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MessageSujet: where is my mind ? • Sade. where is my mind ? • Sade. EmptyJeu 10 Jan - 22:34

WHERE IS MY MIND ?
SADE&BAX


    Une bonne journée aujourd’hui. Tellement bonne qu'j'ai décidé de suivre le plan prévu et d'aller le retrouver à Montsimpa. Sean est surpris, j'peux le comprendre. Après des journées comme ça, j'préfère me poser tranquillement à la maison, me boire une bière et bouquiner un peu. Quand il m'a vu attraper mes rollers, j'l'ai étonné, ce qui n'arrive pas si souvent car il semble que mon meilleur pote puisse lire en moi comme personne, même s'il n'arrivera jamais à terminer le bouquin, ça c'est sûr. Il voulait venir avec moi, mais j'ai prétexté un rendez-vous (ce qui, au fond, n'est pas un mensonge, même si ce n'est en aucun cas le genre de rendez-vous auquel il pense que je vais) et j'ai filé. En chemin, je me suis demandé si c'était le bon choix, si j'devais vraiment me comparer à un gamin au lieu de continuer de me comparer à Sean (ce qui est plus facile, autant pour le moral que pour le physique). Mais il m'a énervé, lui et sa gueule d'ange, sa façon d'faire, sa facilité à aborder les gens. Même Sean semblait sous le charme de ce gamin, comme épris de fascination pour un être différent de nous. Ca a presque fonctionné sur moi, mais plutôt que de me laisser prendre par ses filets séducteurs, j'ai décidé de m'inspirer de lui. Il ne m'a aucunement provoqué, mais un gamin comme lui qui réussit mieux que moi... qui semble aussi intelligent même, peut-être... ca m'emmerde. J'aspire à la popularité, et Sean me pique déjà la vedette, c'est un peu honteux de se la faire piquer aussi par un lycéen, non ? Et puis, je sens qu'il sait. Je sens qu'il voit clair dans mon jeu, qu'il voit que je ne suis pas si à l'aise que ça, que je ne suis qu'un débutant, un puceau. Putain, ce mot me fait chier. Mais j'ai senti dans son regard qu'il savait. Je me suis peut-être fourvoyé car il ne m'a rien dit de remarquable, mais je ne me fourvoie que très peu lorsqu'il s'agit de ma fierté. Et là, elle fut touchée de plein fouet par ce type. Sade, c'est son nom. Pas très viril, non ? Bax, ça sonne mieux. Ou j'dis ça parce que j'suis envieux, comme d'habitude. Je sais que c'est ridicule, et très peu compréhensible pour les personnes qui ne sont pas dans ma tête, mais c'est comme ça. J'ai beaucoup de choses pour moi, pourtant. A croire que ça ne suffit jamais, qu'on veut toujours plus. C'est sûrement ça la malédiction de l'humanité, et je suis malheureusement touché par celle-ci. Fatalité.
    Bref, j'retourne à Montsimpa. espérant le retrouver, peut-être parler avec lui, ou juste l'observer. Je sais que c'est étrange, mais comment apprendre sinon ? J'ai déjà essayé avec Sean, et ça n'a jamais fonctionné. Peut-être que c'est parce que ma belle me suffit, que ma raison m'interdit de devenir quelqu'un d'adroit avec les filles parce qu'elle est là... J'sais pas, mais j'aimerai quand même avoir un impact sur elles. Même si je n'les aime pas, mais je n'veux rien de concret, j'veux plaire et faire parler de moi. J'veux être autre chose que le génie qui bosse dur, ou que le type qui poste des vidéos sur internet. Objectif difficile, parce que c'est c'que je suis, finalement. Allez Bax, arrête de te torturer avec ça. C'est déjà assez honteux de vouloir prendre des leçons d'un gamin, va pas non plus te prendre la tête avec des choses aussi déprimantes que ta vie.
