Une soirée en famille. Voila le programme et je l'avoue, je stresse. Je ne sais pas comment cela est possible mais pourtant savoir que Blaine et Bonnie venait dormir chez moi me faisait peur. J'avais simplement peur que la petite ne trouve pas ces repères ou aussi que Blaine ne ce sente pas chez elle. Finissant alors rapidement de ranger mon bordel je regardais l'heure avant d'entendre sonner. Prenant une inspiration je venais ouvrir la porte avant d’apercevoir mes deux perles. Embrassant Blaine je venais alors embrassais le front de la petite avant de venir dire. « Salut les filles. Rentrez, faites comme chez vous. » Venant alors laisser la place devant l'entrée je venais les suivre et fermer la porte. Laissant Blaine poser la petite je venais rapidement l'attraper par la taille et l'embrasser dans le cou. « Hum tu ma manqué toi. » Je souriais doucement.

affronter les pires épreuves pour s'aimer encore On essaie de se dire que la réalité vaut mieux que le rêve. On se persuade qu’il vaut mieux ne pas rêver du tout. Les plus solides d’entre nous, les déterminés s’accrochent à leurs rêves. Il arrive aussi qu’on se retrouve en face d’un rêve tout neuf qu’on avait jamais envisagé. Un jour on se réveille, et contre toute attente, l’espoir renaît, et avec un peu de chance on se rend compte, en affrontant les événements, en affrontant la vie, que le véritable rêve, c’est d’être encore capable de rêver. •• b. dexter river-field & blaine fawkes

Aujourd'hui, la pluie était violente. De plus en plus violente. En réalité, j'avais une peur monstrueuse. J'étais l'une de ces femmes qui flippait rien qu'à l'idée d'entendre le vent claquer sur les volets d'une maison, imaginez à quel point j'étais rassurée. Je ne me voyais absolument pas conduire sous cette pluie battante mais pourtant il le fallait, j'avais terriblement envie de passer la nuit chez Dexter. Il me manquait tellement. Il accepta rapidement ma demande de plus. J'observais dehors si une accalmie se produisait pour sortir ma fille en toute tranquillité, mais ce n'était pas le cas. Je prenais mon courage à deux mains... Quelques minutes plus tard, j'arrivais enfin chez Dexter... Trempée jusqu'aux os. Bonnie l'était aussi. Je rentrais rapidement à l'intérieur, pour me mettre à l'abri. De l'eau de pluie dégoulinait sur mes cheveux lisses. Bonnie, elle, ne faisait pas de bruit et je trouvais d'ailleurs cela plutôt inquiétant. Je fis abstraction de cela pendant quelques secondes, histoire de retrouver mon amoureux normalement. « Tu m'as manqué aussi... » disais-je, en lui rendant son baiser. Je reculais pour ne pas trop le mouiller. « Comme tu vois, il fait super beau dehors. » maugréais-je. J'allais voir ma petite princesse. Elle devait avoir super froid, il fallait immédiatement que je l'a change pour la mettre au lit. « Tu viens me filer un coup de main pour la changer ? J'ai peur qu'elle tombe malade avec cette pluie. » Je n'étais vraiment pas, du tout rassurée.

Les orages n'ont rien de pationnant, de plus surtout quand celui ci fait des dégats. Je n'aimais pas cela mais j'avais envie d'oublier ce temps totalement pourris pour passer une soirée avec les deux femmes de ma vie. Je n'aurais jamais pensais un jour dire cela mais ma famille, oui celle que j'ai maintenant est tout pour moi. Je me sens vraiment heureux et moi qui pensait que ce n'était pas pour moi je me suis bien planté. Venant alors rapidement caliner Blaine je vis celle ci trempé mais cela me gêné pas. L'écoutant alors je souriais avant d'hochait la tête. « Pas de soucis. Vient on va dans la chambre je vais t'apporter une serviette. » Embrassant son front je venais attraper la petite puce et l'entrainait dans la chambre suivit de Blaine. La posant sur le lit je venais laisser Blaine et lui donner une serviette. « Tiens et toi aussi tu es trempée. Je a du change ou non ? Car je te file des trucs a moi si tu veux. » J'ouvrais l'armoire en la regardant tendrement.

