Nous sommes tous à la recherche de cette personne unique qui nous apportera ce qui nous manque dans notre vie. Et si on ne parvient pas à la trouver on n’a plus qu’a prier pour que ce soit elle qui nous trouve... → Desperate Housewives.

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premier chapitre ;

LA NAISSANCE & L'ENFANCE S’il fallait déterminer la vie de Carmen en un mot ça serait certainement mémorable, hallucinante, extravagante, simple, merdique … En réalité, elle n’a pas eu la chance d’avoir que du positif dans sa vie. En même temps, c’est pareille pour tout le monde. Tout d’abord, à sa naissance.

Carmen est née un certain vingt-sept octobre à Saint-Pétersbourg il y a de ça vingt-cinq ans aujourd’hui. Ces parents sont très connue en Russie et d’ailleurs, c’est une très grande famille de riche héritier. A savoir que les vrais parents de notre jolie jeune fille l’ont abandonné à sa naissance dans le simple but d’éviter de lui faire vivre un enfer. Son père est un alcoolique et quant à sa mère, elle avait grandement besoin de drogue pour vivre. Il était hors de question d’élever un enfant dans de tel conditions, d‘après le médecin et on sait tous qu‘il a raison. Tellement fixer sur ses fixes de came, la mère de Carmen n’a même pas compris qu’elle attendait un enfant. Son petit-ami lui a fait la réflexion d’une obésité en voyant que sa femme grossissait de plus en plus chaque jour. Et c’était loin d’être la drogue. Elle se rend alors chez le médecin, celui-ci ne manque pas de lui faire comprendre qu’elle est enceinte. C’est en pleurant de chaudes larmes qu’elle retourna chez elle pour annoncer la nouvelle à son petit-ami. « Je suis enceinte de cinq mois, j’aurais vraiment préférer être grosse à cause des pots de Nutella que je n’ai pas arrêter de m’enfiler toutes ses semaines. » « Donc c’est ça. Putain ! On va pas pouvoir continuer comme ça, avec un enfant dans les pattes. Et mon alcool alors ? J’peut pas vivre sans et tu le sais très bien. » « Tu crois quoi, que je ne suis pas du même avis que toi ? » « J’en sais rien, mais il faut faire quelque chose. Je ne veux pas de cet enfant. » « Le médecin à compris que je me droguais, il va nous envoyer une assistante sociale dés l’accouchement pour le bien de notre enfant. Et on risque d’être emprisonnée. » « Tant mieux, je n‘irais pas en prison pour mon cas. Je ne me drogue pas. » C’est sur ces mots que la jeune femme et le jeune homme se mirent à faire la fête le soir même. La drogue ainsi que l’alcool que prenait cette femme pouvait nuire à la santé de l’enfant. Elle fut donc placé dans un hôpital durant les trois derniers mois de sa grossesse. C’est le regard vide, sans émotions particulière et sous les regards des médecins qu’elle ne broncha pas pour mettre l’enfant au monde quelques mois après. A savoir que vivre sans sa drogue fut la pire chose qu’elle ai connu. Et elle en veut beaucoup à Carmen, sois disant parce que c’est de sa faute si elle a dû arrêter de se droguer. Cette jeune femme n’a plus jamais revu sa fille après l’accouchement. Elle a simplement adresser quelques mots à sa nouvelle famille. « Prenez soin d’elle, car même si j’aurais fais une très mauvaise mère, je veux absolument qu’elle ai une vie de rêve. Ne faites pas les mêmes bêtises que moi. J’aimerais avoir des nouvelles tous les ans si c’est possible. » Et cela, sans que son petit-ami soit au courant. Quelques jours après l’accouchement, cette jeune mère quitta l’hôpital et retourna rapidement dans ses débauches. A la belle vie, quant à Carmen elle rejoins cette très grande famille comprenant de nombreux frères et sœurs avec qui elle s’entendit très bien dés le départ. L’argent fait son bonheur, même à deux ans elle pouvait déjà avoir l’Iphone, mais bon elle est encore trop jeune.
Carmen devient une vraie petite enfant sage, sa vie est un vraie compte de fée et on peut la voir souriante tous les jours. Elle peut vraiment être fière de ce qu’elle était. Ce n’était pas dans sa vraie famille qu’elle aurait été heureuse, sa se trouve au jours d’aujourd’hui elle serait peut-être même décédé. Vous savez, quand on a pas eu notre dose on devient tout de suite paranoïaque jusqu’à même oublier notre enfant. D’une part c’est vraiment bien qu’elle soit dans une vraie famille avec des gens extravagant, toujours souriant et surtout aucune disputes malgré les nombreux jeunes qui courent dans cette immense villa. Carmen devient très vite une enfant modèle, elle entre à l’école maternelle et grimpe très vite l’échelon en entrant en primaire quelques années après. Lire et écrire, ça elle sait. « Votre fille est vraiment fabuleuse, c’est la première de la classe. Ces notes sont vraiment mérité. » Une élève modèle, d’ailleurs elle c’est fait beaucoup d’ennemi suite à ça. La jalousie est un vilain défaut, elle s’est même battu pour la première fois à l’âge de dix ans parce qu’une peste de sa classe la insulté d’intello. « Je dois vous avouer que je suis très déçue du comportement de votre enfant. Elle ne doit pas connaître parfaitement les règles de l’école. » « C’est pas vrai, je connais tout par cœur, mais elle ma chercher ! » Cette histoire fut loin d’être terminer, en sortant de l’école elle n’a pas hésité à faire sa rebelle et à aller parler à cette fille. Il a suffit d’un coup de poing dans sa figure pour lui faire comprendre le message. Elle lui a même casser le nez, se qui cause des dommages et intérêt pour la famille Starzynski. Depuis, à l’école tout le monde la respecte aucun commentaire n’est fait à son sujet si ce n’est que dans son dos bien évidemment. Il est évident qu’il ne faut pas qu’elle entende toutes les remarques désagréable de ces gens et de certains de ses amies.

