L'absence n'est pas forcément la perte d'un être cher ⊰ BONNIE&NOAH
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L'absence n'est pas forcément la perte d'un être cher ⊰ BONNIE&NOAH

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MessageSujet: L'absence n'est pas forcément la perte d'un être cher ⊰ BONNIE&NOAH L'absence n'est pas forcément la perte d'un être cher ⊰ BONNIE&NOAH EmptySam 30 Mar - 15:05


L’avion s’était déposé à l’aéroport de Bridgeport vers 21h30. Valise en main, l’homme était parti rejoindre sa voiture qu’il avait laissé plus d’un mois dans le parking et alluma le contact. A ce moment-là, Noah n’avait qu’une seule envie : la retrouver. Il était parti comme un fugitif, sans prévenir, et sans donner signe de vie à personne. Il savait qu’il risquait d’en blesser plus d’un, mais la colère qui l’avait envahi l’avait rongé et à aucun moment il n’avait pensé, ni eu envie d’appeler ses proches et ses amis.

Il roula, à vive allure, pour rejoindre la demeure de celle à qu’il n’avait cessé de penser pendant ce long mois. Il avait hâte de revoir les traits de son visage, mais aussi peur de sa réaction. Il comprendrait parfaitement qu’elle lui en veuille, mais n’avait pas envie de penser à cette éventualité. C’était égoïste, il le savait.
Une vingtaine de minutes s’était écoulée entre l’aéroport et la rue où habitait Bonnie. Il était bientôt 22h et peut-être que la demoiselle serait déjà couchée. Noah leva la tête et laissa échapper un soupir quand il ne vit aucune lumière allumée. Adossé à la voiture, Noah alluma une cigarette et la fuma doucement, en respirant l’air de Montsimpa qui lui avait quand même manqué pendant tout ce temps. Après quelques minutes qui lui parurent une éternité, il écrasa le mégot au sol et monta les quelques marches pour arriver devant la porte de la petite maison de Bonnie. D’une pression du doigt, il fit retentir la sonnette deux fois, comme il avait toujours fait. Noah s’adossa contre le mur, en espérant que sa Bonnie vienne lui ouvrir, à défaut, il repartirait dans son petit appartement, avec son chat qu’il espérait en bonne santé.




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MessageSujet: Re: L'absence n'est pas forcément la perte d'un être cher ⊰ BONNIE&NOAH L'absence n'est pas forcément la perte d'un être cher ⊰ BONNIE&NOAH EmptyLun 1 Avr - 13:47


Sometimes i love you, sometimes it's you i can't stand. Sometimes i wanna hug you, sometimes i wanna push you away.


A
llongée sur le sofa, s’étirant de tout son long, Bonnie résistait à la tentation de fermer les yeux. Elle devait être plus forte que la fatigue, il le fallait ! Pour quelle raison ? Elle n’en savait rien, néanmoins elle n’avait pas envie d’aller dans son lit pour faire toujours le même cauchemar. En plus elle n’avait rien demandé pour être aussi fatiguée. C’était la faute de toutes ces personnes qui voulaient sans cesse boire un petit café, un coca-cola pas trop sucré, manger des crêpes jusqu’à en avoir mal au bide. Oui parfaitement c’était leur faute. Surtout le monsieur, là qui redemandait sans cesse son petit verre de whisky. Bonnie le considérait comme étant garant de sa fatigue, principalement musculaire.
Scrutant à moitié la série qu’elle jugeait très ridicule car c’était principalement des jeunes femmes heureuses avec leur mari, elle ne pouvait s’empêcher de réfléchir à certaines choses. Comme à la journée qui pouvait bien l’attendre demain. Bien qu’elle aime son boulot Chez Hogan, il lui arrivait de rêver d’un autre boulot. Mais elle était persuadée qu’elle ne se serait pas plus en vendeuse dans un magasin de moto par exemple ou encore en policière. Oh non, elle s’énerverait trop facilement. La preuve dès qu’une personne au bar commence à lui raconter sa vie jugée trop misérable étant soûl, elle fait mine d’avoir quelque chose à faire pour s’éclipser le plus rapidement de cette conversation. Entendre des gens qui parlaient sans arrêt, qui n’arrivaient même pas à entendre une mouche voler, l’énervait rapidement. Elle pouvait même faire preuve de méchanceté avec du sabotage si on la poussait à bout, du moins dans des cas vraiment extrêmes. Bonnie ferma les yeux pour arrêter de penser à des débilités pareilles, telle que sa journée de demain, elle verrait bien ce qui se passera, ça ne servait à rien d’imaginer quelque chose d’irréelle. Aussitôt, elle rouvrit ses paupières. Consciente que si elle continuait à faire ça, elle était bonne pour imiter la Belle au Bois Dormant. Ce fut le retentissement de la sonnette qui la fit sortir de sa somnolence. Au début, elle crut que ça venait de la télévision, mais ce rendit bien compte que c’était bel et bien de chez elle que ça venait. Elle tourna la tête vers la porte. Dommage qu’elle ne possédait pas le don de voir à travers les murs, cela l’aurait bien aidé. Elle se demandait bien qui pouvait être assez fou pour sonner chez quelqu’un à cette heure-ci. Il devait bien être aux alentours de 22h, une heure assez tard pour venir la voir … Surtout qu’elle n’attendait personne. Peut-être que c’était la police … sauf qu’elle n’attendait personne. Ou alors, c’était qu’il venait de se rendre compte que la magnifique jeune fille qu’elle était, était démuni malgré elle d’amour. Et ils venaient donc se battre pour pouvoir partageur leur vie à ses côtés. Bonnie soupira, devant son imagination débordante. Il fallait qu’elle arrête de regarder la télévision, ça lui montait à la tête toutes ces histoires à l’eau de rose même pas réalisable.