    J'entre dans le bar. Chez Hogan. C'est sympathique, et puis il est là. Je m'assoies le plus loin possible de lui. J'ai envie de lui parler, mais j'ai envie de repartir d'ici. Son visage, sa gestuelle, tout semble parfait, mais rien ne m'inspire confiance, à vrai dire. Il a l’air spécial, différent des autres, mais d’une façon qui fait un peu flipper, si j’dois l’avouer. J'aurais dû rester à la maison, au lieu de venir ici voir un gamin picoler, au lieu de me faire chier avec ces histoires. J'suis un loseur, et alors ? Pas pour tout le monde. Pas pour mon frère... Pas pour Sean, ni pour elle. Mais je m'approche quand même de lui. « La même chose », je dis en pointant son verre du doigt, même si la boisson ne m’appelle pas plus que ça. J’sais pas, j’veux faire bonne impression, j’veux avoir l’air confiant, adulte… Parce que j’le suis, je suis plus âgé que lui, et je ne devrais même pas me retrouver dans ce genre de situation. Mais ça semble tellement plus facile de venir là, de poser son cul ici, à côté d’un inconnu qui me jugera peut-être plus que mon meilleur pote, qui va peut-être me charrier, se foutre de moi… j’sais pas, j’le connais pas. Mais je sais juste qu’il n’est pas à la fac, qu’il en aura certainement rien à foutre d’aller répéter que j’étais là ce soir, qu’il ne me taquinera pas tous les soirs sur mes mésaventures comme Sean, parce que j’espère que c’est la dernière fois que j’vois Sade. Au fond, je ne sais même plus pourquoi j’ai pris cette foutue décision, cette décision de loser, de pédale, de ce que vous voulez. « A vrai dire, j’sais pas c’que j’fous ici », j’lui dis, en toute honnêteté. On verra bien.
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MessageSujet: Re: where is my mind ? • Sade. where is my mind ? • Sade. EmptyDim 3 Fév - 18:10

❝ Si le temps qu'il nous reste n'est pas assez pour toi. Si l'envie déjà te prend d'aller aimer un autre. Accordes-moi l'amour une dernière fois. Je t'en prie mon amour, serre-moi fort dans tes bras. Et même si je suis fou, oui, fou d'amour pour toi. Dès le lever du jour, je te laisserai partir. Puisqu'il n'est entre nous qu'un fragile fil de soie. Qu'il n'y a plus d'amour. Qu'il ne reste que moi... ❞

where is my mind ? • Sade. 03JoO « La même chose la voix grave du jeune roux qui venait de s’assoir à côté de toi te fit sursauter, alors que les yeux plongés dans le fond de ton verre transparent tu attendais que le jeune barman finisse son service pour que vous puissiez enfin finir ce que vous aviez commencé l’heure précédente, lors de sa pause. Abandonnant un instant la contemplation absurde du fond de ton verre, et tes pensées morbides tu tournas brutalement ta tête vers lui tu le détaillas longuement, sans aucune gêne. Partant de la pointe bouclée de ses cheveux d’un roux profond à la pointe noire de ses baskets, exagérément légèrement la contemplation de ses fesses rebondies. Tu le connaissais bien entendu, sinon tu l’aurais envoyé chier directement, tu étais quelqu’un du genre franc et direct, c’était son meilleur ami, Sean, qui vous avait présentez, mais tu n’avais jamais eu l’occasion de lui parler face à face, sans doute lui faisait tu peur ? « Depuis quand on sert le puceau ici ?... Phrase lâchée sans aucune méchanceté juste avec une pointe d’ironie bien placée pour être prise à la rigolade. Mais en vue de la tête honteuse qu’affichait le jeune homme, il avait du mal le prendre « A vrai dire, j’sais pas c’que j’fous ici [/color] Quelque secondes passa avant qu’enfin ta voix grave emplis le silence qui s’était installé entre vous deux. « A tous cassé j’dirais pour enfin te lever une nana ? Phrase aussi ironique et vulgaire. Pour les mecs de ton genre les filles n’étaient que bonnes à être baiser, et ne méritait pas votre respect…Elles n’étaient que des poupées gonflables entre vos mains habiles. Un sourire amusé étira lentement les lèvres alors qu’une jolie couleur rouge colora les joues rebondies de ton vis-à-vis. Il n’y avait pas à dire ce mec avait un caractère bien différent du tien, si lui était timide et réservé toi tu étais du genre exubérant et complètement dévergondé…Lui avait vingt-trois ans et était toujours puceau alors que toi tu en avais seulement dix-sept et tu avais sauté plus de fille que n’importe quel adolescent de ton âge. Et tu en étais fier…Jeunesse dévergondée dès le berceau…Attrapant lentement ton verre en cristal entre tes doigts fins tu le portas doucement à tes lèvres sèches pour le vider presque cul sec. « J’suis d’humeur serviable, j’vais donc t’aider a enfin baiser ! Genre solidarité masculine et puis tu en a vraiment besoin j’crois…oh… Et tu peux aussi remercier le barman qui m’a mis de bonne