On saturday night, Sade.
TOP PARTENAIRES DE PWL

plus?vous?voter


MEMBRES DU MOIS
PWL

RPGISTE DU MOIS
Adel De Lavauderie

RPGISTE DU MOIS
Chuck B. Onekung

AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Fermeture de PWL.
Le Deal du moment :
Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur ...
Voir le deal
600 €

Partagez

On saturday night, Sade.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité
Invité



On saturday night, Sade. Empty
MessageSujet: On saturday night, Sade. On saturday night, Sade. EmptyDim 10 Fév - 14:37

ON SATURDAY NIGHT
SADE&BAX


    Il va bientôt être l’heure pour moi de partir. J’hésite vraiment à y aller. Sean est d’ailleurs au courant, je n’ai pas pu m’empêcher d’lui dire, jamais j’arriverai à cacher un truc gros comme ça à mon meilleur ami. Il voulait m’accompagner mais j’ai r’fusé, et il a compris. Il boude maintenant, mais j’ai l’habitude. Il m’a aidé à m’habiller, et j’me suis rendu compte que j’avais quelques habits classes dans mon armoire, mais j’les mélangeais toujours avec des vêtements un peu plus cool, alors… Un blazer gris, un t-shirt blanc, un pantalon noir, des baskets blanches. J’me sens sexy, c’qui est une première. C’est sûr qu’ça change des shorts que j’portais à la ferme pour bosser. Sean m’a dit qu'j'avais un beau p’tit cul, mais ça, j’aime pas. J’ai pas envie d'me faire de nouveau reluquer par Sade, c’était déjà assez gênant comme ça hier. Bref, j’attrape mes rollers et j’suis parti, laissant derrière moi un Doug désabusé parce que c’est le deuxième soir que j’sors sans lui. « Promis j’me rattrape demain », j’lui dis en lui caressant la tête, et il va, lui aussi, bouder dans son coin. J’ai vraiment des meilleurs amis susceptibles. J’suis happé par le froid qui règne à Bridgeport, et j’ai presque envie d’aller de nouveau me réfugier chez moi, mais j’sais que j’me cherche des excuses. De plus, le Verseau n’est pas très loin… Je n’y suis d’ailleurs jamais allé. C’est l’genre d’endroit qui me rebute habituellement, c’est pas du tout c’qui m’attire à Bridgeport. J’préfère de loin les pistes de skate, mais il est clair qu’il y a moins d'nanas, même si elles commencent à affluer grâce à notre site. On propose généralement des rendez-vous, et elles sont là. Mais elles n’ont pas la même attitude qu’elles ont en boîte, alors j’y vais, même si, finalement, c’est pas ça qui m’intéresse. Mieux vaut pas contrarier Sade de nouveau, j’ai pas envie d’abîmer sa gueule d’ange, et pourtant c’est pas l’envie qui m’a manquée. J’arrive, j’sais même pas si j’dois l’attendre à l’extérieur ou à l’intérieur, et ça m’irrite déjà. J’entends la musique, les rires, et j’me sens mal à l’aise. J’lève les yeux vers le toit, là où tout va s’passer ce soir. J’soupire et j’rejoins un endroit un peu plus sombre pour enfiler mes baskets et mettre les rollers dans mon sac, puis j‘entre dans l‘immeuble, sûrement les portes de l‘enfer. J’prends les escaliers, afin de retarder le plus possible l’moment où j’devrais faire face à la foule, mais finalement j’arrive. Il y a du monde qui attend. J’espère passer, les videurs sont connus pour être stricts, et j’me dis que j’aurais peut-être du attendre Sade, même s’il est peut-être déjà à l’intérieur. Au moins, en voyant qu’il ne vient pas, j’aurais pu repartir et rejeter la faute sur lui et son organisation fragile. Mais je n’dois pas commencer à m’défiler, même si c’n’est qu’un gamin, j’dois lui montrer que j’vaux quelque chose. J’vais pas m’laisser faire comme ça. C’est mon tour, et on m’laisse passer. J’dépose mes affaires au casier, l’esprit ailleurs, mes gestes mécaniques. J’suis le mouvement, et j’arrive enfin sur le toit, et heureusement il est fermé, sinon nous aurions gelé. La chaleur m’étouffe déjà, j’me fais déjà pousser de tous les côtés, et j’sais déjà que c’est pas du tout un endroit pour moi. Pourtant j’vais au bar et j’me commande une bière, je n’cherche pas encore Sade des yeux. J’ai pas encore envie d’le voir, j’dois déjà m’y faire, enregistrer le fait que j’sois au Verseau, et qu’ma première fois se fait sans Sean, alors que j’pense maintenant que c’est le seul qui aurait pu me mettre à l’aise et m’pousser à danser un peu. Finalement, Sade n’est peut-être pas la meilleure solution, surtout qu’il m’a emmené à venir ici, dans la ville où j’veux gagner ma réputation… et où j’risque de m’ridiculiser ce soir. J’espère sincèrement qu’il n’y a pas de gens que j’connais, et surtout pas ceux qui s’foutent de moi à la fac, parce que sinon j’crois que j’me casse. Mais c’est trop tard, un type s’installe à côté d’moi. « Ah, Baxton, j’me disais bien que c’était toi. Après tout, t’es le seul type ici qui sent le puceau. » Un petit connard d’la fac, un mec sans cervelle, juste fichu à insulter les gens et à baver sur les nanas. En somme, un autre puceau, mais il s’assume pas. J’lui souris. « Pourtant l’odeur vient d’toi. Ecoute mec, tu m’laisses en paix, sinon j'te préviens que je n’réponds plus d’moi. J’suis pas venu ici pour causer avec des cons dans ton genre. » Le serveur dépose mon verre devant moi, et j’avale d’un trait sec la moitié d’celui-ci. Le débile s’en va, il m’a déjà vu cogner. J’sais qu’il reviendra sûrement à la charge pendant la soirée, et que lundi, quand j’vais retourner à la fac, tout le monde sera au courant que j'étais au Verseau. Comme si ça pouvait être intéressant… Les gens s’ennuient tellement, ça m’rend dingue. Mais j’me rends compte que j’dois m’ennuyer aussi pour faire tout ça, alors que, même si j’suis pas aussi populaire que j’le souhaiterai, j’ai quand même mon p’tit monde à moi. J’me fais pitié. Et j’attends Sade.


