 |  Sujet: SCÀARH ☍ i was born to tell you i love you. Sam 15 Fév - 21:23 | |
|  L'amour est comme une blessure à la tête, ça donne le vertige, on croit qu'on va mourir mais on finit par guérir. @proverbe polonais + in safe hand. ★★★ ⊹⊹⊹ Scàarh hadès petrova-montague⊹ NOM PRÉNOM : petrova-montague, hadès scàarh. ⊹ ÂGE : 28 ans. ⊹ LIEU DE NAISSANCE, ORIGINES : américain, né à Chicago. ⊹ ÉTUDES, PROFESSION : commando de l'air. ⊹ SOUHAIT À LONG TERME : entouré par une famille. ⊹ STATUT CIVIL : fiancé. ⊹ FONDS DU FOYER : $$$. ⊹ ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel.
⊹ PLAT PRÉFÉRÉ : pâtes carbolafrime. ⊹ STYLE DE MUSIQUE : pour enfants. ⊹ COULEUR FAVORITE : bleu. ⊹ PRÉNOM DE L'AMI IMAGINAIRE : polux. ⊹ ATTIRANCES : cheveux bruns - maquillage du visage - athlétique. ⊹ TUES L'AMOUR : cheveux roux - lunettes - embonpoint - mécanique . ⊹ CARACTÈRE : à l'aise avec les jeunes - ambitieux - baisers divins - économe - ermite - instable - culture française - névrosé - perfectionniste - tourné vers la famille - . › on the last page of my book... « Scàarh. ». Et c'est ainsi, qu’essoufflée, meurtrie et exténuée, Rosie Petrova-Montague donna enfin une identité à son enfant. Les accouchements n'étaient pas une chose aisée, elle pouvait le concéder. Cela était même l'effort physique le plus important qu'elle n'ait jamais du donner dans toute une vie. Mais, en voyant la petite chose de 48 cm et de 2,6 kilos gesticuler difficilement, les yeux bleu océan ouverts, inspectant chaque recoin du plafond de la salle d'accouchement, elle savait que cela en valait la peine. C'était un don du ciel. Ce petit être était là, fragile, innocent, enveloppé dans un pan de lin blanc, avec pour seul membre en lien avec l'extérieur une jolie petite tête aux cheveux blond, à la limite de la transparence, et ces yeux. Les yeux des Petrova. Les mêmes que sa mère. Arroldh Montague, le père de l'enfant, était au coté de sa femme, admirant lui aussi sa progéniture. Il faut dire que cela avait été une rude épreuve, tant pour la mère que pour le père. En effet, l'enfant n'était pas sensé survivre à l'accouchement. Son cordon ombilical entourant son cou frêle et vulnérable déjà durant les première echographies, n'était pas bon signe. Mais, Rosie avait foi en la vie, foi en l'Amour et foi en cet enfant. Elle ne s'était pas trompée. C'est alors que son garçon, ayant terminé d'admirer et de scrupter le plafond, tourna gauchement la tête vers elle. Avec un sourire béat sur les lèvres, les parents eurent le geste instinctif de sortir la main du nourisson de son drap, pour qu'il puisse attraper l'index de sa génitrice et le géniteur posa sa main sur sa tête. La scène était digne d'une peinture sainte: Marie, Joseph et Jésus. « Bonjour, Scàarh. Bienvenue dans ce nouveau monde, qui est le tien. ». Or, les Petrova-Montague n'étaient nullement chrétiens, plutot juïfs de génération en génération. Marie n'était pas ce qu'elle prétendait être à leurs yeux. Mais, au jour d'aujourd'hui, ils feraient un exception. Son oeuvre était trop belle pour être ainsi ruinée.
Et c'est ainsi, qu'à l'hopital de Chicago, commença la vie tumultueuse et torturée du jeune Scàarh.