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deuxième chapitre;

L'ADOLESCENCE & LE DEBUT DANS UNE VIE D'ADULTE « Non, mais tu fais quoi là ? » « Bah je te prends des fringues pourquoi ? » « Tu m’a même pas demandé ! » « Et alors ? J’fais ce que je veux. Tu n’es pas ma sœur pour rien. » « Et j’peux savoir où tu va aller comme ça ? » « En boîte avec ma meilleure amie. » « Tu es folle. Tu n’y va pas. Avec ou sans moi ! » « Bah viens, ça ne me dérange pas. » Bon d’accord, sa sœur aime beaucoup faire du chantage quand sa parle de sortie en boîte de nuit. Car ça rime avec alcool, drogue et sexe bien sûr. Evidemment il était hors de question que notre Carmen se mette à picoler comme un trou et à fumer tout et n’importe quoi.
C’est donc à ses seize ans qu’elle fit sa première sortie en boîte de nuit avec sa grande-sœur (qui n‘est pas réellement sa grande-sœur). Du moins, elles ont le même âge, mais sa sœur est un tantinet plus vieille de quelques mois. Une première soirée et certainement la dernière. Car ce soir-là, il eu un décès sur la piste de danse allez savoir comment et pourquoi s’est arrivé, personne le sais. Une jeune fille de dix-neuf ans qui est passé par-dessus la rambarde surement à cause de la drogue ou bien de l’alcool. En tout cas, Carmen va très bien si ce n’est qu’elle vient de se prendre la première cuite de sa vie. Elle est un peu sur le cul. Sur le chemin du retour c’était facile à deviner. « Arrête-toi j’ai envie de vomir ! » « Tu me les casses Alex. Tu pouvais pas te tenir à carreau et éviter de boire merde ! » « Oh bah excuse moi, mais c’est ma première soirée en boîte. » La soirée c’est très bien terminé malgré tout, Carmen avait quand même laisser une trace d’elle sur la route. Bref, le soir même en rentrant chez elle. Du moins, vers les cinq heures du matin elle venait de repérer un garçon très loin. Un beau garçon avec une allure vraiment sportive. Il était en train de faire un jogging, quant à Carmen elle était un peu saoule. Elle n’avait pas décuité et c’était loin d’arrivé maintenant en tout cas. En sortant de la voiture, elle a suivit cet homme pour voir où il rentrait. Il habite à côté de chez elle, à deux pâté de chez elle. C’est de cette manière qu’elle a su qu’il fallait se jeter à l’eau et sortir avec ce garçon qui est vraiment mignon. Il est dans son lycée, super. On pouvait vraiment voir qu’elle en était heureuse. « Tu t’appelles comment ? » « Carmen et toi ? » « Célim, dis-voir tu ne serais pas ma voisine ? » « Si si, j’habite à deux pas de chez toi. » « Super, si tu veux ce soir tu m’attend devant le lycée et on rentrera ensemble ? » « Avec plaisir. » C’est en rougissant qu’elle le quitta pour se rendre à son cours. On pouvait vraiment voir qu’elle avait craquer pour lui, il est si mignon. C’est un athlète, un très grand sportif vu sa carrure. Carmen est tombé amoureuse de se garçon, elle en est raide dingue et savoir que toutes ses filles lui tournent autour lui fait tant de mal. Célim ne comprenait pas très bien la chose, d’ailleurs il s’en fichait complètement de Carmen. Enfin jusqu’à preuve du contraire. Il est évident qu’il ressentait également quelque chose pour elle, mais il ne le montrait pas. Trop fier de sa personnalité, surtout devant ses amies. « Qu’est-ce que tu faisais avec cet pétasse !? » « Rien, on discutait. Sa