Dernière édition par Baxton Leveritt le Lun 1 Avr - 21:32, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



On saturday night, Sade. Empty
MessageSujet: Re: On saturday night, Sade. On saturday night, Sade. EmptyMar 12 Fév - 6:59




Travel the world and the seven seas
Everybody's looking for something
- - - - - - - - - - - - - - - -
Tu te souvenais encore de votre rencontre, en une nuit glaciale il y a de ça quelques mois. Les yeux plongés dans le vide, tu laissas tes souvenirs t'envahir doucement, lentement pour finalement prendre entièrement possession de ton cerveau. Un vendredi alors que tu étais comme toujours de sortie avec ta bande d'alcool, autrement appeler tes amis, le meilleur ami du jeune roux, Sean, passablement éméché vous avaient présenté l'un à l'autre et toute suite tu avais senti que baxton était différent de toi malgré les nombreuses années qui te séparaient de lui. Pendant toute la soirée tu avais cherché, faisant surchauffer ton cerveau de surdoué jusqu'à qu'un mal de tête s'éprit de tes tempes. Mais malgré toutes tes recherches tu ne trouvas pas ce qui mit a mal ta fierté, bien trop habitué à avoir la réponse à tout. C'était les pseudos amis du roux qui avait mis un mot sur votre différence en n'hésitant pas à le charrier sur son absence de vie sexuelle. Passablement choqué par la nouvelle tu avais ri avec eux, te foutant littéralement de la gueule du pauvre roux qui n'avait rien demandé. Ça avait d'ailleurs été votre passetemps favoris le temps à toi et tes amis. Pendant toute la longue soirée que vous aviez passés ensemble vous vous étiez amusé à lui lancer des piques et des vannes à l'allure douteuse, jusqu'à qu'énervé le jeune homme sorte en trombe du verseau après avoir lâché quelques grossièretés peu adaptées au jeune public, ce qui vous avait encore plus fait rire.

Et quand tu l'avais revu le lendemain tu n'avais pu t'empêcher de le charrier à nouveau, calmant tes nerfs sur lui, avant de brutalement lui proposer de l'aider, t'engageant dans une bataille que tu savais perdu d'avance. C'est pourquoi qu'aujourd'hui qu'à cette heure tardive de la nuit, tu te tenais debout devant la lourde porte verte de la boite de nuit nommée le verseau ou la veille tu avais donné rendez-vous au jeune homme roux, ta veste en cuir noir nonchalamment jetée sur ton épaule, alors que tu la tenais du bout de ton index, le bras négligemment replié contre ton torse. Ton autre main, la gauche, elle était perdue dans le fond de la poche étroite de ton jean. Tout habillé de noir hormis ta chemise, tu attendais plus ou moins patiemment que l'autre crétin se pointe enfin. Une légère brise d'air s'éleva, brisant la quiétude tranquille de la ruelle mal éclairée. Tu pouvais la sentir s'échouer sur ta peau mate en une caresse délicate et ce simple ressenti t'arracha un sourire niais. Qui ne dura hélas que le temps d'une brise. La mine faussement sereine, tu patientas encore quelques minutes avant de finalement te mettre à bouger, mouvant ton corps musclé pour pousser brusquement la porte de la boite. Essayant de combler le vide qui c'était introduit en toi, alors que les souvenirs de la première, et seule nuit que tu avais passée dans les bras de ton grand frère, Samuel, alors que vous veniez de quitter le verseau bras dessus bras dessous, le corps étroitement lié l'un à l'autre, en une promesse de nuit torride. Se dirigeant directement vers le bar en zinc, bousculant brutalement les gens dans ton avancé rapide, tu essayas de trouver le jeune roux, faisant vagabonder ton regard d'une couleur émeraude entre les corps soudés des jeunes hommes et femme qui se déhanchaient à côté de toi.Ressortant bredouille de ta recherche, tu t'accoudas au bar noir de monde, où tu commandas un shooter de Tequila & un Scotch sec. Prenant place sur l'un des hauts tabourets encore libres, tu fis à nouveau lézarder ton regard le long des corps mouvants, cherchant un passe-temps masculin pour la soirée, ou du moins un jusqu'à l'arrivée du jeune homme.

Buvant ton shooter en premier d'un coup sec, tu serras brutalement tes doigts les uns contre les autres quand l'alcool te brûlas la gorge. Recommençant ta petite recherche du coin de l'oeil, observant chaque recoin sombre du night-club tu soupiras de soulagement quand enfin tu le repéras au fond à droite, accoudé au bar, un air énervé plaqué sur le visage. Sa colère avait l'air tournée contre un jeune homme d'une vingtaine d'année tout au plus. Serrant sa main en un poing quant à nouveau l'alcool te brula le gosier alors que tu le noyas rapidement sous un peu de scotch sec, liquidé ambré au gout douteux. Ne le lâchant pas des yeux, tu chopas ton verre entre tes longs doigts fin pour le serrer contre toi, tu sautas de ton tabouret pour te faufiler le long des corps brulants des danseurs dans le but de le rejoindre. Au bout de quelques secondes de marche légèrement chancelante suite au mouvement de la foule tu te plantas à ses côtés alors que ton verre glissa rapidement sur le comptoir, s'arrêtant pile de ton nez. Faisant glisser ton regard sur son corps, pour en lorgner chaque partie tu lâchas d'une voix moqueuse : J'vois qu'enfin tu m'écoutes...J't'avouerais que t'arriverais presque à me tenter là ! Même si le ton n'y était pas vraiment c'était bel et bien un compliment, enfin un compliment made in sade toomas Hendrix. Reportant ton attention à ton verre tu ne perdis pas de temps et le whisky fit papilloter tes parois buccales à nouveau tandis que le nez dans le verre, tu l'observas furtivement.




Dernière édition par T.H Sade Hendrik le Sam 9 Mar - 2:10, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



On saturday night, Sade. Empty
MessageSujet: Re: On saturday night, Sade. On saturday night, Sade. EmptyVen 15 Fév - 15:59