« Et donc, comment tu t'appelles déjà? » « Scàarh. » « Ah oui, comme dans le Roi Lion héhé. ». Le jeune homme avait beau avoir à peine 9 années dans les bottes et de nombreuses rencontres, il commençait déjà a en avoir assez de cette même phrase. Oui, il s'appelait comme le méchant dans le Roi Lion. Oui, cela faisait rire tout le monde sauf lui. Oui, il en avait ras le bol. Mais, venant de ce petit bout de chou, cela le fit rire aussi. Elle était brune aux yeux bleu opalin. Elle avait beau avoir 2 ans de moins que lui, elle paraissait tout aussi mature que les jeunes demoiselle de son âge. C'est pourquoi elle n'arrivait pas à s'intégrer ici. Elle était bine trop terre à terre, bien trop vrai, ben trop pure. C'est pourquoi, Scàarh l'a prit sous son aile et en fit une amie, et quelques années plus tard, une meilleure amie. Mais, comme beaucoup le savent, à l'âge où la puberté commence à frapper à la porte de chacun, à l'âge où les relations changent et où la chair entre en jeu, il est difficile de ne pas être tenté par l'inconnu. Et, il est d'autant plus rare de ne pas succomber pour la personne qui partage nos journées. Scàarh se retrouva, bien des soirs, à imaginer la belle Kida à ses cotés, dans son lit, son corps frêle et enfantin contre le sien. Il s'imaginait lui caresser le visage avec une douceur qu'il ne se connaissait même pas, et il s'imaginait agripper ses lèvres des siennes, laissant virevolter leur imagination. Non. Il se reprenait toujours à temps, avant d'avoir des pensées bien trop étranges. Mais, il fut vite rattraper par la réalité. C'était une 4 Juillet 2 004. Il faisait beau, il faisait chaud. Fête nationale américaine. L'un des plus beau jour de l'année. Les pétards, les feux d'artifice, la joie, la bonne humeur. Scàarh était nerveux. Car oui, l'étaux s'était resserré sur lui. Kida ne le regardait plus de la même façon, n'agissait plus de la même façon avec lui. Elle était séductrice, charmeuse. Elle lui laissait entendre de nombreux sous-entendus. Ou du moins espérait-il avoir bien comprit et ne pas avoir laissé son esprit prendre le dessus et voir des choses qui n'en étaient pas. C'est pourquoi, il tenta le tout pour le tout et l'invita gentiment et en toute amitié, à aller regarder le feu d'artifice d'un peu plus loin. A l'extérieur de Chicago se trouve un champ d'herbe folle, où il fait bon s'allonger dans la journée. Scàarh pouvait se vanter de pouvoir l'y amener, ayant au son permis depuis peu. Elle accepta. C'était déjà un premier pas. Mais la partie la plus difficile approchait: il fallait que tout soit parfait.
Le jeune homme, tremblant, passa récupérer la jeune demoiselle devant chez elle, salua sa mère qu'il connaissait très bien, acquiessa quand elle lui demanda de faire très attention en voiture et partit. Kida était rayonnante. Simplement vêtue d'une robe à fleur et de sandale, ses cheveux laché sur ses épaules, sa peau au teint frais à peine maquillé, montrant à quel point elle était parfaite sans artifice.. Scàarh en eut des frissons. Ils arivèrent. Kida sortit de la voiture, et attendit le jeune homme. Il resta dans la voiture quelques instants, à contempler le paysage: sa Kida, se tenant droite, devant ce champ, avec le soleil couchant juste devant elle. Idyllique, poétique, parfait. Tout ce qui s'associer à elle. Et puis, il sortit et s'avança vers elle. Elle semblait le contempler, mais il n'y prit pas gare. Il passa son bras autour de ses épaules et la tira vers lui. Un sourire au lèvre, il s'avança dans la champ, relativement silencieux et s'asseya au milieu, Kida à ses cotés. Les heures défilèrent sans même qu'il y fasse attention. Durant ce temps, Kida et Scàarh se cherchaient, très clairement. Ils se lancaient des petits regards, s'essayaient à des caresses qu'ils ne se connaissaient pas. Et, quand le feu d'artifice commença, Scàarh et Kida était en train de gentiment se chamailler, Scàarh la recouvrant de tout son poids. Il n'avait pas réalisé à quel point sa posture était subjective. Ils se retrouvaient, allongés là, dans l'herbe, l'un sur l'autre, mourrant d'envie d'aller plus loin. C'est alors que Scàarh tenta de se lancer, hésitant, tatillon. Après tout, elle était la soeur d'Askan, qui était l'un de ses amis. Il avait un peu peur des