DANOAM ∆ ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞
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DANOAM ∆ ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞

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MessageSujet: DANOAM ∆ ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞ DANOAM ∆  ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞	  EmptyLun 16 Juil - 20:14

☇ DANAÉ & NOAM
Ceci est l’histoire d’un garçon qui rencontre une fille. Mais d’emblée, il faut que vous le sachiez, ce n’est pas une histoire d’amour.

DANOAM ∆  ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞	  Tumblr_ln233eAUL21qe8zsho1_500
Elle était assise sur le tabouret qui faisait face à sa coiffeuse, elle enfilait ses escarpins noir qui se mariaient très bien avec sa tenue assortie de la même couleur. Danaé portait une robe qui épousait parfaitement les courbes de son corps et qui était plutôt courte à vue d'oeil. Une tenue qui paraissait inconfortable pour aller danser, mais qui n'avait pas l'air de déranger la jeune femme. Elle aimait ce genre de tenue sachant d'avance qu'elle ferait tourner quelques têtes bien qu'elle s'en contrefiche royalement. Une fois de plus, elle s'était disputé avec son "petit copain", c'est surement pour ça qu'elle ne l'avait jamais présenté à ses parents parce qu'elle ne savait jamais quand ils seraient stable pour de bon et dieu seul savait à quel point elle ferait absolument tout ce qui est en son pouvoir pour qu'ils vivent paisiblement comme des gens normaux. Actuellement ce n'était pas son couple qui allait gâcher une soirée qui promettait d'être mémorable. Elle devait rejoindre quelqu'un de particulier qui lui était cher comme la prunelle de ses yeux. Noam Beckett était en ville pour jouer un mauvais tour et ce n'était pas Danaé qui allait s'en plaindre. La jeune femme gardait toujours contact par n'importe quel moyen qui soit avec le beau blondinet, ils sont très fusionnel et il ne se passe pas un seul jour sans qu'ils ne prennent nouvel l'un de l'autre ; ce qui parfois attisai la jalousie de sa meilleure amie et les foudres d'Adriàn lorsqu'il est décidé à faire la tête pour un tout et un rien. En même temps, il y avait de quoi être jaloux. Noam et Danaé sont sortis ensemble pendant quelques mois, c'est un garçon plutôt attirant et ils sont très tactiles l'un envers l'autre. En autre, il ne se passe pas un seul moment où ils ne sont pas en train de se faire des câlins, des papouilles et j'en passe. C'était plus fort qu'eux ils ne pouvaient pas s'empêcher de se toucher par n'importe quel moyen qui soit, mais bien sur rien il y avait une certaine limite qui était respecté. Une relation fraternel qui était ambiguë sur les bords qu'ils vivent plutôt bien. Danaé n'a pas la chance de le voir aussi souvent qu'avant et on peut certainement mettre tout ça sur le manque de la présence de celui qu'elle considère comme le petit frère qu'elle n'a jamais eu. Surtout que ces temps-ci comparé à d'habitude, ils n'avaient pas vraiment eu le temps de se parler à cause de leurs boulots respectifs. Danaé ne compte pas pleurer sur son sort, mais plutôt de profiter de l'instant présent. Ils s'étaient donné rendez-vous au Verseau la boite de nuit la plus réputé de Bridgeport, un bon moyen de décompressé gentiment. Elle y allait généralement avec Alice qui lui faisait accédé au salon VIP lorsqu'elle était de bonne humeur où Danaé adorait observer les célébrités qui se laissait aller avec les mauvaises personnes. Elle était très bon public lorsqu'il s'agissait de découvrir en avant première, le potin qui fera la une des journaux de demain. Noam était une célébrité, mais ce n'était pas pour cela qu'elle l'entraînait avec elle las-bas, jamais au grand jamais elle ne se servirait de lui pour son travail. Bref, la jeune femme mis une dernière touche de rouge à lèvre, jeta un dernier coup d'oeil au miroir qui se trouvait dans l'entré puis elle partie en direction du club le plus déjanté du coin. Ils s'étaient donné rendez-vous devant l'entré, afin de ne pas avoir à se chercher à l'intérieur. « Alors bel apollon, on traîne tout seul après le couvre feu ? » dit-elle d'un air taquin, en avançant vers lui tout en affichant un grand sourire qu'elle ne pouvait canaliser. Sans perdre une seule seconde, elle le pris dans ses bras en le serrant bien fort contre elle, son coeur battait à toute vitesse, Danaé était toujours aussi heureuse de voir son petit Noam. « On file à l'intérieur ?! j'ai hâte que tu me raconte tout ce qu'il faut que je sache sur la vie passionnante de Noam Beckett. » dit-elle en se détachant de son étreinte, d’instinct elle lui pris la main et sans même que le videur ne leur dise quoi que ce soit, ils pénètrent à l'intérieur de la boite de nuit prêt à passer une soirée de folie.