humeur …ou du moins sa bouche Du toi tout craché, après tout tu avais le droit de dire un truc assez agréable ou sympathique a un moment et la seconde d’après devenir méchant et vulgaire…Et le pire dans tout ça tu en étais fier, c’était un peu comme ta marque de fabrique. Foutu sale gosse… « Premier conseil…Sors toi les doigts du cul Ce n’était pas méchant loin de là, a vrai dire le jeune roux qui te faisait face avait tout pour plaire, un cul a damner un saint, une gueule d’ange en plus il était intelligent mais il lui manquait un petit truc…La confiance en soi, chose primordiale pour la drague…Tirant ton paquet de cigarettes de la poche arrière de ton jeans, tu juras en découvrant tes cancéreuses autrement appeler tes meilleurs amies écrasées les unes contre les autres…Tu allais devoir t’en passer ou en taxer une au barman ou à l’un des mec assis à la table derrière vous. Le paquet abimé en main, tu fis signe au barman de venir avant de tapoter doucement les clopes inutilisables en une demande muette. D’abord sceptique le jeune homme sorti a son tours son paquet pour te le tendre, un sourire aguicheur à la lèvre. Tu allais devoir le remercier, et tu avais une manière bien à toi de le faire. Et elle se résumait à toi et lui dans un lit ou même en pleine rue…après tout tu n’étais pas vraiment pudique question sexe, peu importe le fait que tu ais des spectateurs a vrai dire ça t'excitait plus qu’autre chose… « Parce que là même moi je n’ai pas envie de toi, tu vois l’genre… Pour toi, dire qu’une personne ne te faisais pas envie était sans doute la pire des insultes parce qu’il fallait l’avouer tu baisais littéralement tout ce qui avait une queue et un minimum de cerveau. Et lui avait les deux, mais pas assez de couilles pour te donner envie de le baiser, ou même pour te plaire…Approchant brutalement son tabouret du tien, le faisant longuement tanguer pour garder son équilibre sous ton regard a l’allure moqueuse tu passas rapidement ta main sur ta nuque douloureuse tout en maudissant de ne pas avoir une la bonne idée de prendre une banquette…Malgré leur allure miteuse elles étaient plus confortables que ces hauts tabourets qui meurtrissait tes fesses au même titre que ton dos et ta nuque. « Deuxièmement c’est quoi ton type de nana ?... Plongeant tes lèvres dans le verre d’alcool ambré qui trainait devant toi, tu tournais lentement ta tête vers lui, plongeant ainsi ton regard rougi par le taux d’alcool et de drogue qui stagnait dans ton sang qui le rendait si déstabilisant dans le sien. « Ou d’homme ta main taquine était venu se glisser sur sa cuisse étonnamment ferme alors que tes lèvres encore trempées par la gorgé d’alcool que tu venais de t’enfiler embrassait lentement sa mâchoire masculine. Caresse aérienne qui prit rapidement fin. Après tout même s’il était plus tôt canon dans son genre le jeune homme était trop coincé pour te plaire…Tu avais juste cherché à le choquer, et vu la moue atterrée qu’il affichait tu y avais réussi. Un sourire victorieux étira tes lippes, alors que tu commandais un énième verre de whisky au jeune barman, verre que tu ne payerais bien sûr pas...après tout si tu avais une aussi belle gueule s’était pour t’en servir non ?



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MessageSujet: Re: where is my mind ? • Sade. where is my mind ? • Sade. EmptyMar 5 Fév - 21:14

WHERE IS MY MIND ?
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    Il me reluque sans aucune gêne, et moi j’ai juste envie de foutre le camp. Hier, entouré par toutes ces personnes l’adulant presque - dont mon putain de meilleur pote -, il m’avait semblé cool, le type idéal à prendre comme source. J’crois déjà que j’me suis planté. Je n’peux pas me défaire de l’impression d’étrangeté qu’il dégage, un truc qui m’dérange vraiment, et j’me sens pas à l’aise. « Depuis quand on sert le puceau ici ?... » Je grimace et j’ai envie d’le buter. J’savais bien qu’il était au courant pour moi et si j’suis venu, c’est qu’il me restait une once d’espoir quant à son ignorance. Un type aussi confiant, c’était juste foutu, il allait se foutre d’ma gueule à toute occasion, et ça commençait bien. J’lui réponds pas, ne voulant pas entrer dans son jeu débile, même si j’suis un peu celui qui a lancé les premiers dès en venant ici. J’aurais pas dû. L’ambiance réconfortante du cimetière me manque déjà. J’lui dis que j’sais pas c’que j’fous ici, ce qui est totalement vrai. J’décide de ne pas répondre à sa provocation, ça sert à rien de m’prendre la tête avec un gamin qui pète plus haut qu’son cul parce qu’il a du succès. J’sais qu’il y a un truc pas net. Pourtant, un truc dans son attitude m’attire étrangement, et j’comprends