retombées, mais au diable les règles, le protocole. Il avança, doucement ses lèvres vers celle de sa meilleure amie, qui ne semblait attendre que ça. Ils se trouvèrent enfin, et tout s'éclaira pour Scàarh. Il l'aimait. Il l'aimait, d'un amour ardent. Jamais n'eut-il pensé pouvoir aimé autant. Et, c'est avec un naturel déconcertant que le jeune homme commença à parcourir le corps de la jeune fille de ses mains, de ses lèvres, à faire voler ses habils et à commettre l'irréparable. « Scàarh.. » La jeune femme, hésitante et désireuse de l'entendre, s'essaya à une petite phrase, que le jeune homme coupa net. « Je t'aime, Kida. » Elle eut un petit sourire et, son visage illuminé par les couleurs chatoyantes du feu d'artifice se tenant au dessus de leur tête, elle approcha son visage du sien. « Je t'aime aussi. ». Et, quand il commença, la jeune femme retint quelques cris de douleur. Il n'aimait pas à lui faire du mal. Il ne savait pas s'y prendre. Après tout, c'était sa première fois.
« Tu n'es pas obligé d'y aller Scàarh.. ». Telle une supplication muette, la jeune demoiselle qui partageait sa vie depuis maintenant 4 ans tentait de le retenir. De le garder pour lui. Ses bras frêles entouraient sa taille, comme si elle tentait de le retenir par la force de ses bras. Cette idée, bien que romantique et mignonne à souhait, fit sourire Scàarh. Il l'encercla de ses bras musclés pour la serrer d'autant plus contre lui. Sa combinaison de militaire n'était pas l'habit qui lui sciait le mieux, mais il devrait s'y faire: cela serait sa tenue de travail pour les années à venir. Il avait en effet, décidé de s'enrôler pour aller combattre en Afghanistan. Il savait qu'il faisait du mal à sa famille, ses amis, sa Kida. Il le savait, mais il se le devait. Il voulait partir, faire sa vie, montrer qui il était. Il se le devait. L'étreinte avec sa dulcinée fut bien plus déchirante qu'il ne l'aurait cru. Les larmes montaient aux yeux de sa bien-aimée. Il ne pouvait le laisser faire. « Ne pleures pas mon amour. Pas maintenant. Nous nous reverrons, je te le promets, et à ce moment-là, nous vivrons ensemble et heureux jusqu'à notre mort. Crois moi. » Mais ces mots ne semblaient pas avoir assez d'impact sur la jeune fille, c'est pourquoi il se défit de son étreinte et posa son sac à terre. Il regarda à droite, à gauche, voyant la mère de Kida et ses parents les admiraient. Il leur sourit et, lentement mais surement, posa un genoux à terre, devant sa dulcinée. Le jeune homme, tenant la main gauche de Kida dans la sienne, sortit un petit écrin bleu nuit et l'ouvrit devant elle. Les larmes cessaient de couleur sur les joues de la jolie brune, bien trop surprise par les actes qui se déroulaient sous ses yeux. Profitant de l'effet de surprise, Scàarh prit une grande inspiration et, de sa voix tremblante sous l'émotion, se lança. « Kida Kennet, accepterais-tu de devenir ma femme? ». L'émotion était à son comble, leurs parents se doutaient bien qu'un jour leurs enfants se marieraient, mais jamais ne l'aurait-il cru aussi tôt. Il n'avait que 21 et 19 ans, mais leur histoire était toute tracée. Kida, confuse, acquiessa doucement, d'un signe de tête, trop hébété pour répondre distinctement. Elle murmura un léger « oui, je le veux », autorisant Scàarh à se relever, à l'embrasser, à lui passer la bague au doigt et à partir. En rentrant dans sa voiture, Scàarh se pencha vers la jeune fille, l'embrassa, prit son visage entre ses mains et lui promit monts et merveilles à son retour. « Je reviendrais, Kida. Je serais là pour honorer la promesse d'un mariage reluisant que je viens de te faire, ici, sous ce porche. Nous vivrons ensemble, dans une petite maison, aux alentours de Chicago, nous aurons des enfants, 1 fille et 1 garçon comme tu le désires tant, et nous vivrons heureux pour toujours. Il n'y a que toi qui peut me rendre heureux. Souviens-t-en. Je reviens le plus vite possible. » Et il déguerpit. C'est alors que, seul, il laissa sa douleur s'emparait de lui et se mit à pleurer. Cela était l'une des première fois que des larmes aussi imposante glissaient sur ses joues. Mais jamais n'avait-il aimer comme il aimait, et jamais n'avait-il eu l'obligation de quitter ses personnes qui lui étaient si cher. Pour une durée indeterminée.