    Le bruit d’un verre qui glisse m’sort de mes pensées, et j’vois que Sade est arrivé, même si j’devine qu’il est certainement arrivé il y a quelques minutes déjà. J’le regarde s’installer, sans l’saluer, parce que aucun respect nous lie. On pourrait croire que j’le respecte à chercher ses conseils, à être venu jusque dans un endroit que j’exècre pour le voir. Pourtant, non, je n’le respecte pas ; j’fais ça pour moi, égoïstement. C’type me fascine certes, mais il me dégoûte tout autant. J’peux vraiment pas respecter quelque un qui fait naître en moi des sentiments si contradictoires ; ça m’est impossible. Il me lorgne et m’complimente, certes d’une voix moqueuse, mais ça reste un compliment. J’suis étonné, j’pensais pas qu’il en était capable, même si j’avais vu son côté charmeur il y a deux jours… Mais j’crois qu’il doit naviguer très rapidement entre les deux extrêmes, vu comme il s’est énervé hier… Il y a quelque chose de pas net chez lui, quelque chose de sombre qui le rend si lunatique et si rapidement. J’lui souris, presque dragueur. « Ah ouais ? » j’dis d’une voix suave, p’tite tentative pour lui montrer que j’ai des couilles, malgré ce que tout l’monde semble penser. J’n’ai jamais été attiré par les hommes, mais j’suis ici pour prouver quelque chose… à Sade, p’têt, mais surtout à moi-même. J’sais pas trop encore c’que j’dois me prouver, que j’suis pas lâche, que j’sais m’amuser, que j’peux avoir confiance en moi… un mélange des trois, certainement. J’voudrais aussi que ce petit imbécile qu’est venu me provoquer tout à l’heure se rende compte que j’vaux mieux que lui, et qu’il ferme sa gueule lundi, à la fac. Sade replonge dans son verre, et je fais d’même avec ma bière, essayant de me décontracter. Chose assez irréalisable quand on s’appelle Bax et qu’on est pas fichu d’être adroit. J’essaie pourtant. C’est c’qui compte non ? J’entends les rires, la musique, le bruit que font les gens en dansant, et j’me laisse bercer par ce mouvement de foule dont je n’ai pas tellement l’habitude. J’essaie de m’mettre dans l’ambiance, de me laisser porter par la musique entraînante, par ma jeunesse un peu trop vite consumée à cause des parents, d’mon génie, du boulot. C’est dur d’aller dans l’eau quand on ne sait pas nager. J’patauge totalement, et le silence de Sade ne m’aide absolument pas. J’décide donc de faire le premier pas, parce que, après tout, c’est un peu à cause de moi que tout a commencé. « Ca m’étonne un peu qu’tu sois venu, finalement », je dis, et j’me rends compte que ce n’était peut-être pas la bonne chose à dire, alors je me reprends vite « mais j’suis ravi. » J’bois une gorgée de ma boisson alcoolisée, comme si ça m’avait brûlé la langue que de dire ça. Un peu, c’est vrai. « Par contre, il faut que tu te rentres un truc dans l’crâne », je le regarde, sérieusement, parce que j’veux qu’il comprenne. « Je n’suis pas là pour me lever une nana. J’suis là pour prendre confiance en moi, c’est tout. » Je ne veux pas qu’il m’entraîne dans ce genre de dépravation qui me dégoûte, j’ai des valeurs morales assez strictes et je n’vais pas les enfreindre juste parce que quelques types à la fac se fichent de moi. Et puis, il y a Rebekah. Elle m’empêche de céder à cette tentation si facile, celle de la nuit, celle des passions et des folies. Je ne veux absolument pas ressembler au type assis à côté d’moi, il me semble à lui seul être un pêché, surtout à son âge. A vrai dire, j’crois que c’est la chose qui m’choque le plus chez lui, sinon je serai peut-être comme les autres, fascinés. Mais je ne me mens pas à moi-même, et c’est ça qui m’emmerde : je sais, qu’au fond, quelque chose m’interpelle chez lui, qui m’attire. Pas au sens sexuel du terme. J’aimerai provoquer cette attirance chez les gens, cette addiction, cette interrogation… Mais j’pense que pour ça, il faut avoir ce côté sombre, ce côté fou que j’ne possède pas… ou alors que j’cache très bien. J’entends une musique que j’apprécie, et j’sors ma caméra. J’ai décidé de filmer un peu l’ambiance, le comportement des gens… pas pour m’en inspirer, mais c’est parce que j’réfléchis à quelque chose pour mes films, j’aimerai créer des ambiances similaires à celle-là et j’ai besoin d'un modèle. J’fais quelques réglages et j’pose ma caméra sur mon épaule, et j’commence à filmer sous les yeux de Sade. J’me sens tellement plus à l’aise derrière ce bébé technologique, j’me sens moi-même avec cet œil électronique, avec ce regard critique que personne n’peut voir. J’filme un peu, et puis j’tourne la caméra sur Sade, j’ai envie d’l’emmerder un peu. J’sais pas s’il fait partie de ces personnes qui détestent qu’on vole leur image, ou s’il est de celles qui réclament la place devant l’objectif. « Cheese, Hendrik », j’dis, un peu taquin, bien plus décontracté dans ce rôle que dans celui de l’élève, attendant d’pouvoir enfin prendre confiance en soi.


Dernière édition par Baxton Leveritt le Lun 1 Avr - 21:31, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



On saturday night, Sade. Empty
MessageSujet: Re: On saturday night, Sade. On saturday night, Sade. EmptyVen 15 Fév - 19:04




Travel the world and the seven seas
Everybody's looking for something
- - - - - - - - - - - - - - - -
« J’vais pas m’oublier pour avoir confiance en moi, si ? » Le ton dédaigneux qu’il employa, fit naitre ne toi l’envie de lui foutre ton poing dans la gueule pour lui faire avaler son impolitesse . « C’est peut être ça la solution qui sait non ?… Essaye de t’oublier comme tu le fais quand tu filmes, fait ce que tu veux sans penser au conséquence « Prenant une nouvelle gorgée de l’alcool, tu parcourus rapidement la foule humaine et compacte des yeux. « Dis-moi comment tu fais toi, tiens. Explique-moi comment t’as fait pour briser tes chaînes, pour être si… provoquant. » T’hésitas quelques secondes avant de reprendre la parole. « Comment je fais ? Moi j’m’en fous des gens, j’m’en fous de ce qu’il pense de moi voilà comment je fais ! » Première fois que tu osais donner ta solutions. « Non, jamais » La tête blasée qu’il tira te fit rire alors que tu lui souris, moqueur. « Allez fait pas la gueule ce n’est pas une honte, enfin si un peu mais bon on a tous nos défaut » Tournant la tête vers lui,tu chopas ton verre pour en boire une gorgée. « Et j’suis pas là pour ça » . Plongeant ton regard noir de colère quand le sien tu seras les dents « J’sais, c’était juste une putain de question comme ça relax mec » Tu auras sans doute dû aussi te relaxer mais t’étais du genre à t’énerver pour un rien, et surtout quand bax était dans les parages, va savoir pourquoi il arrivait à te foutre sur les nerfs en moins de deux ! Et il y arrivait tellement vite que ça en devenait dangereux, dangereux pour lui bien entendu ! « Pour tout te dire, j’suis amoureux d’une nana, et ça m’suffit amplement pour l’instant, alors lâche moi avec ça. » Amoureux ? Pendant quelque secondes tu l’envias avant d’être dégouté, l’amour pour toi c’était devenu tabou.

Parce qu’après tout tu l’avais été, quelques instants, mais depuis sa mort aucun sentiment tendre n’avait franchis la barrière que tu avais créée autour de ton cœur meurtrie. Avant t’avais toujours été là pour les autres, c’est clair il y a des moments tu pétais un câble, comme chaque personne sur terre mais là plus aucune once de bonté n’avait ébranlé ta carcasse, plus rien, le vide, il n’y avait plus qu’un trou béant a la place de ton cœur a vrai dire. « Qui est l’heureuse élue ? » Le voyant hésiter quelque secondes tu t’approchas de lui, peu enclin à ce que d’autre personne entende ce que tu allais lu dire. Ça aurait pu détruite ta réputation de salaud non ? « J’vais te dire un secret…Le grand Sade a déjà été amoureux, pour tout te dire c’est lui qui m’a rendu comme ça » Attendant avec impatience sa réponse tu relayas la douleur qui paralysa pendant plusieurs secondes tes membres au second plans. « En tout cas, j’ai beau être un coincé du cul, toi t’es un putain de lunatique » Un sourire amusée étira tes lèvres humide d’alcool alors que tu continuais de regarder le blondinet. Putain à choisir entre ton coup de ce soir et lui, il y a avait pas photo c’était lui direct quoi… « Première phrase intelligente de la soirée ! J’te félicite bax « Portant une nouvelle fois ton verre à tes lèvres tu laissa l’alcool glisser le long de ta gorge, créant une brulure agréable tout le long de celle-ci. « J’crois que grâce à toi j’viens de trouver mon nouveau coup de ce soir « Faisant signe au blond qui dansait d’une manière un trop sensuel dans le carré vip, tu souris à bax . « Ça te dérange pas qu’il nous rejoigne j’espère ? «