Dernière édition par Danaé C. M. Hawthorne le Jeu 19 Juil - 12:06, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: DANOAM ∆ ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞ DANOAM ∆  ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞	  EmptyMar 17 Juil - 0:24

Foutre le bordel là où il passait, c'était inné chez Noam, ça faisait parti de lui, de son caractère comme de sa personnalité. C'était sa marque de fabrique, sa façon de laisser sa trace dans ce monde de fous. Et pourtant, alors qu'il avait rendez-vous avec Danaé dans une boite branchée de Bridgeport, (lieu où il pourrait embêter le monde), il restait là, en caleçon, devant sa penderie l'air complètement à côté de la plaque et blasée. Il était habitué à s'habiller exclusivement de bermuda et de tong, non pas pour embêter son manager mais plus parce qu'il aimait ce style vestimentaire. Seulement, Le Verseau exigeait une tenue un peu plus correct que cela. C'est ainsi qu'il se retrouva appuyé contre la porte du Verseau, en costard cravate, bien que sa chemise blanche soit froissée et sa cravate reposait déjà négligemment autour de son cou. C'était volontaire, c'était son style. Ainsi sa nonchalance et son assurance étaient visible à l'œil nu. Son regard glissait d'une silhouette à une autre, un sourire narquois au coin des lèvres, alors qu'il patientait et attendait Danaé. Il aimait se persuader que c'était juste une soirée anodine entre amis, et pourtant dès qu'il la retrouvait, ils ne pouvaient s'empêcher de retrouver leurs vieilles habitudes de vieux couple. Noam faisait tous les efforts du monde pour se conduire en simple ami, juste comme le bon pote qui appelle tous les jours pour prendre des nouvelles. Pourtant, dès qu'il posait ses yeux sur la jolie blonde, il se sentait irrémédiablement attiré vers elle. Il détestait l'emprise qu'elle avait sur lui, mais dans le fond, il s'y était habitué. Il faisait avec. Dehors il patienta encore quelques minutes avant de voir Danaé débarquer au coin de la rue. Depuis le début de la soirée il avait espérait qu'elle vienne seule, et il ne cacha pas sa joie lorsqu'il la vit arriver sans son petit ami. « Alors bel apollon, on traîne tout seul après le couvre feu ? » lui lança-t-elle alors que son regard déviait dangereusement sur sa tenue. L'admirant de haut en bas, un sourire conquit collé au visage. Il leva les yeux au ciel lorsqu'il vit sa robe trop courte. A ses yeux, elle n'avait pas besoin de s'habiller ainsi pour se mettre en avant. Les regards se tournaient incontestablement tous vers elle d'ordinaire, il savait qu'elle serait convoitée ce soir, et ça l'agaçait. Si Danaé n'en avait pas conscience, Noam le remarquait très bien. Ses jambes dénudées et des courbes généreuses, Danaé était parfaite. L'écrivain vint l'accueillir avec son éternel sourire d'imbécile heureux et referma son étreinte autour de son corps lorsqu'elle le prit dans ses bras. « Chut, faut pas le dire, je suis passé par la fenêtre pour te rejoindre. » Il chuchota ses quelques mots à son oreille avant de se retirer de son étreinte tandis qu'elle lui réclamait avidement des nouvelles sur sa vie trépidante. Il haussa un sourcil, sceptique. « C'est pour un article ? » Il savait que non, mais sa méfiance restait toujours en alerte lorsqu'il côtoyait des journalistes. Amis ou non. Quand elle glissa sa main dans la sienne, il enlaça ses doigts aux siens, bouscula la foule, et entraina sa complice à l'intérieur. Si habituellement il ne profitait pas de son statut de célébrité, ici, dans ce genre de club branché, il aimait mettre en avant sa notoriété et profitait des privilèges que lui offrait son étiquette. « Où est ton Ken ? Il a pas voulu t'accompagner ? » Noam s'était habitué à la présence du dit petit-ami de Danaé, mais il ne cachait pas le fait qu'il n'était pas devenu son meilleur pote. Il invita la jolie blonde à entrer dans l'ascenseur qui menait au toit du Verseau et s'adossa à l'une des parois de l'ascenseur alors qu'il dévorait la jolie blonde du regard. Elle le considérait comme le petit-frère qu'elle n'avait jamais eu, lui avait plus de mal à la voir dans le rôle de la grande sœur parfois. Lorsque les portes de l'ascenseur s'ouvrirent il offrit son bras à Danaé et gentiment il souffla : « Mademoiselle. »
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MessageSujet: Re: DANOAM ∆ ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞ DANOAM ∆  ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞	  EmptyMer 18 Juil - 0:52

« Chut, faut pas le dire, je suis passé par la fenêtre pour te rejoindre. » lui chuchota t-il à l'oreille tandis qu'ils se séparèrent de leur étreinte. Elle ne put s'empêcher de lâcher un rire enfantin, c'était ce qu'ils faisaient autrefois lorsqu'ils vivaient tous les deux dans le même quartier à la Dawson et Joey en quelque sorte. Lorsqu'elle a déménagé pour Bridgeport, il a fallut qu'elle s'habitue à ne pas voir débarquer le jeune homme par la fenêtre de sa chambre. Un manque qu'elle n'a jamais su combler car parfois elle espère vraiment qu'il vienne l'a rejoindre même si ce n'est pour quelques minutes. Malheureusement habitant dans un immeuble de dix étages au moins, elle a du accepter que de toute évidence c'était impossible que ce genre de chose lui arrive. Parfois, elle regrettait de s'être éloigner autant de sa ville d'origine où elle avait laissé derrière elle bon nombre de souvenirs. Lorsqu'elle lui quémanda subtilement des informations sur sa glorieuse vie, le blondinet ne pu s'empêcher d'hausser sceptiquement son sourcil et de lui demander si c'était pour un des articles de la jeune femme. La demoiselle ne put s'empêcher de lui donner un coup dans le bras qui voulait dire "tu te fous de moi ?", comme si elle allait mélanger boulot et Noam dans un même chaudron. « Comment oses-tu douter de moi Beckett, il n'est pas question de travail