Profitant pour les plonger dans son beau pelage soyeux. De toutes les choses qu’avait Sade, il était sans hésiter la plus propre. Mes muscles se plient, approchant la bête de moi. Ma joue se collait à ses poils, la chaleur de l’animal me caressait la peau. Grimace. « Ton maître est méchant. Tu ne veux pas que je t’adopte . » Je lui souris. Et me voilà. Faisant la conversation à un chiot. Je posais l’animal sur le lit et me rapprochais de Sade qui avait refermé les yeux. Mes doigts saisisèrent le papier et les herbes. En ce moment on carburait qu’à la façon tapis magique. Je déchire, je plie, j’étale et à la fin roule le joint comme d’habitude. Je tapotais sur l’épaule du roux. « Lève-toi le feignant, on fait des soufflettes. » Il râle, grogne, soupire mais à la fin il se retrouve assis en face de moi. J’allumais le joint, le pinçais entre mes lèvres, la partie brulante dans ma bouche, le carton vers l’extérieur laissant visible environ 1 cm de papier. Sade s’approche, enveloppant l’autre côté dans sa bouche et posant délicatement ses mains autour de sa bouche tandis que les miennes viennent se balader sur ses épaules. Doucement, je soufflais. La fumée coincée entre ses mains s’infiltrait dans ses narines et sa bouche. Mes yeux s'étaient égarés dans les siens. Je pourrais rester ainsi toute la journée. Fumer avec lui. Boire. Écouter de la musique. La réalité s’en irait, disparaissant lentement sous le brouillard du bonheur. On ne réfléchirait pas. Que lui et moi. Mais. C'était juste trop beau pour être vrai. Les petits bouts brulants de papier atterrissaient sur ma langue. Lentement je me reculais et retirais le joint de ma bouche. Je lui souris. Tirais un coup et lui soufflais au visage. Puis je lui passais le joint. Ma main ébouriffait ses cheveux et je me levais. Mes pieds, d’un bruit sourd se déplacèrent sur le sol poussiéreux pour aller fouiller dans mon sac. Mes doigts se refermèrent autour de mon haut, le soulevant lentement. Face au mur, histoire de garder un peu d’espace privé quand même. Dos nue, seins nus. Les bretelles de mon soutien se posèrent sur mes épaules et maladroitement je refermais les crochets. J’enfilais un pull et ma main retourna dans mon sac à la recherche du jogging que j’avais, la veille , rapidement fourré dedans. Je me débarrassais du vieux short que je portais et enfilais l’habit grisâtre. Un jet d’eau sur le visage, du mascara, un coup de crayon et le tour était joué. Mes mains saisissaient une pastille à la menthe que je posais sur ma langue avant de lâcher mes cheveux. Je me retournais vers Sade et lui jetais quelques habits qui étaient négligemment posés sur une armoire sur le lit. « Bouge toi. On va faire les courses. » Je lui fis un faux regard sévère. « Et ne t’avises pas à dire non. » Je m’adosse contre le mur, jouant avec mes doigts en attendant que le gosse s’habille.

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MessageSujet: Re: we're sleeping together, but it doesn't mean that we're fucking together. (sade&blythe) we're sleeping together, but it doesn't mean that we're fucking together. (sade&blythe) EmptyDim 3 Fév - 20:47

❝ Ils n’étaient pas toujours d’accord, en fait ils n’étaient jamais d’accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun ils étaient fou l’un de l’autre...❞