maintenant l’attraction qu’il peut provoquer chez les autres. Comme quoi le malsain intrigue toujours, car j’pense que c’est c’qu’il est, et je n’aurais pas dû venir. Et j’m’en rends d’autant plus compte lorsqu’il me sort une phrase d’une vulgarité… J’bois une gorgée d’mon verre, ça va j’aime bien, et j’lui souris un peu, sombrement. « Nous ne jouons absolument pas dans la même cour, c’est certain », j’regarde mon verre, presque hypnotisé par le liquide que j’fais tourner, et voulant oublier qu’un gosse dévergondé s’trouve à mes côtés. Pour dire vrai, ça m’choque. J’imagine mon frère, qui a environ l’même âge… Ca me fait presque frissonner de dégoût, et j’suis presque (j’dis bien presque, parce que je n’en arriverai jamais à c’point là) content qu’il soit handicapé mental, parce que je n’supporterai pas d’le voir ainsi dans un bar, insolent et provocant. Il vide son verre et je m’attends à ce qu’il m’envoie m’faire voir, ce qui m’aurait franchement arrangé, mais il continue sur sa lancée, sur ses propos vulgaires qui m’révulsent et… m’amusent, en fait. Le côté malsain qui intrigue, vous savez. C’gamin est dangereux, en tout cas il l’est pour moi. J’regarde le barman et je lève mon verre à sa santé, comme pour le remercier. Ironie du sort, j’aurais préféré que Sade soit de mauvais poil, j’serais parti depuis bien longtemps si ça avait été le cas. Mais j’ai le cul collé à la chaise, même si j’ai pas envie d’écouter ses conseils pour me lever une nana… J’suis juste là pour travailler ma confiance, mais apparemment Sade est plutôt meilleur professeur pour apprendre tout autre chose. J’veux juste gagner le respect de ces dames. Sinon, seule ma belle compte, et j’sais que j’pourrais certainement jamais devenir plus intime avec elle, mais j’m’en fiche, enfin j’crois. J’commence à douter de moi-même, rien qu’le fait d’être venu ici brise tous mes principes. « Premier conseil…Sors toi les doigts du cul » Sympa, c’premier conseil. Mais il pourrait peut-être me servir, finalement, même si je n’m’en sers pas pour les fins auxquelles Sade s’attend. Laissons le croire c’qu’il souhaite, de toute manière. « Ok… » j’dis, et je bois, encore, parce que je n’ai rien d’autre à ajouter. Prendre des leçons d’un gamin est déjà trop humiliant. J’regarde le petit manège de Sade, les sourires charmeurs, l’échange de clopes. C’est vrai qu’il fait son p’tit effet, c’est presque impressionnant. Il me dit que même lui n’a pas envie d’moi, et j’ai juste envie d’lui demander pour qui il se prend. Mais j’suis sûr qu’il le sait très bien, qu’il veut juste m’provoquer, me montrer que même un type facile (ouais, j’pense qu’il l’est) comme lui n’veut pas d’moi. Pense à elle, Bax. Putain pourquoi j’suis venu, juste pour ma réputation à la con j’me laisse écraser comme ça. Avant que j’puisse me défendre, il m’attire à lui, et je n’perds pas l’équilibre, après tout j’ai l’habitude avec mes rollers, mais il me fait juste chier à se foutre d’moi ainsi. Il se masse la nuque, et j’le regarde, j’crois que mon regard pourrait tuer. « T’es vraiment qu’une merde », je grince des dents, le pensant qu’à moitié. J’connais rien d’lui, et j’aime pas juger, et les autres semblent l’apprécier. Mais moi j’suis entre deux extrêmes, il m’exaspère et en même temps j’peux pas partir. Ou j’veux pas, j’sais pas. Il me demande mon type de nana, et j’pense directement à l’allure transparente de ma belle, et puis j’pense à ces seins magnifiques que j’ai vus tout à l’heure, et là il me demande mon type d’homme, ce qui m’empêche de culpabiliser. « Pas toi en tout cas », j’lui réponds, alors qu’il me regarde de ses yeux brumeux et rougis, il est vraiment déstabilisant. Il pose la main sur ma cuisse et même si ce contact fut rapide, je n’l’ai pas supporté. J’attrape violemment son poignet, j’donne peut-être pas envie à quiconque, mais j’suis pas un maigrichon. « M’touche pas », je grommelle. Il sourit victorieusement en retour et j’le lâche, le fixant, énervé, atterré par son culot et par sa confiance inébranlable. Il commande un autre verre, se détournant de moi, et j’fais de même, regardant le barman le servir. « T’avais l’air assez différent hier, ou alors j’me trompais sur Sean, j’pensais pas qu’il puisse apprécier un type avec autant de toupet qu’toi. Mais c’est vrai que tu dégages des ondes contradictoires, et la confiance que t’as en toi m’interpelle. J’aimerai bien avoir un tel aplomb, même si j’trouve ça déplacé. » J’bois, j’finis enfin mon verre, conscient qu’il en a sûrement rien à faire de mes états d’âme. Le barman semble ricaner, et j’me dis que, de toute façon, j’me fiche de la réputation que j’ai à Montsimpa, c’est celle à Bridgeport qui m’importe.