là, je te le promet. Sinon je me serais habillé en conséquence. » dit-elle avec une pointe de sarcasme, car si elle aurait voulu le piéger pour avoir ce qu'elle voulait lui même le savait qu'elle aurait sortie ce genre de tenue pour en arriver à ses fins. D'ailleurs elle avait sentit un peu plus tôt, le regard de Noam se poser sur elle ou plutôt sur sa tenue. Elle savait qu'elle avait choisit la bonne même si d'habitude elle en adoptait des plus sobres, cela faisait du bien de temps à autre de se sentir désiré surtout après une rupture. Ce qui était bien c'est qu'elle ne faisait pas vulgaire, mais plus provocatrice qu'autre chose. Danaé se laissa entraîner à l'intérieur par son ami, elle devait l'avouer sa notoriété apportait bien des avantages. « Où est ton Ken ? Il a pas voulu t'accompagner ? » Il n'avait pas mis longtemps pour remarquer l'absence de son compagnon, en même temps lorsqu'il n'était pas accroché à son bras généralement ce n'était pas bon signe. Adriàn était très jaloux et possessif, autant que Danaé l'était. Lorsqu'elle avait rendez-vous avec la gente masculine, il aimait bien montrer qu'il existait et qu'elle n'était pas libre. Leur relation était très tumultueuse et nécessitait beaucoup d'énergie pour faire face à chaque rupture. « Nope, il a pas voulu de moi ce soir parce qu'on a rompu. Encore. » C'était assez brutale comme annonce, mais c'était devenu assez courant bien que ces derniers temps ils s'étaient un peu près stabilisé. Pas de larmes qui montèrent aux yeux, pas d'accablement, elle ne voulait pas s’apitoyer sur son sort. Danaé savait que Noam l'appréciait que très modérément et qu'il faisait des efforts seulement pour elle. Elle ne lui en voulait pas même sa meilleure amie ne le portait pas dans son coeur, ce qui parfois l'a faisait douté sur ses sentiments. Ils avancèrent jusqu'à l’ascenseur qui menait au toit du Verseau, au passage c'était l'endroit qu'elle préférait dans le club, où il l'invita à entrer. Elle passa en première et s'adossa face à lui contre l'une des parois de l'ascenseur. Danaé ne put s'empêcher une nouvelle fois de remarquer son regard se poser sur elle, c'était difficile dans ces moments-là de se dire qu'elle le considérait simplement comme son "petit frère". Après tout il n'était pas "petit" si l'on enlevait leur minuscule différence d'âge et puis il était très attirant vraiment très attirant et ce soir, encore plus. D'ailleurs elle aimait la tenue qu'il avait opté ça lui donnait beaucoup de charme, on pouvait plutôt dire que ça lui en rajoutait à ce qu'il possédait déjà. Noam était tout à fait son genre et ce n'est pas pour rien si dans le passé ils avaient tenté quelque chose ensemble. Elle reprit ses esprits lorsque les portes de l’ascenseur s'ouvrirent, il lui offrit son bras auquel elle s'accrocha sans se faire attendre. « Mademoiselle. » « Monsieur. » dit-elle d'un ton plutôt joyeux et d'un air très complice. Ils avancèrent d'un même pas, ils ne passèrent pas inaperçu et certaines personnes commençaient déjà à parler sur eux. De toute évidence, ils ne passaient pas pour des amis, mais plus pour des amants. Au fond c'était plutôt amusant comme situation. Un serveur passa auprès d'eux et leur offrit gentiment une coupe de champagne que ni l'un ni l'autre ne refusa. Danaé fit tinter sa coupe contre celui de Noam puis en continuant de le vouvoyer elle lui annonça : « A votre prochain livre Monsieur Beckett puisse t-il être aussi drôle que les précédents. » elle ne put s'empêcher de lâcher un petit rire nerveux puis pris une gorgé. Elle observa une nouvelle fois pendant quelques secondes les personnes qui étaient autour d'eux, ils ne semblaient pas vouloir les lâcher puis glissa à son oreille : « Je te pari qu'ils pensent qu'on est en couple. Plutôt amusant n'es-ce pas ? » dit-elle d'un air malicieux, Danaé avait quelque chose derrière la tête pour pimenter sa soirée, il y en avait du monde ce soir et cela risquait d'être plutôt attrayant. elle poursuivit alors : « On pourrait en jouer, je veux dire jouer les faux couples. » Danaé jouait avec le feu et disons qu'elle était plutôt d'humeur espiègle. Elle n'oubliait pas Adriàn pour autant, c'était juste histoire de s'amuser un peu, en quelque sorte se changer les idées. Elle était imprévisible, spontanée, mais surtout curieuse de ce que ça donnerait. Sa rupture semblait avoir laissé quelques séquelles et comme elle ne savait pas gérer ses émotions disons que c'était un bon moyen pour elle de décompresser gentiment. Son visage était alors à quelques centimètres de celui de Noam, elle le regardait dans le fond de ses yeux bleus puis ajouta : « Cap ? Sauf si tu as honte de t'afficher dans les tabloïds aux côtés de la journaliste la plus détestable qui soit. » Qu'es-ce qu'il avait de plus drôle que de jouer les faux couples avec quelqu'un que l'on considère comme son frère ? Certainement rien si ce n'est les conséquences.


Dernière édition par Danaé C. M. Hawthorne le Jeu 19 Juil - 12:09, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: DANOAM ∆ ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞ DANOAM ∆  ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞	  EmptyMer 18 Juil - 12:47