Hésitant plusieurs minutes à aller ouvrir, elle se décida finalement à aller voir qui pouvait bien la déranger. Le temps d’aller du salon à la porte d’entrée, elle espérait de tout son être que c’était une personne qu’elle détestait, ni même une personne accompagnée d’un chat. Elle détestait cet animal, il y avait un truc qui faisait qu’à chaque fois qu’elle voyait une boule de poils, ses yeux commençaient à la piquer et elle pleurait. Ce n’était pas du tout une allergie, c’était plus complexe que ça. Peut-être que c’était bien trop mignon pour elle. Ramassant au passage plusieurs affaires qui traînaient un peu partout dans sa maison, elle se rapprocha un peu plus de la porte. Evidemment elle n’avait rien pour voir le visage de la personne avant d’ouvrir la porte. Comme par hasard, ce système n’existait que dans les appartements. Sauf que Bonnie n’aimait pas les appartements, elle avait toujours vécue dans une maison alors dès qu’elle a pu bouger de chez sa mère, elle n’hésita pas à acheter une maison à la rue du monde. Pourquoi cette rue ? Tout simplement car les autres n’étaient pas à son goût, ne reflétaient pas sa personnalité ni sa manière de vivre.
La sonnette avait fini de retentir. Deux fois … ça n’avait pas l’air d’une personne très pressée apparemment, ce qui rassura la jeune femme. Cela voulait dire que c’était sûrement qu’une simple visite de routine ou encore de courtoisie de la part d’un de ses voisins, comme d’habitude. Elle tourna lentement la clé de la serrure, tout en profitant pour paraître moins sauvage avec ses cheveux détachés et ses simples habits revêtus en arrivant à la maison. Enfin, elle finit par ouvrir la porte. Ce fut une Bonnie stupéfaite, n’arrivant soudainement plus à bouger le moindre petit doigt, qui se présenta à l’entrée. Elle avait soudainement envie de rire nerveusement, de crier mais aussi de pleurer. Pleurer de joie mais aussi de tristesse … Une émotion qu’elle avait trop connut ces derniers temps. Cette personne qui la mettait dans tous ces états n’était qu’autre que Noah. L’homme pour qui elle avait flashé la première fois qu’elle l’avait entendu chanter au bar, l’homme qui arrivait à la faire fondre simplement avec son sourire et l’homme qui l’avait laissé pendant un mois sans nouvelle du jour au lendemain … L’homme qui était en partie garant de sa soudaine haine envers les hommes qui abandonnaient les femmes comme si c’était de vulgaire yaourts qui pour eux n’avaient plus aucun goût. Durant tout ce temps, elle lui en avait voulu énormément, hésitant plusieurs fois à le joindre pour finalement se désister au dernier moment. Alors le voir là, tel l’enfant prodige, cela en était assez troublant. Elle voulait lui refermer la porte au nez, lui faire comprendre la douleur qu’elle avait pu ressentir, mais tout ce qu’elle réussit à faire c’est de marmonner quelques paroles, prise au dépourvue.« Noah … Qu’est-ce que tu fais là … ? » Pas de bonjour, comment tu vas, c’était bien ce voyage, elle s’en fichait …