affronter les pires épreuves pour s'aimer encore On essaie de se dire que la réalité vaut mieux que le rêve. On se persuade qu’il vaut mieux ne pas rêver du tout. Les plus solides d’entre nous, les déterminés s’accrochent à leurs rêves. Il arrive aussi qu’on se retrouve en face d’un rêve tout neuf qu’on avait jamais envisagé. Un jour on se réveille, et contre toute attente, l’espoir renaît, et avec un peu de chance on se rend compte, en affrontant les événements, en affrontant la vie, que le véritable rêve, c’est d’être encore capable de rêver. •• b. dexter river-field & blaine fawkes

Je laissais mon petit ami prendre ma fille pour l'amener dans sa chambre qui se trouvait à l'étage, que je connaissais bien maintenant. J'avais même pris l'initiative d'acheter un berceau pour y entreposer ma fille lorsque je venais chez Dexter. Un nouvel éclair ne me mettait absolument pas en confiance. Il ne manquait plus que Bonnie en train de pleurer pour me faire grimper la tension. Je posais le sac à langer sur le lit pour commencer à attraper des vêtements secs pour mon petit trésor. La pauvre, elle ne disait rien. Quel ange. Je sortais un pantalon chaud, ainsi qu'un polo histoire que ma fille ne tremble pas. Heureusement que le berceau était équipé d'une belle couverture pour la chauffer. De quoi me rassurer. Je tendais les vêtements propres à Dexter pour qu'il puisse changer Bonnie. Il avait l'habitude maintenant, même si son côté maladroit me touchait toujours autant comme aux premiers jours. J'attrapais ensuite la serviette, pour me la passer sur le visage. Je commençais à trembler. Je devais absolument prendre des vêtements de rechange dans le sac. « Non t'en fais pas, j'ai ce qu'il faut. » disais-je, tout en posant la serviette. J'ouvrais mon sac. Mes vêtements étaient trempés. Je penchais la tête en arrière, pour exprimer mon agacement. « J'ai rien dis. Ils sont trempés... » disais-je, en soupirant. « Si tu as une vieille chemise et un vieux jean qui traîne... » Je rougissais. Un nouvel éclair frappait à nouveau, ils étaient de plus en plus fréquents. Je sursautais.

La soirée n'était pas vraiment sublime pour le moment car mes deux petites amours était trempés jusqu'au bout des pieds avec ce temps vraiment médiocre. Je n'aimais pas les voire ainsi et donc rapidement je venais m'occuper de Bonnie avant de proposer à Blaine de ce changer également. La petite ce sentais rapidement mieux et la couvrant alors en faisant en sorte qu'elle n'est pas froid je venais me tournais vers Blaine qui soupirait en voyant ces affaires de rechange mouillé. D'un sourire alors rassurant je venais poser une main sur le bas de son dos, Bonnie sur mon bras gauche et embrassant le front de ma petite amie je venais lui répondre. « Regarde dans l'armoire je dois avoir ça. » La laissant faire je venais entendre le vent ce mettre a souffler et cela ne présager rien de bon pour la nuit. Ne voulant donc inquiéter personne je garder Bonnie dans les bras en attendant que Blaine ce change et gazouiller avec la petite. Je devenais de plus en plus gaga. Voyant alors Blaine revenir je me mis a rire. « Tu es très sexy dans ces vêtement mon coeur. » Je la taquiner bien sur mais cela n'empêche en rien a sa silhouette tout aussi sexy.