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MessageSujet: Re: where is my mind ? • Sade. where is my mind ? • Sade. EmptyMar 5 Fév - 22:58

❝ Si le temps qu'il nous reste n'est pas assez pour toi. Si l'envie déjà te prend d'aller aimer un autre. Accordes-moi l'amour une dernière fois. Je t'en prie mon amour, serre-moi fort dans tes bras. Et même si je suis fou, oui, fou d'amour pour toi. Dès le lever du jour, je te laisserai partir. Puisqu'il n'est entre nous qu'un fragile fil de soie. Qu'il n'y a plus d'amour. Qu'il ne reste que moi... ❞

where is my mind ? • Sade. 03JoO « Ok… » L’ennui profond que tu lisais dans sa voix morne te donnais presque envie de lui coller ton poing dans la gueule pour qu’enfin il régisse et te réponde d’une manière un peu plus joyeuse alors qu’il restait là a fixer distraitement le fond de son verre encore à moitié remplis d’alcool couteux. Les yeux fixé sur son corps, tu tiras une taffe sur la cigarette à moitié consumée qui pendait nonchalamment le long de tes doigts, avant de choper brutalement son menton entre les phalanges blanchies de ton autre main, pour lui tourner la tête vers toi plongeant ainsi enfin tes yeux dans les siens, étrangement vide. Un sourire moqueur accroché aux lèvres, tu lui recrachas la fumée blanchâtre retenue entre tes lippes à la figure, le faisant froncer les sourcils et se pincer les lèvres de rage ou de dégout tu ne le savais pas encore. « Deuxième conseil…un peu plus de conviction ça pourrait être cool, parce que là on dirait que t’es blasé et ça te file encore plus une gueule de crétin » C’est beau, c’est clinquant c’est du Sade toomas Hendrix tout craché. Décidément tu aimais foutre la merde autour de toi. C’était toujours comme ça quand tu sortais, tu t’amusais à lancer des piques de plus en plus blessantes à n’importe qui, parfois même à tes amis qui te les rendaient bien, pesant malgré tous leurs mots pour ne pas que tu entres en crise de rage. Ils savaient sous doute que quand tu étais dans cet état rien ne pouvait t’arrêter, tu fracassais tout sur ton passage, brisant par ci et par là des bras, des côtes des nez, explosant des arcades sourcilières juste pour satisfaire le monstre qui sommeillait en toi. « T’es vraiment qu’une merde » un sifflement rageur grimpe le long de ta gorge meurtrie par la dose d’alcool que tu venais d’ingurgiter, pour courir le long de ta langue percée et résonner de manière menaçante dans la petite salle du bar chez Hogan. Il osait t’insulter…Lui ! Un putain de puceau de vingt-trois ans osait t’insulter…Chopant d’une main son bras musclé tu le serras douloureusement entre tes phalanges, jusqu’à ce qu’il gémisse de douleur tu le tournas brutalement dans ta direction pour être bien en face de lui. « J’suis peut être une merde, mais moi j’me fais pas un remake de quarante ans toujours puceau p’tit branleur » Phrase lâchée sur un ton rageur, peu enclin à te laisser insulter par un mec dans son genre. Putain voilà qu’il t’avait trouvé le moyen de t’arracher le peu de bonne humeur qu’avait su instaurer la bouche sensuelle de l’asiatique qui jouait au barman ce soir. Grognant de mécontentement tu vidas d'une traite le verre de whisky qu’on venait de te servir. Prenant sur toi pour calmer tes nefs mis à rude épreuve tu serras tes longs doigts sur le maigre récipient en cristal jusqu'à ce qu’il t’éclate douloureusement entre les pattes, créant un bruit horrible dans le silence qui régnait dans le bar. Le roux assit à tes cotés sursauta alors que la main ensanglantée tu te relevas brutalement envoyant valser ton tabouret au sol, pour épousseter tes fringues à présent couverte d’hémoglobine, et de whisky couteux, souillant de manière indélébile ton tee-shirt blanc préféré. Et voilà il avait vraiment réussi à niquer ta bonne humeur en niquant tes fringues de bourge…Choppant le torchon propre que te tendais inquiet le barman tu tamponnas doucement ta plaie, grimaçant de douleur quand les morceaux de cristal incrustés dans ta chair s’y enfoncèrent encore plus. Relevant brutalement la tête, faisant gémir ta nuque, tu rencontras son regard angoissé alors que sans doute tes yeux habituellement avaient dû s’assombrir pour prendre une jolie couleur bleue marine menaçante, ils faisaient souvent ça quand tu faisais une crise de rage. Retirant un à un les morceaux de rêve enfoncés dans sa peau, sous l’œil inquiet du roux et du barman tu murmuras rageusement quelque mots d’une voix rageuse. « J’me demande vraiment pourquoi j’perds mon temps avec un crétin dans ton genre sérieux…Là tu vois j’pourrais être bien profondément enfoncé dans le cul du barman, mais nan il a fallu que j’essaye de me montre gentil, et que je t’aide et tu oses m’insulter d’merde ? Sérieux c’est l’hôpital qui se fout de la charité là tu ne crois pas ?