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MessageSujet: Re: L'absence n'est pas forcément la perte d'un être cher ⊰ BONNIE&NOAH L'absence n'est pas forcément la perte d'un être cher ⊰ BONNIE&NOAH EmptyLun 1 Avr - 17:39


L’attente n’avait duré que quelques minutes. Il en aurait fallu beaucoup plus pour Noah pour baisser les bras et rentrer chez lui. La porte s’était ouverte lentement, laissant apparaitre petit à petit, une Bonnie décoiffée et habillée le plus simplement possible. Naturelle. Le garçon se redressa de contre le mur et se tint face à la porte, ne manquant aucune parcelle de celle chez qui il s’était invité sans prévenir. Il resta là, sans bouger, tel un pruneau confit dans son sachet. Finalement, ce fut Bonnie qui brisa le silence la première. « Noah … Qu’est-ce que tu fais là … ? » Les yeux pétillants, Noah avança d’un pas vers Bonnie. A l’expression de son visage, le musicien venait de comprendre qu’elle avait souffert de son absence. Le sentiment qui l’imprégnait à ce moment était étrange car il était heureux de constater qu’il n’avait pas été le seul à penser à elle, mais que ça avait été réciproque. « Je viens d’atterrir et venir te voir, même à cette heure, m’a semblé la chose la plus importante à faire. Tu m’as manqué Bonnie. » Noah n’avait pas du tout passé du temps sur le peaufinage de son discours. Il avait pensé à de grandes phrases qui lui étaient toutes sorties de la tête, une fois qu’il avait aperçu Bonnie. Pendant un mois d’absence, Noah avait tellement été entêté qu’il n’avait même pas donné un signe de vie à Bonnie, même s’il s’en mordait les doigts. Aujourd’hui, il regrettait en s’apercevant du mal qu’il avait causé autour de lui.


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MessageSujet: Re: L'absence n'est pas forcément la perte d'un être cher ⊰ BONNIE&NOAH L'absence n'est pas forcément la perte d'un être cher ⊰ BONNIE&NOAH EmptyDim 7 Avr - 17:15


Talk myself out of feeling, talk my way out of control, talk myself out of falling in love, falling in love with you


T
u m’as manqué … De simples petits mots qui résonnaient comme un écho dans la tête de Bonnie. Elle n’arrivait pas à comprendre la venue de Noah, l’homme dont elle n’avait jamais oublié la tête. Elle lui avait manqué ? Quelle belle ironie. Pendant tout ce temps où lui devait se la couler douce dans sa nouvelle ville, elle, elle pleurait, se demandant si finalement il ne lui avait pas mentit depuis tout ce temps. Au moins il ne l’avait pas oublié, il fallait qu’elle se rassure en se disant ceci …Que pouvait-elle répondre face à ça ? Oui, tu m’as manqué toi aussi. Non ridicule. Sincèrement ridicule, il devait sans douter sinon il ne serait pas venu ici. Ça serait une bien belle preuve d’égoïsme …
Bonnie se frappa pas la tête avec sa main. Il fallait qu’elle arrête de penser des choses pareilles, c’était franchement très débile. Tenant la poignée de la porte, le froid commença à s’engouffrer petit à petit dans la maison. La jeune fille soupira intérieurement, et décida de prendre sur elle. Ça ne servait à rien de faire une scène devant tous les voisins, elle ne voulait pas s’afficher. . « Je me doute que tu dois être fatigué après ce fameux voyage … Entre, je t’en prie. » Elle n’avait trouvé rien d’autre que lui proposer d’entré. Au moins c’était sympathique, elle ne le laissait pas grelotter de froid dehors. Surtout que vu ce que laissait transparaître la lune, il allait bientôt commencer à pleuvoir. Et puis au moins, à l’intérieur, il allait pouvoir discuter calmement et peut-être s’expliquer. Elle ne savait pas comment expliquer le sentiment qu’elle ressentait en ce moment même. C’était deux sentiments contraires : de l’amour et de la haine. Elle le détestait car il l’avait laissé sans rien dire alors qu’elle s’était attachée à lui tellement fort qu’elle ne pensait pas souffrir autant. Et elle l’aimait. Elle l’aimait et ne pouvait ignorer ce sentiment puissant. L’amour pour Bonnie s’était quelque chose de sacré, et personne n’avait intérêt à lui dire le contraire. Si elle expliquait ce qu’elle ressentait à un de ses amis, pas sûr qu’ils arriveraient à la comprendre … Ils diraient sûrement qu’elle va exploser à force de ressentir tout ça et elle finirait par dire pour les faire taire, qu’ils ont la capacité émotionnelle d’une petite cuillère … Ce qui clouerait la conversation sur le thème de l’amour.