Couché sur le matelas, la tête sur l’oreiller déplumé tu écoutais distraitement ton amie parler. « Ton maître est méchant. Tu ne veux pas que je t’adopte. » Grognant de mécontentement tu attrapes brutalement ton chiot sans pour autant lui faire mal pour le ramener contre toi, pressant son corps brulant et gigotant contre le tien, grimaçant quand ses griffes anormalement longues se plantèrent dans ta peau bronzée, y laissant de longues marques ensanglantés. Mais la douleur infinie qu’elles te produisaient n’était rien en comparaison à celle qui te martelaient de coup de poignard le cœur. « Crève c’est ma boule de poils ! » Nez contre museau. Tu enfonces ton faciès dans le pelage duveteux de ta boule de poile vivante, autrement appeler Alecto. Sa langue vient doucement lécher tes joues rebondies alors qu’il jappe de bonheur. « Hein Alecto dit lui que c’est moi ton maitre ! » Replongeant ta tête dans ton oreiller tu continuas de lentement caresser la tête de ton chiot, tu tentas vainement de replonger dans tes rêves. Tirant ton iPhone 4s de sous ton oreiller blanc tu le ramenas contre toi, appuyant sur la touche pour affiche l’écran de vieille. Les traits si familiers de ton frère s’affichèrent devant tes yeux embués de sommeil contenu, soupirant tu envoya valser l’objet contre le mur faisant sursauter tes deux amis, leurs offrant un sourire contrit tu attrapas la couverture pour la ramener sur ton corps. « Lève-toi le feignant, on fait des soufflettes. » La voix aigüe de la jeune femme te tira de sa rêverie alors que tu commençais tout juste à t’endormir. Putain elle ne pouvait pas juste arrêter de te faire chier et te laisser dormir ? T’expirant de la couette qui te recouvrait partiellement le corps, tu t’approchas d’elle, trainant des pieds. « Putain tu fais chier Blythe » Enveloppant doucement l’autre côté du joint entre tes lèvres tu posais tes mains autour de ta bouche, alors que ses mains délicates se baladaient distraitement sur ton torse pour finalement se poser sur tes épaules. Doucement elle souffla, les yeux plongés dans les miens alors que coincé entre mes mains la fumée légèrement blanchâtre s’infiltra dans mes narines et ma bouche. Au bout de quelque secondes, elle se recula emportant avec elle le joint, avant de prendre une latte pour te souffler la fumée au visage et finit par te le passer, ébouriffant mes cheveux au passage. Te laissant tomber à plat sur le matelas anciennement blanc du lit, grimaçant de douleur quand ton dos craqua douloureusement. Tirant de temps à autre des lattes sur le joint à moitié finit, tu regardais distraitement la jeune femme se déshabiller puis passer un haut puis un jogging gris, tourné vers le mur pour garder un peu d’intimité. Mais à vrai dire ça ne servait à rien, combien de fois tu l’avais vu seins nus ? Un bon nombre de fois, mais tu n’avais jamais tenté quoi que ce soit. « Bouge-toi. On va faire les courses. » Soupirant tu laissas glisser le reste de joint le long de tes doigts, jusqu’il s’écroule lamentablement sur le sol. « Crève j’bouge pas là… » « Et ne t’avises pas à dire non. » Soupirant de mécontentement tu plantas tes yeux dans les siens qui ne te lâchaient pas, un grognement déçu grimpa le long de ta gorge pour résonner dans la chambre pour claquer contre ses oreilles. Putain elle ne rigolait pas, tu allais devoir te lever, sortir et faire les courses comme un putain de vieux couple. « Putain tu fais vraiment chier… » Posant tes mains à plat sur le martelas tu surélevas le haut de ton corps jusqu'à être dans une position assise, tu caressas tendrement une dernière fois la tête poilue de ton chiot avant de choper des fringues propres qui trainaient sur le sol. Les pieds posés sur le parquet crasseux tu te relevas, enlevant par la même la chemise noire qui recouvrait ton torse ainsi que ton boxer et ton pantalon en toile blanc. Te trainant dans la salle de bain entièrement nu, tu te glissas rapidement sous la douche, gémissant de bien être quand l’eau brulante coula le long de tes muscles endoloris. Savonnant rapidement l’intégralité de ta chair brulée par la température de l’eau, tu caressas doucement le tatouage qui noircissait ton avant-bras ainsi que tes multiples cicatrices. Samuel…Le nom de ton ainé, le nom de l’homme qui t’a brisé par égoïsme et lâcheté ! Griffant sauvagement ta peau rougis, tu te rinças rapidement sortant de la cabine de douche, te trimballant toujours aussi nu qu’avant. Chopant les affaires que tu avais posées sur le lit, tu enfilas lentement ton boxer, envoyant un sourire aguichant à la jeune femme qui ne te lâchait pas des yeux. Une fois complètement habillé tu mis assis sur le lit pour enfiler tes chaussures noires, avant de te lever te plantant devant ses yeux. « Bouge toi pauvre crétine ou j’te jure j’me recouche !… »
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