…Enfin bref va donc te faire foutre crétin, moi j’me casse » Enroulant le morceau de tissu maculé de liquide pourpre autour de ta main légèrement blessée, tu sorti rapidement ton portefeuille de la poche arrière de ton jeans anciennement bleu, pour en extirper un billet de cinquante que tu jetas violemment sur le comptoir poisseux de sang, ton sang, lâchant un rapidement : Désolé Jason la partie baise ça sera pour un autre soir, là il vaut mieux pour tous que j’aille me calmer en brisant quelques os…»avant de s’engager vers la sortie. Avant que tu n’ais pu ouvrir la porte la voix basse et rauque du puceau t’arrêta directement, ta main non blessée posée sur la poignée de porte. « T’avais l’air assez différent hier, ou alors j’me trompais sur Sean, j’pensais pas qu’il puisse apprécier un type avec autant de toupet qu’toi. Mais c’est vrai que tu dégages des ondes contradictoires, et la confiance que t’as en toi m’interpelle. J’aimerai bien avoir un tel aplomb, même si j’trouve ça déplacé. » Un rire jaune roula le long de ta langue percée pour couler le long des murs, s’éprenant des oreilles des gens présent sur son passage. Sérieux il croyait vraiment te retenir avec ce genre de discours ? C’est qu’il était vraiment plus con que tu le pensais ! Lâchant la poignée, tu te retournas lentement vers lui, plongeant à nouveau tes yeux dans les siens, un sourire énigmatique plaqué sur les lèvres. « Donne-moi une putain de bonne raison de t’aider a enfin lever une nana, et j’te jure que dans une semaine le statut de puceau sera derrière toi, juste une putain de bonne raison tu as trente secondes…Bien sûr tu peux refuser mon aide, m’envoyer chier, mais j’te promet pas de garder mon calme si tu m’insulte encore ! Vingt neuf…Vingt huit »





Dernière édition par T.H Sade Hendrik le Ven 8 Fév - 23:49, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: where is my mind ? • Sade. where is my mind ? • Sade. EmptyVen 8 Fév - 23:34

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    Il m’attrape par le menton et me crache sa fumée à la figure, ce qui m’dégoûte. J’ai toujours détesté la cigarette, et surtout la fumée, en fait. J’trouve que ça pue, j’trouve ça désagréable, et le fait que ce soit Sade qui ose me rejeter sa crasse à la gueule me met hors de moi. J’essaie de me calmer, mais il me dit son deuxième conseil, et sa tête me r’vient plus, j’ai envie de claquer sa gueule d’ange et qu’il s’la ferme, une fois pour toute. Alors j’lui dis qu’il n’est qu’une merde, même si j’le pense pas tellement, il est certes très étrange, très… mystérieux, p’têt, et surtout renversant. Mais j’en pouvais plus, j’vais pas me laisser marcher dessus par un gamin d’dix-sept ans, j’me laissais pas faire par les vielles peaux du village, ça va pas commencer avec un p’tit con qui pète plus haut qu’son cul. J’l’ai énervé, et au fond ça m’satisfait, j’préfère ça plutôt que son comportement moqueur, narquois. J’sais mieux réagir à la violence, parce que c’est facile de cogner, de siffler des mots engendrés par la colère. Trop facile même, et j’le vois quand il me chope par le bras et m’attire à lui, me persiflant sa rage à la gueule. J’ai envie d’sourire mais je n’en ferai rien, j’ai pas envie qu’on se batte, j’suis pas venu pour ces conneries. J’tire sur mon bras pour qu’il me lâche, et j’me masse distraitement alors qu’il vide d’une traite son verre. J’réponds pas à sa provocation, de toute façon ça ne mènerait à rien. A quoi bon essayer de raisonner un type imbibé d’alcool, et sûrement d’autre chose. Il s’calmera bien tout seul, et si non, j’me casse. J’sais toujours pas pourquoi j’suis venu, peut-être parce que j’espère trouver l’inspiration, mais