« O-3, preparez-vous à tirer ». Ca y est, c'était le moment, c'était l'heure de commencer les choses sérieuses. Les avions de chasse survolaient à des vitesses farmineuses les contrés de l'Hindu Kush. Les avions sont difficilement repérables à l'avance à travers ces montagnes, ce qui donnait un effet de surprise assez inestimable en ce jour de grand changement. Avantage aux américains. Les 4 avions filaient dans le vent, en sifflant, dépassant la vitesse du son. Et c'est à ce moment-là qu'ils arrivèrent sur la plaine. La frontière. Frontière avec le Pakistan. Ils se dirigèrent donc à tout allure vers Bilal, petit ville non loin de la capitale, Islamabad. Une opération des plus périlleuses étaient en train de se passer. « O-3 Montague, au rapport. ». C'était à son tour de parler. « R.A.S O-5. En approche de la cible. ». Il n'était plus qu'à quelques minutes du lieu d'impact. Le temps s'écoulait à une lenteur surprenante. Pourquoi n'allait-il pas plus vite bon sang. Ils allaient faire capoter la mission. « Relax Scàarh. ». Son co-équipier, Ian Mikaelson. Il le connaissait décidément par coeur. Heureusement qu'il était là, dans son avion de chasse, à quelques mètres en parallèle de lui. A peine eut-il le temps de se calmer qu'il arrivait sur Bilal. Et ils arrivaient au bon moment.
Des coups de feu, des explosions, des hurlements. Le spectacle vu d'en haut prenait une ampleur considérable. Comment cela se pouvait-il qu'une si petite maison soit à l'origine de tant de remus-ménage. Et puis, tout cessa. Ils avaient réussi. Les américains au sol avaient remplis leur mission.
Nous sommes le 2 Mai 2011, et Oussama ben Laden est mort. Et de nombreux soldats américains avaient été pris en otage. D'autres avaient été blessés. « SCÀARH? ». Les cris, interminable du jeune Ian Mikaelson résonnait dans le vent. Lui, qui avait prit une balle dans la jambe, ne pouvait se contenir et rester allongé pendant que ses compagnons partaient à la recherche des soldats disparus. Scàarh en faisant partit. Son frère, son meilleur ami, venait d'être embarqué par des djihadistes. Il ne pouvait s'y résoudre et pourtant, surement jamais ne le reverait-il. Ian fut renvoyé chez lui, en Angleterre, après avoir été décoré pour avoir aussi bien servit au coté des Américains.
C'est alors que l'enfer de Scàarh commença.