Il ne savait pas ce qu'il faisait réellement ici, à Bridgeport, au Verseau, et avec Danaé Hawthorne en plus. Si son assistante avait eu vent de cette information, elle l'aurait massacré sur place. Noam ne pu s'empêcher de sourire à la pensée de son assistante. Tout comme Danaé, elles étaient les deux et uniques femmes à réussir à lui faire tourner la tête et à en faire ce qu'elles voulaient. Le point positif c'est qu'elles ignoraient quels effets elles engendraient sur Noam lorsqu'elles se trouvaient à ses côtés. Une chance pour lui cela dit. C'est seulement lorsque Danaé s'offusqua de l'accusation de l'écrivain que celui-ci sortit de ses pensées. Il haussa simplement les épaules innocemment. C'est vrai que ce n'était pas très glorieux de douter d'une amie comme Danaé. Mais au fils du temps, Noam avait réussi à se méfier de tout et tout le monde. « J'avais oublié que je profitais seulement d'un côté de l'iceberg moi ! Le meilleur côté cela dit. » Malheureuse comparaison, blague idiote, du Noam Beckett tout craché. Lui il ne voyait que le bon côté de la journaliste. La douce, pétillante, et gentille Danaé. Il n'avait jamais eu à se frotter à la détestable journaliste, et d'un côté, il se sentait plutôt soulagé de cela. Il n'osa pas imaginer de quelle tenue elle pouvait bien parler, lui, il se disait que n'importe quels vêtements elle viendrait à porter, elle resterait toujours autant désirable. Il la revoyait encore entrain de porter ses propres vêtements de garçon, quand elle débarquait avec un t-shirt à lui, dix fois trop grand pour elle. Juste ça, et elle était magnifique. Son regard dévia sur les parois de l'ascenseur, jugeant cela plus intelligent de fixer autre chose que son ex. Il fut néanmoins bêtement soulagé d'apprendre que Adriàn n'avait pas souhaité accompagner Danaé et qu'il ne les rejoindrait donc pas au court de la soirée. L'écrivain se serait mal vu tenir la chandelle entre les deux amoureux, même si apparemment ils avaient encore rompu, il savait qu'ils ne tarderaient pas à se rabibocher. Et afin de montrer tout l'intérêt qu'il portait à la jolie blonde, il lâcha : « Je suis célibataire si ça t'intéresse. » Il lui adressa un regard entendu avant de s'approcher d'elle, malicieux. « Puis on sait toi comme moi que nous deux ça fonctionne plutôt bien. » L'envie d'éclater de rire l'envahit et lorsque les portes de l'ascenseur s'ouvrirent, il avoua simplement : « Ça va je plaisante. » C'est bras dessus, bras dessous alors qu'ils sortirent de l'ascenseur sous les regards envieux et désireux de certains. Noam détestait cette ambiance, mais il n'avait jamais eu aucun mal à faire croire le contraire. Mentir, c'était comme foutre le bordel pour lui, c'était inné. Ils sentaient les regard des personnes présentes se porter sur lui et Danaé et si il aurait pu trouver cela flatteur, lui qui habituellement avait ce besoin incontrôlable de reconnaissance, là, il aurait juste voulu passer inaperçu, ne se doutant pas un seul instant comment la soirée tournerait. On leur offrit deux coupes de champagne et ni Danaé, ni Noam ne refusèrent. La jolie blonde vint tinter son verre contre celui de Noam en son honneur et celui de ses livres et il ne pu qu'approuver d'un signe de tête alors qu'il portait la coupe à ses lèvres. Pendant longtemps il avait douté d'ailleurs, et à plusieurs reprises il avait pensé arrêter d'écrire, mais la présence spontanée et pétillante de son assistante et de Danaé dans sa vie, lui redonnait fréquemment l'inspiration pour ses livres. Noam avait déjà fait abstraction des regards curieux qui se portait sur lui, mais il fallait croire que Danaé ne pouvait s'empêcher de les remarquer. « Je te pari qu'ils pensent qu'on est en couple. Plutôt amusant n'es-ce pas ? » Le ton malicieux de sa phrase laissa l'écrivain songeur tandis que ses yeux faisaient des retours interminables entre Danaé et la foule. Il ne comprenait pas trop où elle voulait en venir et débattre sur un tel sujet n'était franchement pas son passe temps favoris. Comme généralement, il finit par hausser simplement les épaules. « On pourrait en jouer, je veux dire jouer les faux couples. » A peine avait-elle fait sa proposition qu'un sourire narquois apparu sur le visage de Noam. Jouer, il ne savait faire que ça le pauvre jeune homme. Mais habituellement, c'était Deva la scandaleuse, c'était elle, sa meilleure amie, qui jouait avec le feu et les caméras. Noam se trouvait souvent dans l'ombre, un peu comme une célébrité novice dans le monde des paillettes. Les journalistes l'appréciaient parce qu'il leur donnait ce qu'ils voulaient, parce qu'il avait cet humour pourri que les journaux s'arrachaient. Il était aimé du public et ne s'en était jamais plains. A cet instant il ne savait pas si jouer avec la journaliste la plus détestable serait bien ou mal vu. Sans doute l'image de la jolie blonde serait dorée après cette soirée pour l'avoir passée au bras de Noam Beckett. Tant mieux pour elle cela dit. « Cap ? Sauf si tu as honte de t'afficher dans les tabloïds aux côtés de la journaliste la plus détestable qui soit. » Pour toute réponse il passa doucement sa main le long de son bras avant de lui prendre la main pour la tirer vers lui. Il approcha sa bouche de son oreille pour qu'elle seule puisse entendre, et là, il chuchota à nouveau : « Ma proposition dans l'ascenseur tient toujours alors ! » Il resta près d'elle pour l'embrasser dans le cou. Et pour la première fois depuis son entrée dans le Verseau, il ne sentait plus les regards des invités sur son dos, mais ceux des journalistes. Un sourire complice se dessina sur ses lèvres alors qu'il déposa un fleuve de baisers dans le cou de la belle, une de ses mains toujours glissée dans celle de Danaé, tandis que son autre main vint habilement se poser sur la hanche de la jeune femme. « Cap. » glissa-t-il à son oreille. Il releva le visage pour la regarder, lui adressa un fin sourire alors que finalement la situation commençait peu à peu à l'amuser. « Tu veux que ton Ken vienne me tuer dans mon sommeil c'est ça ? Je pensais que tu tenais un peu plus à moi que ça. » Rien que la main sur la hanche de Danaé était une provocation, il ignorait comment réagirait Adriàn en voyant le reste. Mais il n'oubliait pas que l'idée venait d'elle, et que ce n'était qu'un jeu. Après tout, il pouvait mettre un terme à la partie quand il voulait. Pour l'instant c'était bien trop amusant pour se stopper là. Il glissa son bras dans son dos et l'entraina à nouveau à travers la foule en direction de l'immense terrasse du Verseau.