ma muse n’est certainement pas c’gamin, heureusement peut-être. En tout cas, j’espère pas. J’sursaute quand j’entends le verre exploser, et j’vois sa main, son t-shirt, plein de sang, alors qu’il se lève pour envoyer valdinguer son tabouret. L’air de rien, j’suis impressionné par la capacité de Sade à s’énerver, et la rapidité avec laquelle sa haine est venue s’insinuer en lui. Le barman inquiet tend un torchon à Sade, et j’vois à quel point il s’y prend mal, mais ce serait malvenu de l’aider. J’regarde la scène, simple spectateur comme toujours, toujours derrière la caméra, derrière l’action, derrière la vie. Mais là, j’suis celui qui a provoqué la crise de Sade, j'm'impressionne et en même temps j’me sens un peu inquiet ; inquiet pour sa main, mais aussi pour sa santé mentale. J’me dis jaloux et prompt à l’énervement, mais j’ai jamais vu ça de toute ma vie, même pas chez mon frère qui lui est un véritable fou et qui ne connaît pas les limites de la bienséance. Sade lui ressemblerait presque dans cet excès de rage, et j’ai presque envie de l’aider, d’en savoir plus sur ce type qu’est même pas encore majeur mais qui semble déjà s’être créé un putain de mur de brique. Il continue de me provoquer, parlant d’cul, encore, et m’insultant, et j’le regarde juste faire, j’le regarde enrouler sa main dans le torchon poisseux, j’le regarde jeter le fric sur le comptoir, et chacun de ses gestes me fascinent, à vrai dire. Il va pour s’en aller, et j’me demande encore si j’dois le retenir, lui dire quelque chose, ou juste qu’on s’tape sur la gueule pendant une bonne dizaine de minutes afin d’alléger un peu la tension. Alors qu’il pose sa main sur la porte, j’lui dis c’que j’pense, sans le regarder, juste comme ça, sans espérer le voir rev’nir, parce que j’sais même pas moi-même si j’ai envie d’passer une seconde de plus à ses côtés. Il est juste trop bizarre pour moi, j’sais pas comment réagir, j’sais pas quelles phrases j’peux dire, j’sais pas jusqu’où j’peux aller sans devoir faire de nouveau face à une putain de crise d’adolescent. Il rit, ironiquement, et j’me retourne pour le regarder alors qu’il commence à compter, compte à rebours durant lequel j’dois trouver une bonne raison pour qu’il reste. En ai-je vraiment une ? J’avais pas vraiment de bonnes raisons pour venir, si ce n’est cette jalousie, cette rancœur, alors j’sais pas. Il arrive à dix, et j’lui dis : « Ok, arrête. Ecoute-moi, j’sais que j’t’ai insulté, mais si ça peut t’rassurer, j’sais pas si t’es un merde ou pas et, à vrai dire, j’en ai rien à branler. J’veux pas m’lever une nana et mon statut de puceau », j’grimace, j’déteste les catégories et pourtant j’entre dans beaucoup d’elles, et pas les meilleures. Roux, puceau, geek… « j’m’en tape. C’que j’veux, c’est avoir cette confiance innée qui semble t’habiter, cette aisance que t’as avec les autres… Celle qui m’apportera le respect que j’recherche, celui que j’mérite. Alors si tu veux t’casser, vas-y, parce que j’me ferai pas insulter non plus, compris ? » J’me lève, et j’montre du doigt les canapés, qui semblent plus confortables et, surtout, qui semblent être le meilleur endroit pour qu’on puisse parler en paix, sans que tout l’bar nous observe et nous entende. Ils ont du apprécier le spectacle d’ailleurs. « Ou alors, on va là-bas, on parle calmement, et surtout j'te soigne », j’dis en montrant sa main d’la tête. « J’fais du roller », j’explique, même s’il s’en tape sûrement, « et ce genre de trucs arrive fréquemment, j’ai donc un kit sur moi. » J’commence à marcher vers les canapés, mais j’espère ni qu’il reste, ni qu’il s’en aille, j’veux juste lui montrer que attendrais pas, qu’il ne m’est pas indispensable. Peut-être que c’n’est pas le bon comportement à adopter face à un type si lunatique que ça, mais j’vais pas commencer à changer pour lui, ou même à m’écraser. « Et vous m’apporterez une bière », j’dis au barman qui nettoie l’sang, déjà véritable marionnette de c’gamin. Juste pour du cul…
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where is my mind ? • Sade. Empty
MessageSujet: Re: where is my mind ? • Sade. where is my mind ? • Sade. EmptySam 9 Fév - 0:37