va Carmen ? Tu te sens bien ? » « Très bien même. T’inquiète pas pour moi. » « Pourquoi tu es jalouse comme ça ? » « Pour rien laisse tomber. » « Si, il y a quelque chose. » « Ah bon tu crois ? » « Dis-moi ce qui ne va pas. » « Ce qui ne va pas ? Alors, tu n’a vraiment rien compris. Je suis amoureuse de toi depuis le premier jour où tu m’a adresser la parole. Je t’aime putain, je t’aime et tu n’a rien vu ! J’me casse j’en ai marre. » « … » Sur ces mots, Célim ne savait même pas quoi faire. Il resta complètement subjugué par cette nouvelle. Il la regardait partir, elle pleurait toutes les larmes de son corps. Elle n’avait jamais ressenti de tel sentiments auparavant, tous les autres garçons n’avait aucune importance à ses yeux. Célim finit par la rattraper, car au fond de lui il savait que cette fille est différente de toutes les autres. « Alex ! » « Dégage, fou-moi la paix. Je n’ai plus rien à te dire. » « Arrête-toi, putain. Je t’aime Carmen, je t’aime aussi ! » « Pourquoi ne m’as-tu rien dis ? J’attendais comme une conne que tu me le dise, j’ai failli lâcher prise je croyais que tu t’en fichais de moi. » « Je ne m’en fiche pas, mais Alixe si je ne t’ai rien dit c’est parce que … je déménage dans deux semaines. » Ce fut un choc pour la jeune femme, ça faisait même pas deux mois qu’il est arrivé ici, qu’il part déjà. Ces dans ses bras qu’elle se mit à pleurer, elle avait mal au cœur de savoir qu’elle ne pourrait même pas profiter à fond de lui. Deux semaines c’est bien trop court. Finalement, deux jours avant son départ, Carmen et Célim décident de faire le grand pas. Elle tenait vraiment à le faire avec lui. « Tu as des préservatifs ? » « Non, mais j’ai pris la pilule. » Ils firent le premier pas et le lendemain, Célim quitte la Russie pour se rendre dans une autre ville. Son histoire d’amour avec ce garçon est loin d’être un compte de fée. Une historie qui lui as brisée le cœur, ils ont perdu beaucoup de temps et elle s’en veut énormément de lui avoir rien dit au sujet de ses sentiments. Il y a eu quelques messages, il est même venu deux trois fois la revoir, mais il fut à un certain moment où il a couper les ponts. Carmen continue ses sorties en boîte, finit même par boire un peu plus souvent et goûte même à la drogue. Mais elle arrêtera très vite lorsqu’un de ses grand-frères comprit ce qu’il lui arrivait. Durant une soirée chez une de ses amies, Carmen tente l’expérience d’un rapport avec une femme, elle avait but et son amie aussi. Bref, ce n’est pas pour autant qu’ils n’ont rien tenter. Carmen s’en veut énormément, car le rapport n’était pas aussi fantastique qu’elle l’aurait imaginé. Elle est très gêner lorsqu’elle la croise dans la rue, c’est leur secret à toutes les deux.
Enfin bref, après tout ces mauvais moments Carmen passe enfin le code et le permis à la suite et l’obtient à ses dix-huit ans ainsi qu‘une voiture qu‘un de ses grands-frères lui as gentiment offert. Et c’est à ses dix-neuf ans que sa vie changea une nouvelle fois. Tout d’abord elle rencontre un autre homme avec qui elle se rapproche de plus en plus au fil du temps. Un ami, un plan cul et ensuite une relation sérieuse. Voilà maintenant un an qu’ils sont ensembles. Seulement elle lui annonce qu’elle quitte la Russie pour aller vivre à Montsimpa. Il décide de la suivre pour le bien de son couple.