Dernière édition par T.H Sade Hendrik le Sam 9 Mar - 2:15, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



On saturday night, Sade. Empty
MessageSujet: Re: On saturday night, Sade. On saturday night, Sade. EmptyJeu 21 Fév - 21:10

    Ce type est vraiment doué pour me mettre sur les nerfs, et je pense que ce n’est pas seulement avec moi… Je plains un peu ses potes qui doivent s’en prendre plein la tronche à chaque fois, enfin, ils doivent être habitués. D’abord il me dit que ce connard de blond qui m’critique tout le temps lui plait plus que moi (j’suis pas jaloux hein, loin de là, c’est juste que… ce mec est un gros con quoi), ensuite il m’insulte de crétin (et lui, toujours tenir ses promesses ? Ca m’étonne un peu, mais j’suis méchant, parce que j’le connais pas, c’est vrai) et, aussi lunatique qu’il est, il me cherche après en me demandant d’avouer que j’lui plais. Il me sourit, pervers, et m’fait un clin d’œil, alors j’lui jette un regard blasé, un peu amusé quand même par son changement constant de comportement. Il arriverait presque à m’détendre et à me mettre de bonne humeur. Mais j’veux lui faire comprendre pourquoi j’suis là, et ça ne manque pas de l’énerver de nouveau, parce que j’ai levé un peu l’ton, pas question de me soumettre, bien sûr. Je décide de faire fi d’sa mauvaise humeur, j’pense que c’est la seule chose à faire si je ne veux pas m’abaisser ou si j’ai pas envie de parlementer avec lui. J’décide même de l’ignorer quelque temps, histoire de le laisser se calmer tout seul. J’sors ma caméra, ma meilleure amie, mon bouclier protecteur, et j’filme mon entourage, voyant le monde autrement. Et je tourne ma caméra vers Sade, capturant son visage aux traits stricts, alors qu’il me gueule de virer ma caméra. Il donne un coup dans mon bébé, et j’lui jette un regard meurtrier alors que je l’éteins et la range. « Du calme oh, c’est pas de la camelote. » Il remarque que j’suis plus détendu derrière ma caméra. Je lui jette un regard surpris, étonné qu’il ait remarqué ça. Bon, c’est vrai qu’il a l’air d’un observateur quand on voit qu’il a tout de suite capté ce blond qui le regarde depuis tout à l’heure, mais je pensais plutôt qu’il observait seulement les personnes qui l’intéressent. Apparemment non. Il n’a pas que des défauts. « Va falloir qu’on se dépêche mon coup de ce soir m’attend. » Mais pas que des qualités non plus. Il est toujours aussi cru, quelque chose qui me dérange et que je déteste. J’allais répliquer mais il me murmure de le suivre dans l’oreille, alors j’le suis. Pas que je lui obéisse ou quoique ce soit, mais ne vaut mieux pas le contrarier s’il ne veut pas rester ici, et à vrai dire ça m’arrange un peu. Je ne me fais toujours pas à cette ambiance, à ces personnes qui ont toutes l’air en chaleur. Assez répugnant, quand on y pense. J’le suis à travers les gens qui dansent, l’observant avancer, et puis chercher un type qui le bouscule. J’souris, amusé. Il a vraiment un grain. Je vois qu’on s’dirige vers le coin VIP et j’me demande si j’vais pouvoir entrer, mais je n’ai aucun problème à y aller grâce à Sade. Il a vraiment l’air d’avoir des relations partout malgré son jeune âge et son caractère bouillant, le cœur prêt à exploser à la moindre remarque. On s’assoie, je savoure le confort dans lequel on se retrouve, loin de toute sueur, un peu à l’abri de la musique étourdissante, assourdissante. « C’est ça la solution en fait ! » Je lève mon regard vers celui de Sade, illuminé. A-t-il déjà trop bu ? Je hausse un sourcil, interrogateur. J’me demande ce qu’il me veut. « Quand t’es derrière ta caméra tu ne penses pas à toi, tu te laisses aller complètement…Mais quand tu la baisse tu redeviens un putain de coincé du cul » Bon, je n’aurais pas dit ça comme ça, mais il a raison, et ce n’est pas le premier à le remarquer. Il me demande ce à quoi je pense quand je filme, et c’est quelque chose que je n’ai jamais expliqué à personne, alors je bois une gorgée de bière, histoire de pouvoir réfléchir et de mettre des mots sur ce que je ressens. « J’sais pas », j’commence à dire, parce que je ne trouve pas. « J’vois les choses différemment, je n’me vois plus en tant qu’individu finalement, je n’vois que les autres. J’m’oublie quand j’filme. » J’déglutis un peu, me rendant compte de quelque chose. « Elle est pas là ta solution, Hendrik », j’dis, amer. J’y avais cru pendant un instant. « J’vais pas m’oublier pour avoir confiance en moi, si ? » J’m’enfonce dans le cuir réconfortant du canapé, un peu morose. J’pense que jamais je n’trouverai la solution miracle, c’est impossible. Mais une idée m’vient en tête. « Dis-moi comment tu fais toi, tiens. Explique-moi comment t’as fait pour briser tes chaînes, pour être si… provoquant. » Ouais, le mot lui va bien, j’décide. J’le regarde boire, encore et rapidement. Il me repose une question, cette fois-ci il se remet à m’attaquer personnellement sur le terrain que j’préfère taire. J’le reconnais mieux là. J’soupire. « Non, jamais », j’réponds franchement, m’attendant déjà à ce qu’il s’foute de moi. « Et j’suis pas là pour ça », j’répète. « Pour tout te dire, j’suis amoureux d’une nana, et ça m’suffit amplement pour l’instant, alors lâche moi avec ça. » Je grogne, me demandant si c’était une bonne idée que de lui dire que j’avais des sentiments pour quelqu'un. Sûrement pas. « En tout cas, j’ai beau être un coincé du cul, toi t’es un putain de lunatique », j’dis, souriant, lui montrant que j’déconne, j’ai pas tellement envie qu’il s’énerve. Le blond qui le lorgnait tout à l’heure vient d’entrer dans le carré, sûrement trop impatient pour l’attendre tranquillement. J’ai envie de m’casser plutôt que d’les voir se baiser avec les yeux.