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J’observais du coin de l’œil la façon dont Dexter changeait Bonnie. On aurait presque dit un professionnel de la couche. J’étais complètement attendrie, en train de fondre comme un caramel au soleil devant ce nouveau papa plein de promesses d’avenir. Je me laissais embrasser sur le front avant de jeter un coup d’œil à son armoire. J’attrapais un vieux tee-shirt noir ainsi qu’un jean bleu qui m’allait deux fois trop grand. La soirée promettait d’être longue ainsi. En me retournant, je voyais Dexter mort de rire. Je grimaçais. « Ne te moque pas ! » Bien évidemment, je savais qu’il me taquinait sinon j’aurai bien vite pris la mouche. Le jean commençait légèrement à descendre. Si je devais en plus de ça me remonter le jean toutes les trente secondes je n’étais pas sortie. « Je pense qu’une ceinture sera plus appropriée. » Je riais. Je me retournais à nouveau vers l’armoire, cherchant le précieux sésame qui allait tenir mon pantalon. Après avoir mis la ceinture, je prenais Bonnie pour la placer dans le berceau. « Laissons là dormir, allons en bas. » disais-je. J’embrassais Bonnie sur le front, avant d’embrasser mon petit ami tendrement.

Ce temps risquait de perturber pas mal de choses. J'esperais simplement qu'il n'y aurait aucun dégât. M'occupant de Bonnie je venais regardais Blaine qui chercher des vêtements dans mon armoire. Malheureusement le temps avait réussit a les amener trempés chez moi. Cela me déplaisait pas mais c'était très mal a l'aise pour les deux femmes. Riant alors levais les mains en l'air avec un air innocent lorsqu'elle vient a me dire de ne pas me moquer. Voyant le jeans glissait elle vient a me dire qu'elle devrait surement mettre une ceinture. Souriant dans mes moustaches je berçais la petite et vit qu'elle s’endormait doucement. Laissant Blaine revenir vers nous je lui donnais Bonnie et la laissa la placer dans son berceau et sortis de la chambre en attendant ma chère et tendre. « Après toi. » Laissant Blaine passais je refermais la porte derrière moi et arrivait au rez de chaussée je venais entrelacer mes doigts avec les siens pour me dirigeais vers le salon. « Que puis je te proposer en boisson ? » Je souriais doucement en l'attirant un peu plus vers moi. Oui, elle ma manquait.

affronter les pires épreuves pour s'aimer encore On essaie de se dire que la réalité vaut mieux que le rêve. On se persuade qu’il vaut mieux ne pas rêver du tout. Les plus solides d’entre nous, les déterminés s’accrochent à leurs rêves. Il arrive aussi qu’on se retrouve en face d’un rêve tout neuf qu’on avait jamais envisagé. Un jour on se réveille, et contre toute attente, l’espoir renaît, et avec un peu de chance on se rend compte, en affrontant les événements, en affrontant la vie, que le véritable rêve, c’est d’être encore capable de rêver. •• b. dexter river-field & blaine fawkes

Je passais devant Dexter, enfin apaisée d’avoir des vêtements propres sur moi. Avec une pluie torrentielle comme ça, j’étais passée à côté d’un énorme rhume si j’étais restée trempée. C’était simplement horrible, cette tempête. J’espérais simplement qu’elle allait rapidement se calmer. Je n’étais pas une grande fanatique des orages, ni même de la pluie tout court. J’arrivais dans le salon en compagnie de mon petit ami. Je m’effondrais sur le canapé, en lâchant un soupir. Dexter me proposait une boisson. Ce n’était pas de refus, ça non. Et comme il me connaissait bien il s’attendait fortement à ma réponse. « Un café, serré. Comme d’habitude. » disais-je, en souriant. Je posais mon coude sur le haut du canapé en observant Dexter s’atteler devant la cafetière. Plus les jours passaient, plus je me disais qu’il fallait vivre ensemble. Je me voyais parfaitement au manoir avec lui à mes côtés. Il était déjà un père formidable pour Bonnie, un petit ami bien plus que parfait. J’avais l’impression de tout avoir à ses côtés et bien plus que ce qu’une femme demandait. Je sursautais une nouvelle fois en entendant cette fois-ci, un éclair beaucoup plus gros. La lumière vacillait légèrement. Une coupure de courant ? Oh non non non, tout mais pas ça.