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MessageSujet: Re: DANOAM ∆ ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞ DANOAM ∆  ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞	  EmptyJeu 19 Juil - 16:50

Ce qu'elle aimait le plus dans sa relation avec Noam, c'est qu'elle était simple. C'était la relation la plus saine qu'elle avait même si au fond on pouvait trouver ça bizarre de s'entendre aussi bien avec l'un de ses ex, mais il était très différent de tous les garçons qu'elle avait pu rencontré. Ils s'entendaient à merveille, parfois se chamaillaient comme un frère et une soeur le ferait, mais ils partageaient de très bons moments. La distance entre eux était difficile, il arrivait souvent qu'elle craque et qu'elle prenne le premier avion en direction de Montsimpa juste sur un coup de tête. Elle le savait, si un jour elle devait se passer de lui, elle ne le supporterait pas. C'était son sien et bien qu'elle accepte des filles lui tourner autour, elle savait la place qu'elle avait pris dans sa vie. Personne ne pourrait être en mesure de la remplacer. Tout du moins, c'est qu'elle se disait pour se rassurer, car elle n'était pas la seule fille importante dans sa vie comme il n'était pas le seul garçon important dans sa vie disons que chaque relation est différente avec ses plus et ses moins. Elle s'était sentie offensé lorsqu'il eut émis le fait qu'elle puisse se servir de lui comme si elle en était mentalement capable. C'était le cas, mais il ne fallait pas mélanger les torchons et les serviettes. Elle se sentait déjà coupable jusqu'à la moelle de ce qu'elle avait fait a Cooper, il manquerait plus qu'elle ait affaire à Noam. « J'avais oublié que je profitais seulement d'un côté de l'iceberg moi ! Le meilleur côté cela dit. » Il s'était plutôt bien rattrapé même si la comparaison en soit était paradoxal, il s'agissait d'une blague dont seul Noam en avait le secret. C'est-à-dire une blague plutôt foireuse, mais le genre de blague qui avait le don d'amuser Danaé. La demoiselle devait bien être l'une des seules à les comprendre et à en rire à pleine dent. « Profites-en pendant que ça dure. » Ça avait tout d'un avertissement, mais elle ne pu garder son sérieux bien longtemps. Elle n'y arrivait pas, il suffisait qu'elle le regarde pour qu'elle perde toute sa crédibilité. Ils étaient très complice et ceux depuis leur toute première rencontre. La rupture "temporaire" entre elle et Adriàn avait du bon car jamais en sa présence ils n'auraient pu être "eux-mêmes". Et s'ils avaient eu le malheur de l'être à cause de l’ambiguïté de leur complicité, il lui aurait fait une scène ce qui aurait été mauvais pour l'ambiance. Elle se demandait parfois ce que ça aurait donné si elle et Noam n'avaient jamais rompus. Seraient-ils toujours aussi proche ou se seraient-ils déchirer au point de se détester ? Une question dont malheureusement Danaé n'aura jamais la réponse. « Je suis célibataire si ça t'intéresse. » dit-il en s'approchant d'elle, malicieux partageant un regard entendu qui ouvrait la porte à tout pleins de sous-entendus. « Puis on sait toi comme moi que nous deux ça fonctionne plutôt bien. » elle ne savait pas si elle devait rire ou prendre ses paroles enjôleuses au sérieux. Danaé sentait son coeur battre à toute vitesse on pouvait ajouté ça sur le compte de sa claustrophobie qu'elle arrivait à gérer, elle ne laissait rien paraître sur son visage si ce n'est un sourire complice qui cachait son hésitation. Lorsque les portes de l’ascenseur s'ouvrirent elle se sentait revivre appréciant chaque bouffé d'air frais. De plus Noam avoua qu'il plaisantait ce qui soulagea la jeune femme. « Tu m'as fait peur ne me refais plus jamais ça Beckett. » dit-elle soulagé oubliant les doutes qu'elle avait pu avoir pendant quelques secondes. Danaé avait envie de s'amuser et apparemment ceux qui les entouraient allaient leur en donner l'occasion. Elle ne voulait pas s'afficher à ses côtés pour en tirer un quelconque avantage. Il serait en couple jamais l'idée de passer pour un faux couple ne lui serait venu à l'esprit, mais puisque ce n'était pas le cas cela risquait fortement d'être intéressent. La jeune femme savait que s'il avait bien quelque chose qu'aimait Noam c'était jouer et elle l'avait rarement vue jouer de sa célébrité. Une occasion en or de pouvoir pimenter un peu leur soirée. Il fallait bien qu'elle profite de son célibat bien qu'elle n'était pas du genre à courir deux lièvres à la fois, il s'agissait de son "frère", alors cela ne devrait pas faire de dégât dans leur relation. Afin de répondre à toute ses paroles, il attira Danaé vers lui puis approchant ses lèvres de son oreilles, il lui chuchota : « Ma proposition dans l'ascenseur tient toujours alors ! » elle se mit à sourire tandis qu'il se mit à l'embrasser dans son cou. « On est tous les deux célibataires n'est-ce pas. » se contentait-elle d'ajouter plus provocante que jamais tandis qu'elle appréciait les baisers qu'il lui donnait. The girl who play with a fire. Ils avaient réussi à attirer les regards vers eux, ce n'était plus des regards interrogateurs, mais plus intéressé par la scène qu'ils leurs offraient. Danaé n'avait pas encore conscience qu'elle se mettait dans de beaux draps et après tout elle se contrefichait des conséquences pour le moment. Adriàn ne voulait pas lui dire pourquoi il lui arrivait d'être en compagnie de très belles femmes, soit, elle ne se priverait pas pour lui encore une fois. Après tout elle avait bien le droit s'amuser de son côté et puis elle s'avait qu'ils ne dépasseraient pas les limites qu'elle aurait encore de la crédibilité lorsqu'elle essayera de se défendre. La main de Noam était venue se poser naturellement sur la hanche de la jolie blonde tandis que l'autre était toujours entrelacer à la sienne. « Cap. » lui glissa t-il à l'oreille. Game on, tous les signes de provocations étaient présents. Elle avait sentit une étrange sensation lorsque la main de Noam s'était posé sur sa hanche, elle ne put s'empêcher de lancer un regard vers les journalistes qui étaient bouche bée devant cette scène. Lorsque leur visage firent face, elle observa chacun de ses traits comme elle aimait le faire autrefois. Elle n'en oubliait aucun le scrutant sous tous les angles. Elle lui renvoya le sourire qu'il lui adressait elle en avait conscience, elle n'aurait jamais pu trouver meilleur partenaire de jeu. « Tu veux que ton Ken vienne me tuer dans mon sommeil c'est ça ? Je pensais que tu tenais un peu plus à moi que ça. » De nouveau comme si elle ne pouvait s'en empêcher un sourire se dessina sur ses lèvres quand à sa remarque puis plus sérieusement elle posa son doigt sur ses lèvres. « Apparemment c'est n'est pas le cas. Sache qu'il faut toujours se méfier de ce qui nous entoure.. » dit-elle en déposant un léger baiser sur la joue de Noam, elle lui adressa un dernier regard complice qui se voulait espiègle à la fois tandis que le bras de Noam glissa dans le dos de la jeune femme. « Qui sait il peut surgir de nulle part. » dit-elle en chuchotant à son oreille qu'elle mordilla au passage. Il l’entraîna une nouvelle fois au travers de la foule afin de se rendre sur l'immense terrasse que possédait le Verseau. Tout le monde n'avait d'yeux que pour eux. C'est vrai qu'ils formaient un beau couple et qu'elle était fière de se présenter à ses côtés. C'était drôle. Au passage elle lui pinça les fesses ce qui le fit légèrement sursauté sur le moment, cette idée lui avait traversé l'esprit et effectivement, c'était vraiment très drôle comme situation. Elle se retint de partir dans un fou-rire. Ils avancèrent assez loin comme si de rien était puis s'arrêtèrent afin d'observer la vue qui s'offrait à eux. « C'est magnifique. » Elle se détacha de lui afin qu'ils se retrouvent face à face. Il y avait moins de personnes et l'endroit était plus intime bien qu'ils n'étaient nullement cachés. Ce qui était un bon point s'ils voulaient profiter pleinement de leur jeu. « C'est drôle j'ai l'impression qu'on a remonté le temps, sauf qu'on est plus des adolescents. » dit-elle en passant ses bras autour de son cou tout en rapprochant dangereusement son corps avec celui du beau blond. Elle plongea son regard dans le sien, c'était comme se noyer dans l'océan, ses yeux étaient d'un bleu parfait qu'elle comparait bien souvent à la mer. Ils ne bougeaient pas d'un poil appréciant simplement la compagnie de l'autre. « Tu t'es déjà demandé ce qui ce serait passé si on ne s'était jamais quitté ? Tu crois qu'on aurait été heureux ? » elle continuait à le regarder profondément, elle était curieuse et à défaut de ne pouvoir savoir ce qui se serait passé, elle préférait écouter la version de Noam. La musique qui passait jusqu'à maintenant était plutôt rapide, elle était entraînante et le DJ apparemment avait opté pour une musique plus lente.