Dernière édition par Baxton Leveritt le Lun 1 Avr - 21:31, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



On saturday night, Sade. Empty
MessageSujet: Re: On saturday night, Sade. On saturday night, Sade. EmptyVen 22 Fév - 23:10




Travel the world and the seven seas
Everybody's looking for something
- - - - - - - - - - - - - - - -
« J’vais pas m’oublier pour avoir confiance en moi, si ? » Le ton dédaigneux qu’il employa, fit naitre ne toi l’envie de lui foutre ton poing dans la gueule pour lui faire avaler son impolitesse . « C’est peut être ça la solution qui sait non ?… Essaye de t’oublier comme tu le fais quand tu filmes, fait ce que tu veux sans penser au conséquence « Prenant une nouvelle gorgée de l’alcool, tu parcourus rapidement la foule humaine et compacte des yeux. « Dis-moi comment tu fais toi, tiens. Explique-moi comment t’as fait pour briser tes chaînes, pour être si… provoquant. » T’hésitas quelques secondes avant de reprendre la parole. « Comment je fais ? Moi j’m’en fous des gens, j’m’en fous de ce qu’il pense de moi voilà comment je fais ! » Première fois que tu osais donner ta solutions. « Non, jamais » La tête blasée qu’il tira te fit rire alors que tu lui souris, moqueur. « Allez fait pas la gueule ce n’est pas une honte, enfin si un peu mais bon on a tous nos défaut » Tournant la tête vers lui,tu chopas ton verre pour en boire une gorgée. « Et j’suis pas là pour ça » . Plongeant ton regard noir de colère quand le sien tu seras les dents « J’sais, c’était juste une putain de question comme ça relax mec » Tu auras sans doute dû aussi te relaxer mais t’étais du genre à t’énerver pour un rien, et surtout quand bax était dans les parages, va savoir pourquoi il arrivait à te foutre sur les nerfs en moins de deux ! Et il y arrivait tellement vite que ça en devenait dangereux, dangereux pour lui bien entendu ! « Pour tout te dire, j’suis amoureux d’une nana, et ça m’suffit amplement pour l’instant, alors lâche moi avec ça. » Amoureux ? Pendant quelque secondes tu l’envias avant d’être dégouté, l’amour pour toi c’était devenu tabou.

Parce qu’après tout tu l’avais été, quelques instants, mais depuis sa mort aucun sentiment tendre n’avait franchis la barrière que tu avais créée autour de ton cœur meurtrie. Avant t’avais toujours été là pour les autres, c’est clair il y a des moments tu pétais un câble, comme chaque personne sur terre mais là plus aucune once de bonté n’avait ébranlé ta carcasse, plus rien, le vide, il n’y avait plus qu’un trou béant a la place de ton cœur a vrai dire. « Qui est l’heureuse élue ? » Le voyant hésiter quelque secondes tu t’approchas de lui, peu enclin à ce que d’autre personne entende ce que tu allais lu dire. Ça aurait pu détruite ta réputation de salaud non ? « J’vais te dire un secret…Le grand Sade a déjà été amoureux, pour tout te dire c’est lui qui m’a rendu comme ça » Attendant avec impatience sa réponse tu relayas la douleur qui paralysa pendant plusieurs secondes tes membres au second plans. « En tout cas, j’ai beau être un coincé du cul, toi t’es un putain de lunatique » Un sourire amusée étira tes lèvres humide d’alcool alors que tu continuais de regarder le blondinet. Putain à choisir entre ton coup de ce soir et lui, il y a avait pas photo c’était lui direct quoi… « Première phrase intelligente de la soirée ! J’te félicite bax « Portant une nouvelle fois ton verre à tes lèvres tu laissa l’alcool glisser le long de ta gorge, créant une brulure agréable tout le long de celle-ci. « J’crois que grâce à toi j’viens de trouver mon nouveau coup de ce soir « Faisant signe au blond qui dansait d’une manière un trop sensuel dans le carré vip, tu souris à bax . « Ça te dérange pas qu’il nous rejoigne j’espère ? «




Dernière édition par T.H Sade Hendrik le Sam 9 Mar - 2:15, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



On saturday night, Sade. Empty
MessageSujet: Re: On saturday night, Sade. On saturday night, Sade. EmptyLun 25 Fév - 18:51

    Il se fiche des gens… Pourtant, j’pensais que je faisais ça depuis des années… sinon, comment aurais-je survécu à toutes ces brimades, à tous ces regards suspicieux jetés sur moi dès que j’avais le dos tourné ? J’me suis toujours foutu de ce que pouvaient penser les cons, mais peut-être que ça m’a touché plus que je ne le pensais, finalement. Peut-être que, à cause d’eux, j’me suis limité dans mes actions et je ne faisais que ce qui était nécessaire de faire : bosser, paraître parfait, m’occuper de mon petit frère malgré les regards curieux, dégoûtés et hautains. J’ai toujours vécu avec ce poids sur mes épaules, dans l’optique que personne n’voudrait de moi à cause de mon frère, et que, de toute façon, je ne partirai jamais du village. Mais voilà que, depuis quelque temps, j’me retrouve livré à moi-même à Bridgeport, personne ne connaît mon petit frère ou mes parents, et j’me crée ma réputation tout seul - j’ai mal commencé d’ailleurs. Sade a peut-être raison, mais est-ce que j’me sens prêt à sauter le pas, à enfin être entièrement moi-même aux yeux des gens ? Il me demande si j’ai déjà eu une fille et j’sors de mes pensées, soupirant. Il ne lâchera pas l’morceau. J’lui dis que non et que j’suis pas là pour ça, il me répond de me relaxer, chose qu’il ne fait absolument pas. J’hausse un sourcil, ne sachant pas si j’suis amusé ou blasé par le caractère sanguin de Sade. Il part vraiment au quart de tour ! Enfin, peut-être qu’moi aussi, c’est un défaut que j’partage avec lui. Mais chez lui c’est tellement flagrant que c’en est intriguant. J’sais pas pourquoi mais j’lui dis que j’suis amoureux d’une nana. J’suis pas du genre à faire des confidences, même Sean n’est pas au courant pour Rebekah… Peut-être que j’ai dit ça pour l’calmer, ou peut-être que j’avais besoin de m’confier à quelqu'un, d’ouvrir mon cœur à une personne qui s’en fiche éperdument. « Qui est l’heureuse élue ? » J’lui ai dit que j’étais amoureux, mais je ne me sens pas prêt à lui dire de qui… de quoi. C’est mon secret, celui que j’garderai précieusement au fond de mon être jusqu’à ce que je juge raisonnable de l’avouer à quelqu’un. Et cette personne sera sans aucun doute Sean, et personne d’autre. En tout cas, certainement pas Sade. Avant que je ne puisse lui dire que je n’veux pas m’étaler, il se penche et m’avoue qu’il a déjà été amoureux, et que c’est cette personne qui l’a rendu comme ça. Comme ça. Comme un type étrange, intriguant et un peu fou ? J’le regarde, surpris, essayant de deviner dans son regard s’il ne me raconte pas une grosse connerie pour me faire parler. Ça n’a pas l’air, mais il semble être bon comédien. « Pourquoi t’être laissé détruire comme ça ? » Question idiote, certainement. L’amour est inexplicable. Je me damnerai pour pouvoir être aux côtés de Rebekah plus souvent, ou pour qu’elle puisse vivre de nouveau. Et ça ne s’explique pas. « La nana dont j’suis amoureux n’est pas comme les autres. Différente. Magnifique. Peut-être trop pour moi, pour ce que je suis en comparaison. Mais j’me fiche des barrières. » J’lui avoue en retour, mais je préfère ne pas en dire plus. Le reste est confidentiel. Peut-être que s’il se livre plus… Son histoire m’intéresse, parce que cela signifierait plonger dans les abysses de son esprit et de son cœur, et peut-être le comprendre un peu plus. Mais j’pense pas que je sois le genre de personne à qui il voudrait se confier. J’pense pas qu’il soit du genre à se confier tout court, en fait. Mais j’en oublie presque qu’il est humain et qu’il doit en avoir besoin, comme tout le monde… Pour détendre un peu l’atmosphère, j’lui dis qu’il est aussi lunatique que j’suis coincé, et mon sens de l’humour fut récompensé par un sourire qui se dessina sur son visage. « Première phrase intelligente de la soirée ! J’te félicite Bax. » Je ne peux m’empêcher de répondre à son sourire et le silence s’installe entre nous, alors j’en profite pour boire mon verre et pour observer Sade. Il a le regard scotché à quelque chose, et je remarque le blond de tout à l’heure qui danse, pas très loin de nous, essayant sûrement d’attirer l’attention de Sade. Ça a tout à l’air de fonctionner. D’ailleurs, mon compagnon du soir lui fait un signe de main et je soupire, sachant déjà ce qui va se passer. « Ça te dérange pas qu’il nous rejoigne j’espère ? » Il a un petit sourire en coin qui m’exaspère alors j’lui jette un regard noir. « Eh bien si, puisque tu demandes. » Mais c’est trop tard, le blond vient s’asseoir près de nous alors je m’enfonce dans le cuir du canapé, un peu morose. « Yo », j’dis, désormais peu enclin à bavarder. « J’peux déjà partir, non ? »