Les djihadistes n'étaient pas des gens très causants, et même, on avait pas forcément envie de discuter avec l'ennemi qu'on combat depuis plusieurs années. C'est ainsi que, bayonné et aveuglé, Scàarh se retrouva au milieu de nul part, dans un creux de montagne, dans un camp secret. Lorsqu'il arriva, on lui arracha le bout de toile qui lui couvrait les yeux, laissant à son regard la brulure du soleil. On l'obligea à se lever en un rien de temps et on le balança en bas de la camionnette. Toujours bayonné, le jeune homme, désormais torse-nu, se voyait lacérer de coup de fouet dans le dos pour avancer. Il était réduit à un esclave. Et puis, c'est à ce moment là qu'il entra dans une tente de fortune, qui l'abritait un peu des bourasques de vent brulant et ensablé. Il entra, se trouva propulsé à terre, les maisn toujorus liées dans le dos. Il regarda autour de lui. C'est alors qu'il tomba sur elle. La seule chose dépassant de son niqab était la grande paire d'yeux bleu électrique, à peine maquillés. Mais rien que ça pouvait faire chavirer n'importe quel homme. Sauf Scàarh. Il n'en avait cure des espèces de petites musulmanes voulant faire plaisir à leur paternel en rentrant dans Al Qaïda. A dire vrai, elle lui donnait envie de vomir. Il la regarda avec dédain, celle-ci lui mit un coup de pieds au visage. Elle commença à parler en arabe. Scàarh ne comprenait rien. Et elle détacha son niqab, laissant son visage à l'air libre. Elle était d'une beauté irradiante, presque douloureuse. Il fallait l'admettre. Elle s'approcha du visage de Scàarh, et le regarda, l'air mauvais. Avec un anglais parfait et un accent très californien, elle tenta de l'effrayer. « Prépares-toi à vivre un enfer, et peut être ta vie sera sauve. » Scàarh se mit à rire et la regarda, d'un air de défi. « Je préfère mourir pour mon pays plutôt que de le trahir, comme tu le fais. » Le regard de la jeune femme se refroidit. Elle se releva, demanda à ses gardes d'emmener le jeune homme et ils le mirent dans une maison isolée, en plein soleil. Il y reste prêt de 3 jours sans manger et en buvant un verre d'eau par jour. Ses pensées se mélangeait. Il pensait à Ian, à sa blessure à la jambe à cause de lui ; à ses parents, qui devaient être morts d'inquiétude de ne plus recevoir de lettre de sa part ; à Kida. C'est grâce à elle qu'il tenait. L'espoir de la revoir, de la serrer dans ses bras, de l'embrasser, lui faire l'amour, lui tenir la main devant l'autel, de l'aider à accoucher, la regarder vieillir d'une manière qui lui était sienne et l'accompagner au Paradis. Elle le maintenait en vie.C'est grâce à elle si son année de captivité se déroula aussi bien. Mais, ce qu'il apprend durant ce temps était bien plus étrange encore.
La jeune femme aux yeux d'opale n'était autre que la chef des opérations. C'était elle qui avait lancé l'assaut à la suite du raid. Elle voulait un moyen de pression, envers les Etat-Unis pour peut être négocier un traité de paix. Elle avait beaucoup d'espoir. C'était un jour où le ciel était un peu gris que la jeune femme décida de rendre visite à son captif. Seule. Elle entra dans la salle, Scàarh était appuyé sur un mur en sable sédimenté. Il avait du mal à ouvrir les yeux tellement il était faible. Elle referma la porte à clef derrière elle et s'approcha de lui. Il la regarda, le regard trouble, empoigner sa gourde et lui amener jusqu'au lèvre. Il ne perdit pas une goutte de la si précieuse eau qu'elle lui offrait. « Je suis désolée capitaine Lovelace, cela ne devait pas se passer ainsi. Tiendrez-vous le coup? » A ses paroles, Scàarh faillit s'étouffer. Tout s'éclairer. La jeune femme n'était pas une islamiste comme les autres. Elle était de son coté. Elle sortit un morceau de pain de sa poche et lui tendit. Il l'engloutit en 2 bouchés. Elle réitéra sa question. « Tiendrez-vous le coup? ». Le jeune homme acquiessa. « Préparez-vous au pire. Je ferais tout pour qu'ils vous épargnent, vous plus que les autres. » Elle se releva, remis son niqab en place. « Comment vous appelez-vous? ». Avec le regard presque compatissant, elle sussura doucement. « Amira. » Elle ressortit aussi vite qu'elle était venue. Scàarh n'avait pas eu le temps de tout encaissé. Pourquoi lui avait-elle dit de tenir le coup? Il ne comprenait pas.
Jusqu'au lendemain.