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MessageSujet: Re: DANOAM ∆ ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞ DANOAM ∆  ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞	  EmptyVen 20 Juil - 1:24

Ils avaient fini par rejoindre la terrasse du Verseau, non sans oublier les taquineries habituelles que Danaé s'amusait à faire subir à Noam. Le faisant sursauter par des gestes qu'il n'aurait pas pensé qu'elle les ferait en publique ou en lui mordillant l'oreille, devenant plus provocante que d'ordinaire. A son contact, que se soit physique ou juste par sa présence, Noam avait tendance à perdre tous ses moyens. Naturellement il réussissait depuis peu à agir normalement et à ne rien laisser transparaître. Mentir, il était talentueux dans ce domaine là. Néanmoins, ça avait toujours fait parti de leur relation, rien d'anormal à cela. Ils étaient certainement les deux ex les plus complices de toute la ville. Leur histoire s'était finie de façon naturelle, d'un accord commun et en très bons termes. Aujourd'hui ils étaient des amis – très et trop complices – mais aucun des deux ne souffraient réellement de cette séparation. Ils la vivaient même plutôt bien. Dehors Danaé s'extasia de la vue magnifique qu'offrait la terrasse du Verseau et pour toute réponse, Noam roula des yeux, haussa les épaules et jeta un regard furtif vers la vue, ne lui trouvant rien de particulier. Mais il aimait voir sa belle, fascinée et heureuse. « C'est drôle j'ai l'impression qu'on a remonté le temps, sauf qu'on est plus des adolescents. » confia-t-elle avant de passer ses bras autour du cou de l'écrivain. « On est plus des adolescents et tu n'habites plus la maison voisine de la mienne. » ajouta-t-il. Il la laissa faire lorsqu'elle s'approcha dangereusement de lui et qu'elle le fixa dans les yeux. Il aurait pu rester ainsi pendant des heures, savourant la présence de Danaé dans ses bras et le contact de son corps contre le sien. C'était parfait. La musique, plus douce, résonnait en fond, dans un bruit presque sourd, lointain. Il se sentait vraiment bien avec elle et s'il portait avec lui ce sentiment d'être intouchable, avec elle, c'était encore plus fort car il avait réellement l'impression que rien de mal ne pourrait arriver, ni à elle, ni à lui. Ils se complétaient parfaitement. C'est Danaé qui finit par briser le silence, demandant à Noam si celui-ci s'était déjà posé la question de comment leur histoire aurait continué s'ils ne s'étaient pas séparés. Du tac-o-tac, il répondit bêtement : « Mariés, deux enfants, une fille, un garçon naturellement, un chien, une maison bleue, une belle pelouse et une barrière blanche. La vie parfaite quoi. » En réalité, il n'avait jamais réfléchi à la question. Pour lui c'était dans le naturel des choses. Ils avaient été en couple et ils s'étaient quittés. Point. Divaguer, imaginer un futur possible avec elle, il l'aurait volontiers fait s'ils étaient encore en couple, là n'était plus la question puisqu'ils avaient pris des choix, des voies, et des vies différentes. Mais parfois il se disait que s'il venait à se mettre en couple, se serait de la folie. Une folie pure, douce et pétillante. Noam détestait la routine, il n'était pas le genre de garçon à faire dans le traditionnel et cela se ressentait dans ses relations. Danaé pourrait être la première à confirmer cela. Noam, lui, il s'imaginait déjà entrain d'entrainer sa future copine pour qu'ils fassent ensemble du camping, des sorties idiotes, dorment à même le sol dans le salon, se construisent une maison dans un arbre, passent leur temps à la plage, et partent faire du vélo dans les rues de Montsimpa la nuit, sa petite amie assise sur le guidon tandis que lui pédalerait à toute vitesse comme un fou. Il s'imaginait très bien la demander en mariage avec une bague en plastique idiote et avoir le même mariage que Meredith et Derek. Comme quoi, ça avait du bon de regarder Grey's Anatomy avec sa colocataire. Pour lui, c'était ça la vie. De l'adrénaline, de la folie et de l'amour en conserve. Il n'était pas le plus romantique des hommes, mais Dieu seul savait que Noam était capable de tout et n'importe quoi pour témoigner son amour. Il n'était pas le garçon le plus romantique, ni le plus parfait et encore moins le plus ordinaire, mais il restait Noam Beckett, le facteur de Montsimpa, avec des mots en or, et des blagues idiotes. On pouvait le dire clairement, sa future copine serait la fille la plus chanceuse de Montsimpa. D'accord il avait longtemps cru, et ce même après leur rupture, que la femme de sa vie serait Danaé. Naturellement il était violemment retombé sur terre lorsqu'ils avaient fini par se quitter. S'ils avaient été encore ensemble, à ses yeux c'était logique qu'ils auraient été heureux. Parce qu'ils avaient la même vision des choses, parce que lorsqu'ils se chamaillaient, la réconciliation n'en était que plus belle. Parce qu'elle était aussi folle que lui, parce que finalement elle était comme lui. Il ne pouvait pas dire qu'ils étaient faits l'un pour l'autre, et que tôt ou tard ils finiraient par retomber dans les bras l'un de l'autre, d'abord parce que Noam ne croyait tout bonnement pas au destin et ensuite, Danaé en aimait un autre. Tout était une question de karma selon lui. Pourtant il osait espérer que Danaé serait celle avec qui il écrirait ses vœux de mariage sur un morceau de papier, et