Dernière édition par Baxton Leveritt le Lun 1 Avr - 21:31, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



On saturday night, Sade. Empty
MessageSujet: Re: On saturday night, Sade. On saturday night, Sade. EmptySam 2 Mar - 3:16




Travel the world and the seven seas
Everybody's looking for something
- - - - - - - - - - - - - - - -
« Pourquoi t’être laissé détruire comme ça ? » Réfléchissant quelques secondes a une réponse potable tu pris une nouvelle gorgée d’alcool couteux. Putain toi qui avait un qi super élevé tu séchais pour répondre à sa question, pas parce que tu n’avais pas de réponse non loin de là même mais parce que tu ne savais pas comment manier les mots pour être sûr qu’il ne soit pas choquer. Finalement tu laissas une réponse t toute conne s’éclipser en dehors de tes lèvres.. « Pourquoi pas ? » Que répondre d’autre ? Que cette personne avait été ton propre frère et qu’à cause de toi et de ton égoïsme il s’était suicidé, s’ouvrant les veines comme une putain de suicidaire ? Qu’il était mort par ta putain de faute ? Tu ne pensais vraiment qu’il l’accepte, coincé du cul qu’il était. « La nana dont j’suis amoureux n’est pas comme les autres. Différente. Magnifique. Peut-être trop pour moi, pour ce que je suis en comparaison. Mais j’me fiche des barrières. » Restant quelques secondes silencieux de stupeur tu finis par ouvrir la bouche bien décidé a lui répondre un truc sympa pour une fois. « Arrête de dire ça crétin ! T’es plutôt pas mal, enfin dans ton genre quoi ! Hé bien mon pote elle a de chance de t’avoir croit moi. » Deux compliments dans la même phrase, franchement là…tu t’épatais tout seul ! Le pire c’est que tu le pensais vraiment. Rigolant légèrement alors que le jeune homme qui venait de vous rejoindre se glissa sur tes genoux, plaçant quasi instantanément sa tête contre ta gorge y appliquant quelques baisés mouillés. « J’peux déjà partir, non ? »

Soupirant alors que le jeune roux faisant son rabat joie, tu caressais distraitement la hanche du jeune blond posé sur tes genoux, la tête plongé dans ton cou. « Pourquoi il te dérange ? » En vue de la moue crispée que son visage affichait la réponse était affirmative et tu pris là l’initiative de virer le blond de la pour lui faire plaisir. Parce que même si tu ne l’avouerais jamais à voix haute tu pensais une bonne soirée… « Va me chercher un verre » En bon petit chien qu’il était, le gamin qui squattait depuis quelques minutes mes cuisses se releva pour te chercher ledit verre, une moue vexé collé au visage. Mais en vue de l’âge que tu lui donnais il allait en chier pour que le barman, un connard de la pire espèce âgé tout en plus d’une trentaine d’année, le serve ! Très à cheval sur les règles, il ne servait jamais les mineur, ou les majeur qui avait une tête de gamin, mais avec toi il faisait toujours une exception sans doute parce qu’il te reluquait le cul à chaque fois que tu osais passer la porte du verseau. Et le deuxième barman présent ce soir, un beau gosse d’une petite vingtaine d’année ne servait que si l’autre crétin lui donnait l’autorisation. « Nous voilà à nouveau seuls »

Prenant la décision de répondre à sa question pour le foutre en confiance, tu chopas distraitement son verre d’alcool pour le porter à tes lèvres sèches prenant soin de lui offrir un sourire amusé avant que le bout de du verre ne touche ta bouche. « Oh et pour répondre à ta question…J’me suis laissé détruire parce que je l’aimais mais surtout parce qu’il s’est suicidé après qu’on est baisé ensemble tellement il était honteux de s’être allé avec son propre… » Vidant d’une traitre son verre, tu laissais des souvenirs douloureux venir battre contre tes tempes. Du genre toi et ton frère passant votre seule et unique nuit ensemble, ou encore celui où tu l’avais retrouvé mort, vidé de son sang sur le sol de votre salle de bain…Putain tu te détestais ! Pourquoi l’avait tu embrassé ce soir là ? Si tu n’avais rien fait, rien ne se serait passé ainsi ! Il serait encore vivant et tu serrais capable de dormir seul sans avoir besoin de quelqu’un pour te tenir compagnie. « Tu sais quoi laisse tomber… » Grimaçant tu détournas lentement tes yeux embués…

Pardon pour le retard,j'espère que ma réponse te plaira On saturday night, Sade. 678593547





Dernière édition par T.H Sade Hendrik le Sam 9 Mar - 2:17, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



On saturday night, Sade. Empty
MessageSujet: Re: On saturday night, Sade. On saturday night, Sade. EmptyVen 8 Mar - 21:25