Le soleil pointait à peine au delà des dunes que des coups de feu retentissaient. Des masses tombaient au sol. Scàarh, réveillait par ce vacarme et comprenant ce qu'il se passait eu un frisson qui lui parcourut l'échine: une exécution. C'était cela à quoi faisait référence Amira hier? Son exécution était-elle prévue pour aujourd'hui? C'est alors qu'on enfonça sa porte. Amira était là. Elle le somma de se dépêcher de sa lever. Le temps qu'il se lève, la jeune femme avait déjà saboté sa porte, de tel sorte à ce que l'on croit qu'il l'avait ouverte de l'intérieur. Elle se dépêcha de venir à son niveau et de lui délier les mains. « Courez, capitaine Lovelace. Courez aussi vite que vous le pouvez, en direction de l'est. Vous tomberez bientot sur une ville. Ne vous arrêter sous aucun prétexte. Ils vous retrouveraient et vous tuerez. Courez. ». Et Scàarh partit en courant, puisant dans le peu de force qu'il lui restait. Il ne se retourna pas, pas même pour lancer un regard de remerciement à la jeune femme.
Scàarh courut aussi vite qu'il le put, pour atteindre la ville de Loman, dans le sud-est du pays. Quand les habitants le virent arriver, vêtu de son habit de militaire et avec sa mine de mort vivant, ils l'emmenèrent de suite à l'hopital et appelèrent le consul. Le soir même, Scàarh était rappatrié à Washington D-C. Mais, durant les longs vols entre Loman et Londres, puis entre Londres et Washington, Scàarh n'arrêta pas de poser des questions au caporal qui l'accompagnait. Qui était Amira? QUe se passait-il en Afghanistan? Scàarh était perdu. Et c'est avec l'esprit trouble que le jeune homme perdit connaissance, tombant dans un sommeil profond. Lorsqu'il se réveilla, il était sur un lit d'hopital, dans le Norwegian Amercian Hospital de Chicago. Son sergent était en face de lui, raide comme une piquet, à attendre qu'il se réveille. « Capitaine Montague. Bon retour parmi nous. » « Pourquoi suis-je à Chicago? Je ne devais pas aller à Washington? J'ai des multitudes de questions à poser. » « j'ai été nommé pour y répondre, capitaine. ». Et c'est ainsi que Scàarh apprit qu'il y avait une invasion par l'intérieur des forces islamistes par les américains. Scàarh devait être mis au secret, vis-à-vis du caporal Amira Dalstein-Firks, qui était une infiltrée depuis presque 4 ans. Elle avait réussi à monter les échelons bien plus rapidement que les autres, surement grâce à sa plastique et à son autorité naturelle. Son prénom ne devait pas fuiter. Scàarh accepta les termes du traité, ne voulant mettre en péril une action aussi épineuse que de démanteler le plus gros groupe terroriste du monde. « Et maintenant, des personnes meurent d'envie de vous voir. » « Kida. ». Le prénom sortit de sa bouche tel une évidence. Il mourait d'envie de la revoir, malgré la perfusion qu'il avait dans le bras et sa mine surement piteuse. Mais, lorsque ses parents entrèrent en larme et se jetèrent à son coup, ils étaient seuls. Scàarh fut heureux de les revoir, bien évidemment, mais la première chose qu'il leur demanda était où était sa fiancée. Les choses délicates commençaient.
Kida avait quitté la ville, le pensant mort. Elle était partie vivre à Sunset Valley, où elle avait apparemment refait sa vie. Scàarh vira au rouge, et se jura de la rejoindre le plus vite possible et de détruire la vie de l'homme avec qui elle partageait désormais son lit.
Chose dite, chose faite. Il revint à Sunset Valley un 18 Septembre. ⊹⊹⊹ let me know you⊹ PRÉNOM, PSEUDO : clémence, ltwul. ⊹ ÂGE : 19 piges. ⊹ OÙ AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? obsession magueule. ⊹ TA LIFE : ton blabla ici. ⊹ TES ANCIENS PERSONNAGES : aucun. ⊹ SCÉNARIO, INVENTÉ : inventé babe ⊹ GROUPE : famille. ⊹ AVATAR : le plus beau de tout les français: guillaume canet. - Code:
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[b]max irons[/b] ~ h. scàarh montague
Dernière édition par H. Scàarh Montague le Lun 17 Fév - 15:07, édité 2 fois |
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Laissons le staff répondre 
néanmoins je peux toujours soumettre la question au reste du staff si c'est vraiment indispensable