avec qui il irait faire du vélo la nuit dans les rues endormies de la ville. Il espérait, mais il savait que cela ne se ferait jamais. Elle n'était pas sienne et dans l'instant il aurait juste souhaité que tout ceci ne soit pas un jeu. Ne laissant rien transparaître il adressa un sourire à Danaé avant de reprendre, plus sérieusement. « La question ne se pose pas. Tu es avec Adriàn maintenant. » Pour l'instant il se plaisait dans son célibat, alors s'imaginer en couple, avec Danaé ou une autre femme, il préférait ne pas y penser. Malgré tout, alors que Danaé s'obstinait à le fixer intensément, il se sentit vaincu, ne pouvant décidément rien lui refuser. C'est dans un soupire blasé qu'il répondit : « Je vais pas te dire que nous deux c'est écrit dans les étoiles. Après tout, si on s'est séparé, c'est qu'il y avait une raison. Mais je pense qu'on aurait été heureux, oui. » Parce qu'ils seraient devenu le couple le plus inattendu de toute une génération et parce qu'ils se complétaient. Noam sans Danaé, ça ne marchait pas, et inversement proportionnel ou égal. Elle avait beau être en couple, pour Noam, l'équation restait inchangée, même avec un facteur perturbateur en plus. « Regarde, ça fait à peine deux minutes qu'on est de nouveau en couple et on est les plus heureux du monde. » Il lui adressa un regard complice, souhaitant à tout prix retrouver cette ambiance légère et complice qu'ils partageaient habituellement tous les deux. La serrant toujours dans ses bras, ses yeux fixés dans le regard de la belle, il s'amusait à caresser son dos avec toute la délicatesse qu'on lui connaissait. Néanmoins il ne tenterait plus jamais rien avec Danaé, elle restait son ex, sa complice, la femme qu'il désirait certes, mais dans l'ascenseur elle lui avait très bien fait comprendre ce qu'elle pensait de leur relation. Qu'ils se remettent ensemble ne semblait pas l'enchanter, et si la fierté de Noam en prenait un coup, pour se rassurer, il se disait que ce n'était qu'un jeu tout ça. L'écrivain se détacha de la jolie blonde, glissa sa main dans la sienne et montra d'un signe de tête les fauteuils qui entouraient la terrasse. Il s'assit sur l'un d'eux et força Danaé à s'installer sur ses genoux, calant son bras dans son dos pour la retenir. Même si il savait que les journalistes devaient savourer la scène de loin, Noam ne faisait pas cela pour eux. Silencieux il se surprit à dévorer Danaé une nouvelle fois du regard avant qu'il ne lâche, sincère : « T'es belle. »
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MessageSujet: Re: DANOAM ∆ ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞ DANOAM ∆  ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞	  EmptyVen 20 Juil - 18:04

❝ Tu t'souviens pourquoi on est tombé amoureux ? Tu t'souviens pourquoi c'était si fort entre nous ? Parce que j'étais capable de voir en toi, des choses que les autres ignoraient. Et c'était la même chose pour toi. ❞

C'était idiot, mais Danaé était réellement envoûté par la ville de Bridgeport. Elle était cette fille qui rêvait de New-York alors qu'elle était coincé dans une sorte Wisteria Lane. Elle aimait Montsimpa pour sa tranquillité et sa sécurité qu'elle offrait, mais c'était plus une ville parfaite où elle fonderait sa famille alors que Bridgeport c'était plus la vie active et tout ce qui va avec. Danaé était hyperactive, impatiente et détestait la routine. Elle voulait vivre dangereusement, que son amoureux un jour lui dise qu'il est en réalité Clark Kent et ainsi qu'il l’emmène vivre mille et une aventures. Ils combattraient les méchants, le jour et ils s'endormiraient dieu sait où à la belle étoile, la nuit. Danaé ne voulait pas être une ménagère qui s'occuperait de son mari et de ses enfants, elle voulait qu'ils vivent dans une cabane de draps -comme elle le faisait dans sa chambre lorsqu'elle était petite- et qu'ils s'adaptent jour après jour à leur mode de vie loufoque. Noam était son double au masculin, ils étaient semblables et s'accordaient tel des âmes soeurs. Pendant longtemps elle cru qu'il serait son Clark Kent. Elle savait qu'avec lui elle vivrait de folles aventures et que chaque jour serait différent des autres. Peut-être qu'il ne serait pas en mesure de voler sans ailes, mais ils auraient essayés de lui en créer. Peut-être qu'il ne serait pas invincible et qu'il ne détruirait pas un mur en béton avec son poing, mais ensemble ils auraient été bien plus fort que n'importe quel super-héros. Indestructible, imbattable, inégalable, heureux. Elle avait l'impression d'avoir fait un retour en arrière sans réellement l'avoir fait. Comme si un bout du passé s'était incrusté dans le présent. Noam ajouta qu'ils n'étaient plus des adolescents, mais aussi qu'elle n'habitait plus dans la maison voisine à la sienne. Il avait raison d'une certaine manière tout avait changé depuis le temps où ils étaient ensemble - où ils étaient insouciant. Lorsqu'elle passa ses bras autour de lui, elle se sentait réellement nostalgique. Danaé était heureuse à cet instant, cela faisait longtemps qu'elle ne s'était jamais sentie aussi bien qu'à ce moment précis. Ses yeux ne quittaient pas ceux du beau blond, elle était complètement envoûté par lui. Elle se sentait en sécurité et rien ne pourrait gâcher ce moment, ce silence, cette entente, cette complicité. C'était différent avec Adriàn, elle savait qu'avec Noam ils ne finiraient