    « Pourquoi pas ? » Sa réponse me surprend, à vrai dire je m’attendais un peu à ce qu’il m’envoie me faire foutre à être indiscret d’la sorte, mais j’avais tord. Il arrive vraiment à casser toutes les idées que j’avais d’lui, que ce soit en bien ou en mal, et j’arrive absolument pas à le cerner, surtout avec cette histoire… Il y a quelque chose d’obscure en lui, c’est plus que certain, et j’veux découvrir quoi, même si je n’sais absolument pas pourquoi. J’étais venu pour me découvrir moi-même, pour essayer de rassembler mes forces et d’être un peu plus confiant, mais j’me retrouve à être fasciné par ce type qui me rebutait au plus haut point la vielle, qui m’faisait chier et que j’comprenais pas. J’le comprends toujours pas, mais c’est la seule chose qui n’a pas changé depuis Hogan. J’décide de m’confier à mon tour, parce que… j’sais pas. J’ai pas l’impression d’lui devoir quelque chose, mais j’ai cette intuition que j’dois m’ouvrir un peu. Peut-être pour l’connaître plus. Peut-être pour qu’on finisse enfin par s’entendre. Ou peut-être pour qu’on arrête d’faire semblant, et d’reprendre nos routes sans s’croiser à nouveau. J’sais pas. Mais lorsqu’il me dit qu’elle a d’la chance de m’avoir, j’lui souris, n’y croyant pas tellement mais reconnaissant ses efforts - putain, va pas m’dire que j’commence à l’apprécier alors qu’il sait très bien être connard aussi ? Non, je ne l’apprécie pas, j’le réalise quand le type vient nous rejoindre pour s’asseoir sur ses genoux et lui lécher le cou comme un putain d’chien. J’trouve ça répugnant et j’grimace, demandant si j’peux déjà m’casser, espérant profondément que la réponse soit positive afin que j’puisse échapper à ce spectacle dégradant. Sade me demande s’il me dérange et j’lui jette un regard expressif, l’air de dire ‘bien sûr que oui crétin, ça s’voit pas ?’ et j’détourne les yeux, un peu boudeur j’dois l’avouer. Cette soirée devait être la mienne non ? J’me fais l’impression d’un gamin qui veut toute l’attention mais j’assume, et j’vais même jusqu’à croiser les bras en signe de contestation. J’m’attends à ce que Sade s’amuse de ma gêne mais il n’en fait rien, et va même jusqu’à envoyer le type lui chercher un verre, m’étonnant encore une fois. Comme quoi les idées préconçues… « Nous voilà à nouveau seuls », j’le regarde, toujours autant étonné, mais absolument pas surpris lorsqu’il attrape mon verre et me sourit avant d’le porter à ses lèvres. Je secoue la tête, amusé moi aussi par ce gamin pas comme les autres. De toute façon, je n’aurais certainement pas bu plus que ça. J’m’apprête à lui demander pourquoi il a viré l’autre type alors qu’il a toujours semblé aimer m’emmerder, mais il me devance, me surprenant bien plus que les autres fois alors qu’il me dévoile la raison pour laquelle il s’est laissé détruire. J’l’écoute attentivement et ne peux m’empêcher de dire « ton propre… ? », voulant à tout prix savoir la suite, mais alors que Sade vire d’un trait son verre et me dis de laisser tomber, j’me rends compte que cette histoire est sérieuse, que ça n’a rien à voir avec une quelconque crise d’adolescence et que j’ai en face de moi un gamin brisé, détruit par quelque chose dont il ne peut parler. « J’sais pas quoi te dire Sade, j’suis pas doué pour ce genre de truc, en fait j’suis pas doué pour vraiment trop de choses », j’pince des lèvres, sachant que mon humour laisse à désirer, que c’est pas ça qui recollera les morceaux, que l’moment est malvenu. J’me lève et je m’installe à côté d’lui, désirant créer une proximité qui n’a jamais existé entre nous, pour pas qu’il s’en veuille de s’être confié, pour pas qu’il pense que j’pourrais aller raconter ça à n’importe qui. « J’voudrais te dire que c’est pas ta faute, et j’le pense sincèrement, mais j’sais que ça changera rien, qu’on te l’a déjà sûrement dit et que t’en avais rien à foutre. Ca excuse pas ton comportement d’enfoiré que tu peux adopter parfois, mais ça explique certaines choses et… T’sais quoi ? Aussi compliqué qu’tu puisses être, j’ai envie d’apprendre à t’connaître. » J’reprends mon verre de ses mains et j’bois une gorgée, un peu stressé par tout ça. J’ai franchement pas l’habitude de ce genre d’ambiance : aussi fou que mon frère puisse être, ce n’est pas difficile de discuter avec lui. Là j’ai affaire un être blessé, conscient de ses maux… « Tu peux m’apporter beaucoup d’choses, j’en ai jamais douté même si tu m’emmerdais », j’lui souris, lui redonnant mon verre, « et j’sais pas si je peux faire de même mais… Bon, pourquoi pas ? » J’répète sa question initiale, et j’le regarde, le voyant plus différent que jamais.


ta réponse me plaît oui, et désolée du retard On saturday night, Sade. 1642801012


Dernière édition par Baxton Leveritt le Lun 1 Avr - 21:30, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



On saturday night, Sade. Empty
MessageSujet: Re: On saturday night, Sade. On saturday night, Sade. EmptySam 9 Mar - 3:54




Travel the world and the seven seas
Everybody's looking for something
- - - - - - - - - - - - - - - -
« Son propre frère » Voilà la bombe, enfin l’information était lâché maintenant il restait à voir la comment un intello dans son genre allait réagir. Les bras croisés sur son torse t’attendaient avec une certaine impatiente da réaction. « Ça te choque pas vrai ? » Oh ça oui ça allait le choquer, comme tout le monde a qui tu avais osé le dire depuis sa mort. Ta mère, tes amis, ton propre meilleur ami et même ton psy. « J’sais pas quoi te dire Sade, j’suis pas doué pour ce genre de truc, en fait j’suis pas doué pour vraiment trop de choses » Voilà qu’il voulait te plaindre et tu haïssais ça, qu’on te plaigne tu voulais dire. « J’sais et j’veux pas de ta compassion mec ! » D’la compassion ? Beaucoup en avait fait preuve et c’était tous retrouvé le nez et la bouche en sang. Alors on pouvait dire que tu n’aimais vraiment pas la compassion. Tu la détestais carrément.

« J’voudrais te dire que c’est pas ta faute, et j’le pense sincèrement, mais j’sais que ça changera rien, qu’on te l’a déjà sûrement dit et que t’en avais rien à foutre. Ca excuse pas ton comportement d’enfoiré que tu peux adopter parfois, mais ça explique certaines choses et… T’sais quoi ? Aussi compliqué qu’tu puisses être, j’ai envie d’apprendre à t’connaître. » Un sourire aux lèvres, tu plongeas tes yeux dans les siens légèrement hésitant. Voilà qu’il essayait de te rassurer. De calmer un peu la douleur lancinante qui te bouffait depuis des années. Et malgré lui il y arriva pendant quelques secondes jusqu'à ce que les souvenirs de cette nuit-là te remontent en mémoire, en monstres vicieux. Faisant renaitre en toi la souffrance. Une grimace peinte aux coins des lèvres tu parviens à retenir le gémissant de dolent de douleur qui menaçait de sortir d’entre tes lippes tu plongeas à nouveau tes lèvres dans son verre d’alcool à moitié vide. « Si c’était de ma faute, si je ne l’aurais pas embrassé le jour là rien ne serait arrivé, on aurait jamais couché ensemble et il serait encore en vie…Mais merci d’avoir essayé de me rassurer ! Moi aussi mec, moi aussi ! »

Voilà que tu te mettais a raconté cette putain de nuit…Le cœur a la déroute, tu peinais à reprendre ton souffle, alors qu’un étau enserrerait ta poitrine. Pourquoi quand tu passais une bonne soirée avec un mec qui était en bonne voie de devenir ton ami, cette histoire te revenait toujours en mémoire, brisant net tes espoirs de passer une soirée normale ? Sans douleur et regret ? Tu ne savais pas et ça commençait vraiment à te bousiller de l’intérieure, te détruisant encore plus que tu ne l’étais déjà. « et j’sais pas si je peux faire de même mais… Bon, pourquoi pas ? » Oui après tout pourquoi pas ? Si un connard dans ton genre pouvait lui apporter des choses, pourquoi un intello n’arriverait pas à faire de même avec toi ? « Hé ouai, pourquoi pas ? » Un sourire franc aux lèvres tu lui lanças un bref « je reviens » avant de te lever pour chercher un verre vu que le gamin peinait à revenir. Sortant du carré VIP tu pris directement la direction du bar, peu enclin à faire attendre trop longtemps. C’est que tu commençais à l’apprécier ce mec ! Grimaçant tu fis un signe au barman qui te servit deux verres de whisky, avant de les choper entre tes phalanges et de revenir dans le carré.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