❝ Si le temps qu'il nous reste n'est pas assez pour toi. Si l'envie déjà te prend d'aller aimer un autre. Accordes-moi l'amour une dernière fois. Je t'en prie mon amour, serre-moi fort dans tes bras. Et même si je suis fou, oui, fou d'amour pour toi. Dès le lever du jour, je te laisserai partir. Puisqu'il n'est entre nous qu'un fragile fil de soie. Qu'il n'y a plus d'amour. Qu'il ne reste que moi... ❞

where is my mind ? • Sade. 03JoO « Ok, arrête. Écoute moi, j’sais que j’t’ai insulté, mais si ça peut t’rassurer, j’sais pas si t’es une merde ou pas et, à vrai dire, j’en ai rien à branler. J’veux pas m’lever une nana et mon statut de puceau » écoutant attentivement les mots qui quittaient sa bouche de manière continue, tu caressais doucement le morceau de torchon sanglant qui recouvrait ta plaie ouverte « Ton statut de puceau ? « Les bras croisés sur ton torse tu attendais qu’il poursuive. Faisant signe au barman, tu t’approchas de bax toujours assis au bar. « j’m’en tape. C’que j’veux, c’est avoir cette confiance innée qui semble t’habiter, cette aisance que t’as avec les autres… Celle qui m’apportera le respect que j’recherche, celui que j’mérite. Alors si tu veux t’casser, vas-y, parce que j’me ferai pas insulter non plus, compris ? » Un sourire vainqueur peignit tes lèvres alors qu'encore une fois tu avais gagné, ta proposition avait été tentante et il s’était laissé prendre comme un imbécile. « Donne-moi une putain de semaine et t’auras la même confiance que moi j’te promets, mais insulte moi encore une fois et j’te jure que tu t’en sortiras pas vivant ! C’est limpide « Quittant son tabouret bax pointa du doigt les canapés présents dans un coin, et parti s'y assoir « Ou alors, on va là-bas, on parle calmement, et surtout j'te soigne » Réfléchissant quelque secondes à sa proposition, tu finis toi aussi par te laisser tenter. « Hmm...Pour la première partie on verra, pour la deuxième j’suis complètement ok « Lui offrant un sourire pervers tu t’approches calmement de lui, la démarche féline. « J’fais du roller » il avait lâché cette phrase précipitamment, comme gêné du sens de ses paroles. « Si t’savais comment j’m’en branle « La vulgarité était l’une de tes nombreuses marques de fabrique et malgré tes efforts tu n’arrivais pas à t’en défaire c’était comme si elle t’était gluée à la peau. « et ce genre de trucs arrive fréquemment, j’ai donc un kit sur moi. » Tu l’avais écouté distraitement, sans vraiment porté attention au sens de ses paroles tellement occupé à ne pas lâcher des yeux le barman. « C’est cool pour toi «[/color] phrase lâchée avec un désintérêt total, c’était peut-être bête et méchant mais sérieux tu t’en foutais complètement de la vie des autres. La chose qui t’intéressait c’était les foutre dans ton lit, le reste tu t’en tapais comme de ta première copine. « Et vous m’apporterez une bière » un sourire amusé vogua sur tes lèvres quand une petit voix au fond de ton crâne te murmura qu’enfin il se décoinçait. Il lui en avait fallu beaucoup ! « Pour moi aussi, faut que j’me calme là « Hochant rapidement la tête le jeune asiatique attrapa deux verres en cristal et y versa la boisson alcoolisée. Envoyant vagabonder ton régal dans la salle à demie remplie tu croisas le regard d’une femme, et malgré toi un dégout t’emplis en découvrant son âge. Voilà que des mamies commençaient à te draguer. Le comble ! « En fait t’sais quoi ? On va commencer ton apprentissage demain parce que là il y a soit des laiderons soit des putains de cougards « Jetant un regard noir à la nana d’une cinquantaine d’année qui te reluquait le cul depuis plusieurs minutes déjà, tu attrapas rapidement la main du barman pour le ramener contre toi, plaquant son corps musclé contre le tien pour plonger sa tête dans ton cou. D’accord tu baisais n’importe qui mais quand même…une vieille ? Non merci, plus tôt baiser avec un laideron ou tu as toujours ta main droite. « Rejoins moi demain au verseau vers vingt-trois heures et j’te donnerais ton premier cours, et par pitié essaye de t’habiller un peu plus classe tu fais clodo là ! « Lui tournant le dos tu plongeas ta main sur la poignée de porte, l’actionnant tu t’éclipsas du bar ne lui laissant pas le temps de te répondre…Putain dans quoi tu t’étais fourré encore ?
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