Mars 2012. Les beaux jours reviennent. La fraîcheur de l'hiver laisse place aux douce température du printemps. Les familles profitent de cette occasion pour emmener leur enfant au parc, tendit que d'autre ressorte leurs habits de saison. Les humeurs sont meilleurs et l'approche de pâque fait plaisir aux gourmands de chocoloat. Charlie est d'humeur à sortir, se balader dans Montsimpa, rencontrer de nouvelle personne, aux risques de croiser de vieilles connaissances dont il se serrait bien passer. Il aime cette saison, c'est celle qu'il préfère. Il aime voir les arbres mort reprendre vie, voir l'apparition de nouveau bourgeon comme pour la promesse de nouveaux espoirs, de nouveaux horizon, comme si la vie leur tendait les bras et leur donnait l'occasion d'être heureux. Même si quel que soit la saison, un malheur peut toujours arriver... Mais le jeune homme aimait cette douceur, et cette agitation de la flore qui reprenait ses droits. La journée est encore passé à une vitesse folle. Charlie n'a rien fait de particulier, hormis se prélasser dans la véranda, profitant ainsi des rayons du soleil qui lui léchait allègrement le visage, lui réchauffant ainsi ses pommettes pâle en raison d'un rude hiver. Il n'avait pas vu sa femme aujourd'hui, du moins, si il pouvait l'appeler comme ça. Leur histoire était compliqué. Marié bourré à Las Vegas, la jeune femme avait refusé le divorce pour profité de l'héritage du jeune homme, et puis elle avait perdu sa sœur, et puis elle était devenue malade... Et il vit avec elle parce qu'elle ne peut pas être seule, et malgré tout ça, il s'attache. Alors que tout semblait les opposés et les destinaient à ce haïr, et pourtant... Comme quoi la vie réserve bien des surprises. Les choix que l'on aurait pu considéré comme étant mauvais au début, était en faite des choix qui était de ce qui pouvait changer une vie. Perdu dans ses pensées, il ne remarque pas le temps qui passe. Il est déjà dix neuf heure. Il a envie de sortir, se vider la tête, boire un verre et pourquoi pas aller danser. Il voulait sortir de cette maison qui parfois semblait l'étouffer. Il s'habille, se fait beau. Il coiffe ses cheveux blond. Il met du parfum, prend les clés de sa voiture et direction du centre ville. Il roule, il ne sait pas ou aller. Il tourne en rond. La musique est a fond, il tape sur le volant avec ses mains aux rythmes de la mélodie. Et il passe devant le bar   « Chez Hogan. » Un sourire se dessine sur son visage. Il se gare, et avec une démarche assuré rentre dans l'endroit déjà bondé à cette heure ci. Il se dirige immédiatement vers le bar pour commander un verre. « Un whisky avec des glaçons, s'il vous plaît. » Il fait un clin d'oeil à la jolie serveur et lui serre un magnifique sourire une fois son verre servit. Il en boit de petite gorgée et scrute la salle du regard. Il cherche d’éventuellement connaissance, ou de jolie femme avec qui il aurait eu des aventures ou pourrait en avoir... Son sourire s’efface, il aperçoit un vieille ami, ou ennemie, il était encore indécis à ce sujet. Charlie avait jadis couché avec l'objet des convoitises de jeune homme, il n'avait semble-t-il pas pu lui pardonner. Au vu des caractères explosifs des deux jeunes hommes, l'affrontement semblait être ce qui les amusait le plus. B. Dexter River-Field était un homme séduisant, beaucoup de femme pouvait le confirmer. Il avait une allure de mauvais garçon et en même temps celui d'un homme fragile, bien qu'il ne l'était en faite pas, du moins c'est ce que Charlie pense. Il saisit son verre et s'avance vers cet homme, il sourit d'avance en pensant à leur futur conversation. Il arrive à capter son regard. Il sent l'exaspération du jeune homme à le voir ainsi s'approcher de lui. Mais Charlie n'arrête pas sa course. Il s'adosse sur le mur à coter de lui. Il attend quelque instant avant de prendre la parole, il hésite, mais finalement se lance. « Dexter River-Field, voyez vous ça. Ça fait combien de temps ? Trois mois, peut être quatre. Je vais finir par croire que tu m'évites. » Il sourit par provocation tout en lui tapotant amicalement le dos d'une façon hypocrite qui se sentait.

Le printemps est une période agréable mais qui pourtant ne me faisait pas plus sourire pour autant. Je sentais cette fine brise touché mon visage alors que je venais de sortir de chez moi. Une journée fraiche mais tout de même agréable au vue du soleil qui avec quelque difficulté pointé le bout de son nez. Je me sentais étrange mais en même temps bien. Je me trouvais serein, mon travail ne devait pas être la raison mais plutôt le fait que je sache que les femmes de mon répertoire était toute charmante. Je sais, cela peut surement paraître con mais le fait que je plaise toujours autant a mon âge, pas si vieux au passage , me rassure. Bref, allant alors vers le fameux bar Hogan je pris mon service et passa une journée plutôt agréable. Comme tout bon barman une pose est attribué a chacun d'entre nous, ma partenaire gardant celle ci pour plus tard je me pris une bonne bière et alla m'installer dans un coin du bar afin de pouvoir souffler un moment, parler avec quelques habitués et saluer les jeunes femmes qui quitter le bar. Dégustant mon liquide je venais regarder les personnes ce trouvant alors sur place, mais ce fus pour moi une surprise de mauvais gout en voyant ce cher Charlie Beckers. Cet enfoiré osait venir vers moi et soupirant alors je compris très vite que sa venu ne me réjouissait pas. Le laissant parler je venais le fusiller du regard lorsque sa main vient ce plaquer sur mon épaule. « Charlie. Oh tu crois ? Mais pourquoi ferais je cela ? » Je lui parlais sur un ton ironique, tournant alors mon regard sur lui d'un air interrogateur.