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troisième chapitre ;

MARIAGE, DENI DE GROSESSE, DIVORCE Finalement, qui l’aurait cru ? Qui aurait cru qu’elle tomberait une seconde fois amoureuse d’un homme ? Pour elle, l’amour n’avait plus aucune signification. Depuis le départ de Célim, elle n’avait qu’une envie profiter à fond de sa vie et ne pas se laisser embarquer dans des histoires d’amour incompréhensible. Et pourtant … il changea ses plan. Ils se rencontrent dans un café, elle devait se rendre à un rendez-vous pour le travaille juste après. Cela s’est passé lorsqu’elle habitait encore en Russie. Il est super gentil, très romantique et séducteur dans l’âme. Il a vraiment toutes les qualités pour plaire. Elle eu le coup de foudre instantanément. Au final, ils se sont vu et revu plusieurs fois jusqu’à ce qu’ils finissent par faire de leur relation un plan cul. Evidemment, ce n’était pas ce qu’elle voulait et lui avoua ses sentiments. Il accepta une relation sérieuse et c’est ainsi que tout commença. Un an après leur relation, elle lui annonce son départ précipité pour Montsimpa dans le simple but de réussir sa carrière professionnel. Pour le bien de leur couple et surtout pour les nombreux sentiments qui les tiennent, il décide de la suivre là-bas. L’amour fou c’était vraiment le cas, même si Carmen n’a pas oublier son grand amour du passé. En venant vivre à Montsimpa, elle n’aurait pas penser que sa vie prendrait un tournant tragique. Deux ans de relations commune avec son amoureux. « Carmen, il faut que je te parles ? » « Quoi ? J’ai fais un truc mal ? Tu veux me quitter ? Tu m’as trompé ? Tu .. » « Non, rien de tout ça princesse. Je veux seulement que tu devienne ma femme. » « Tu .. Tu es en train de me demander en mariage ? » « Oui, veux-tu te marier avec moi ? » « Oui … » sur ces mots, elle se jeta dans ses bras et pleura des larmes de joies. Sa vie devenait vraiment attrayante et ça lui plaisait. Elle a la vie dont elle rêvait et c’est tout ce qui l’importait à l’heure actuelle. L’organisation de son mariage lui prit tout son temps, elle mit quelques mois pour tout finaliser avec l’aide de ses sœurs, de ses parents, de ses frères, de ses tantes et de ses oncles, bref de toute la famille quoi. Il aura fallut de neuf mois pour que les préparations du mariage se termine. Carmen fut la femme la plus heureuse et n’hésite pas à exprimer sa joie à sa famille. Féliciter par tout le monde, l’événement se produit deux jours après la fin de la préparation. « C’est dans la joie et la bonne humeur que nous pouvons officialiser l’engagement de Carmen Alixe Starzynski et de James Matthew Logan. » Un américain, oui. Il sont vraiment les plus heureux, seulement leur bonheur sera gâché trois mois après leur engagement. « Je suis enceinte James. » « C’est vrai ? » « Oui » « C’est magnifique ! » Il était heureux certes, mais il n’aurait jamais penser que les deux mois qui s’en suivent aller lui faire perdre toute sa vie déjà construite. « J’ai fais un déni de grossesse, je suis désolé. » « De quoi ? » « Tu as très bien entendu. Je ne pourrais pas t’apporter ce que tu désires. Je ne suis pas faite pour toi. » « Ne dis pas ça Carmen. Je veux rester avec toi, on surmontera tout. » De cette manière, Carmen n’en pouvait plus. C’est avec un petit sourire qu’elle accepta de se faire aider par son mari. Seulement, depuis le déni de grossesse il est évident que plus rien n’allait entre eux. Alixe décide de divorcer pour le bien de son couple. De plus, elle a changer depuis. Devenu une alcoolique, elle avait besoin de boire pour se sentir mieux. Son mari déménage un peu plus loin de chez elle et lui rend visite tous les jours et n’hésite pas à l’aider pour qu’elle arrête de boire. Chose qu’il réussi à faire un an après.