On saturday night, Sade. Empty
MessageSujet: Re: On saturday night, Sade. On saturday night, Sade. EmptyLun 1 Avr - 21:29

    Son propre frère… Ses mots raisonnent dans ma tête, me choquant au plus haut point. J’ai un p’tit frère handicapé, qui ne peut pas prendre soin de lui-même, et imaginer pouvoir ressentir de l’attirance pour lui… Ca m’dégoûte un peu. Je n’arrive pas à comprendre Sade et je n’peux m’empêcher de le juger, et pourtant… Pourtant, il ne me répugne pas, pourtant j’essaie de m’convaincre intérieurement qu’il y avait une raison. J’essaie, mais j’ai un peu d’mal, à vrai dire. Je comprends que son frère se soit senti brisé, peut-être pas au point de se tuer, c’est sûr, mais pour moi cet acte est sale. « Ça te choque pas vrai ? » J’le regarde, il a croisé les bras sur son torse, attendant certainement ma sentence. J’lui souris. « Ouais, totalement », je réponds, apparaissant un peu plus calme que je ne l’suis intérieurement. J’réalise désormais encore plus la douleur que doit ressentir Sade, peut-être même un dégoût de lui-même… Peut-être que c’est ça qui l’oblige à faire c’qu’il fait avec tant de confiance : séduire, mettre des types dans son lit. J’en sais trop rien en fait, j’suis pas psychologue et décrypter les gens c’est pas du tout mon truc. Mon esprit logique concorde seulement avec les mathématiques, ce qui ne m’sert pas tous les jours dans ma vie sociale, je l’avoue. J’le regarde de nouveau et je n’sais absolument pas comment réagir, comment prendre sa révélation, quoi lui dire. J’ai jamais été confronté à quelque chose ça : ce type apporte vraiment des choses étranges dans ma vie, ça c’est clair. Il m’fait moins flipper qu’avant maintenant que je sais ce par quoi il est passé, mais je n’le trouve pas moins dangereux. Je sais que si je sors un mot d’travers, j’vais pas m’en sortir sans difficulté. J’préfère rester neutre, et peut-être que je reviendrai lui en parler plus tard, une autre fois, quand j’aurais assimilé tout ça. J’lui avoue donc que je ne sais pas quoi dire. « J’sais et j’veux pas de ta compassion mec ! » J’lui fais un petit sourire, quelque peu satisfait de cette réaction : elle m’évite bien des ennuis, bien des réflexions. J’me dis que, finalement, il n’est peut-être pas si compliqué que ça d’échanger avec Sade, qu’il faut juste faire attention où on met les pieds, et que ça pourrait devenir une sorte de réflexe ensuite. Du coup, j’essaie d’le réconforter, de l’apaiser, parce que je n’ai pas envie d’fuir. Il m’intrigue trop pour que j’y arrive, de toute façon. J’sais pas si j’le respecte, sincèrement, mais j’le considère assez pour ne pas le lâcher alors qu’il m’a confié tout ça. C’est quand même une grosse partie de sa vie, quelque chose qui l’a détruit… ou une base malsaine sur laquelle il se construit. Il est encore jeune. Il est toujours temps de changer tout ça, d’le guérir, même si je sais que mon rôle n’est pas là. J’sais pas encore quel rôle je pourrais jouer dans sa vie ni quel rôle il est destiné à jouer dans la mienne ; mais j’sais qu’il en aura un. Il grimace un peu et avale une gorgée de son verre, chose qu’il fait un peu trop fréquemment à mon goût. J’ai pas envie qu’il soit une nouvelle fois soûl, c’est bien plus plaisant de discuter avec lui lorsqu’il est sobre, lorsqu’il réfléchit. « Si c’était de ma faute, si je ne l’aurais pas embrassé le jour là rien ne serait arrivé, on aurait jamais couché ensemble et il serait encore en vie…Mais merci d’avoir essayé de me rassurer ! » Je pince des lèvres, peu satisfait de sa réplique. Mais après tout, j'm'attendais à quoi ? J’pensais vraiment qu’il allait aller mieux, qu’il allait me sourire de toutes ses dents et me dire que, ok, toute cette histoire était enfin oubliée ? « J’pense pas être prêt à parler de ce genre de choses maintenant. Comme j’t’ai dit, ça m’choque un peu, mais ça m’empêche pas de t’apprécier, malgré moi et malgré ton attitude affligeante », j’lui souris, provocateur. « J’voudrais néanmoins m’sentir plus à l’aise avant de pouvoir te dire quoique ce soit. Que ça t’empêche pas de m’en parler. » J’le regarde sérieusement, j’veux bien être une oreille attentive à ses maux, juste un sac dans lequel on s’vide, un ami quoi. Cette ascension dans ma façon d’le voir me choque presque autant que ses révélations, et ça m’paraît pourtant naturel. J’ai rien forcé, pour une fois. D’habitude, j’essaie toujours de pousser un peu, pour avoir des potes plus rapidement, et ça fonctionne pas du tout. J’lui avoue donc qu’il peut m’apporter des choses, que j’veux l’connaître. J’lui dis que, pourquoi pas. « Hé ouai, pourquoi pas ? » Il me sourit et me dit qu’il revient, me laissant seul quelques instants. Sa réponse m’a fait plaisir, mais j’dois avouer que le fréquenter ne sera pas de tout repos. Au final, lui aussi est un peu handicapé : pas mental, comme mon frère, mais du cœur. Ca m’dérange pas. J’ai les épaules pour ça. Il revient avec deux verres de whisky et je grimace, j’peux plus rien boire. Il me tend un verre et j’prends le mien, mais le sien aussi. « Si on arrêtait un peu de boire ? Tu sais, être sobre c’est sympa aussi », j’lui dis, taquin. « T’as qu’à aller danser un peu. Ca évitera de t’emmerder. J’t’attends. » Je sais que j’suis venu ici pour me détendre, pour prendre confiance. J’ose pas, j’ose vraiment pas partir sur la piste. Tous ces corps qui bougent… ça m’fait un peu peur. Plus que ça, certains me dégoûtent un peu, trop expressifs. J’croise les jambes et j’observe Sade, insistant, l’air de dire ‘casse-toi danser et surtout me propose pas de venir avec toi’.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé



On saturday night, Sade. Empty
MessageSujet: Re: On saturday night, Sade. On saturday night, Sade. Empty

Revenir en haut Aller en bas

On saturday night, Sade.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» who said I was the crazy one + sade
» les hasards sont assassins (sade)
» My name is Night ; Ashley Elyza Night. [UC]
» don't be frightened. (Sade)
» where is my mind ? • Sade.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
THE SIMS™ play with life. :: 404 ERREUR :: DEMOLIR LE TERRAIN :: Corbeille PWL 2.0 :: Cimetière rpgique-