Bonnie n’était pas du genre rancunière, surtout lorsqu’il s’agissait de personne qu’elle aimait. Mais au fond, elle ne pouvait s’empêcher de ne pas faire comme-ci de rien n’était. C’était juste inimaginable pour elle. Oublier le passé ? Impossible. Le passé étant encré en elle, et c’est ce qui lui permettait d’être elle et d’agir ainsi.

Elle dévisageait Noah comme-ci c’était la première fois qu’elle le voyait depuis des années. Comme-ci c’était la première fois de sa vie qu’elle le voyait … Ses petits cheveux en bataille pourtant impeccablement coiffés, son sourire qui ne souhaitait que se dessiner sur ses lèvres fines, sa musculature légèrement dessinés sur ses habits … Pleins de détails que ne manquait pas de remarquer la jeune femme. Cela pouvait paraître riducule de remarquer tout ça, mais elle ne pouvait s’en empêcher. Quand elle le voyait ainsi, elle repensait aux moments qu’ils avaient pu passer ensemble tous les deux. Certes ils ne sortaient pas ensemble, il n’y avait jamais eu de tentative pour sortir avec l’autre, mais c’était tout comme. Elle avait envie de se jeter à son cou, de lui dire que oui il lui avait manqué à elle aussi, qu’elle n’avait cessé de s’inquiéter pendant des jours pour finalement pensé qu’il avait rompu tout contact avec elle préférant l’oublier le plus facilement possible. Surtout qu’elle s’était toujours demandé pourquoi il s’intéressait à elle. Elle avait perdu la foi en la sincérité chez les hommes. La raison ? L’absence de son père …. Et l’indifférence de sa mère face à ce départ, s’en mettant très rapidement dans les bras d’un autre homme. Pourtant il fallait qu’elle fasse abstraction de tout ça. Qu’elle se dise que tous les hommes n’étaient pas pareils, ce n’était qu’une vieille idée toute droite sortit de sa tête et formulé par sa rage envers son père. Mais elle n’y arrivait pas. Elle n’arrivait pas à se donner complètement à un homme malgré qu’elle dise clairement qu’elle est à la recherche de son soi-disant prince charmant. Quelle belle contradiction … Il était parfois difficile de s’y retrouver entre ce que l’on voulait vraiment et ce que l’on était capable de faire. Et c’est ce qui freinait les actions de Bonnie envers Noah. Une petite voix dans sa tête, lui répétait que ce n’était pas à elle de faire le premier pas, après tout ce n’était pas elle qui avait fait souffrir l’autre par sa simple absence.

En fermant la porte derrière elle, Bonnie se dirigea directement vers la télévision qu’elle se mit à éteindre. A moins qu’il ne soit venu regarder une série idiote avec elle, ça ne servait à rien de la laisser allumer. Puis elle s’affala sur le canapé. Elle savait que Noah connaissait très bien l’endroit et qu’il allait se mettre à son aise, du moins elle espérait, ce n’était pas le moment de jouer les timides après tout. Poussant les coussins pour s’asseoir à son aise, Bonnie soupira tout en évitant le regard de celui qui lui avait tant manqué. « Bon et bien …. Je t’écoute … Tu es venue juste pour me dire que je t’avais manqué ? » Au fond elle espérait que c’était pour lui expliquer son départ, pour s’excuser … pas simplement pour voir celle qu’il réussissait à charmer simplement avec un sourire.
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