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quatrième chapitre ;

AU JOUR D'AUJOURD'HUI Carmen a finit par décrocher de l’alcool grâce à son ex-mari, ceci dit ce n’est pas pour autant qu’elle se remettra avec lui. Elle est bien décidé à oublier tout son passé. Malgré tout, elle décide de rester à Montsimpa, elle obtient même un emploi en tant que rédactrice en chef d’un grand magazine de mode après avoir obtenue de nombreux diplôme. Un diplôme littéraire, un diplôme des langues vivantes - elle parle donc le français, l’anglais, l’espagnole et l’italien -. Actuellement Carmen est enceinte de quelques jours et elle n’a encore aucune idée du choix qu’elle va faire tout simplement parce que l’homme avec qui elle a coucher, n’est qu’un homme qu’elle a trouver dans une boite de nuit. Avorter ou le garder ? Tel est la question. Sa dernière relation n’a pas durée, car son petit-ami la frappait pour n’importe quel raison, parfois même aucune. Récemment, elle a rencontré un policier lors de son accident de voiture. Elle est tombé sous son charme, mais elle n’a aucune envie de lui dire quoi que se soit même si elle fait tout pour qu’il l’aperçoive. Elle ne veut plus s’engager dans une relation amoureuse, pour elle s’est terminé en plus de ça, elle a d’autres chat à fouetter en ce moment, Carmen vient tout juste d’enterrer sa petite sœur de dix-sept ans. Celle-ci a un peu trop bu lors d’une soirée arrosée et elle est décédé suite à un coma éthylique.

Meerci Julia

Bienvenu sur PWL!
Et, ton titre vient bien d'une VDM? *___*

Giulia, oui oui il vient bien de là (a).
Merci à tous les deux

Bienvenue parmi nous Bonne chance pour la suite de te fiche et puis, bon amusement

Meeeeeeerci

Merci ♥

Merci à tous ♥

Merci à tous les deux (a)