pas par se disputer pour un tout et un rien qu'ils ne se briserait pas, tandis qu'avec Adriàn, il finirait par partir sans lui faire part des détails ce qui l'a ferait souffrir davantage. Elle ne savait pas qu'Adriàn possédait tout ce qu'elle recherchait en matière d'aventures et lui même ne la connaissait pas assez pour savoir qu'il pourrait tout lui avouer sans qu'elle ne prenne la porte et disparaître de son existence. Malheureusement maintenant il était peut-être trop tard pour qu'il lui avoue tout cela tellement le mensonge était gros. « Mariés, deux enfants, une fille, un garçon naturellement, un chien, une maison bleue, une belle pelouse et une barrière blanche. La vie parfaite quoi. » il avait répondu du tac-o-tac comme si c'était ce qu'il avait prévu depuis des années. Elle le savait qu'il n'y avait jamais songé depuis qu'ils étaient séparés, car maintenant ils étaient amis et non amants. Ils n'auraient jamais eu ce genre de vie synonyme de métro/boulot/dodo peut-être qu'ils auraient pimenté tout cela avec quelque chose en plus comme ils avaient l'habitude de faire. En y en repensant, elle se sentait bête de lui avoir posé une telle question. Il avait raison elle avait fait son choix, elle était avec Adriàn et ne regrettait rien. Si elle s'accrochait autant à lui c'était bien parce qu'ils vivaient quelque chose de spéciale. Elle ne voulait pas d'une relation sérieuse et par conséquent, ne pouvait pas se plaindre. Danaé avait vécue une relation très difficile après Noam et avant Adriàn. Léo l'avait détruite dans tous les sens du terme, elle ne croyait plus vraiment au sens du mot amour avant que Noam ne l'a relève une nouvelle fois. Elle lui devait tout et lui serait redevable jusqu'à la fin de ses jours. Elle insista tout de même pour qu'il l'a rassure comme il savait le faire afin qu'il lui donne une vrai réponse à sa question. « Je vais pas te dire que nous deux c'est écrit dans les étoiles. Après tout, si on s'est séparé, c'est qu'il y avait une raison. Mais je pense qu'on aurait été heureux, oui. » il ajouta à cela que ça faisait seulement deux minutes qu'ils étaient de nouveaux en couple qu'ils étaient les plus heureux du monde. Il n'avait pas tord, il avait toujours raison. Rien ne pourrait être en mesure de s’immiscer entre eux, ils étaient Noam & Danaé et quoi qu'il arrive ils seraient toujours heureux ensemble parce qu'ils étaient complémentaires. Ces choses-là ne bouge pas en générale. « Tu as raison. On aurait été heureux, c'est indéniable, parce que si on avait pas rompu j'aurais jamais été malheureuse à tes côtés comme je l'est été sans toi. » dit-elle bêtement telle une enfant en affirmant ce qu'il venait de dire comme si elle venait d'ouvrir les yeux sur des choses qu'elle savait déjà depuis bien longtemps. Elle ne lâchait pas le sourire qu'elle avait depuis le début de la soirée, sa phrase avait fait amplifié ce sourire qu'elle ne pouvait à présent ne plus enlever. La demoiselle appréciait la tendresse de Noam, elle ne savait pas si elle devait trouver ça malsain ou pas, mais elle avait décidé d'arrêter les questions. Il se détacha de leur étreinte et glissa sa main dans la sienne, elle entrelaça ses doigts puis se dirigea vers les deux fauteuils qu'il avait repéré. Noam l'a força a se mettre sur ses genoux, il posa sa main dans son dos afin de la retenir puis il se mit à la fixer, la dévorant du regard comme un peu plus tôt dans l’ascenseur. « T'est belle. » dit-il sincèrement, elle le détestait parfois. Elle le détestait d'être ainsi de la faire succomber à son charme, sauf qu'elle ne pouvait pas. C'était compliqué, c'était compliqué dans le sens où depuis toutes ces années elle le voyait plus comme son frère. Maintenant elle n'en savait rien, elle se contentait de le scruter et de boire ses paroles. Bien-sur qu'elle se sentait flatté, qui ne le serait pas ? « Merci, t'est pas mal non plus. » dit-elle en le taquinant juste pour voir sa réaction, elle ne pouvait pas s'empêcher d'être ainsi avec lui, jouer toujours jouer. Elle passa un de ses bras derrière son cou puis avec sa main libre elle s'amusait avec ses cheveux tout en ne quittant pas ses yeux des siens. « Bon d'accord, c'est toi le plus beau. » avoua t-elle finalement, elle était sincère même si elle n'arrêtait pas de l'embêter et de lui dire des choses qui cachent ce qu'elle pense réellement, elle le pensait sincèrement qu'il n'y avait pas plus beau que lui. Dans cette position elle avait l'impression de l'appartenir et d'être sienne. Pour Danaé il n'y avait aucun doute ils avaient réussi leur coup bien qu'en s'en fiche de tous ces journalistes. Ces gestes qu'elle avait envers lui étaient naturels, ils leurs est déjà arrivé d'être dans cette position, elle jouait constamment avec ses cheveux bien que ça l’agace les trois quart du temps, ils étaient très tactiles et ils avaient besoins de sentir la présence de l'autre. Alors au fond, ils n'avaient pas vraiment à jouer. Ils étaient toujours en train de se regarder comme si on avait figé le temps. Elle colla son front contre le sien puis l'observant dans le blanc des yeux elle dit : « T'est un Alien. » lâcha t-elle avant d'exploser de rire telle une enfant. Elle recolla son front contre le sien et repris ses esprits. « Je veux dire, t'est "trop" parfait pour être réel. »
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MessageSujet: Re: DANOAM ∆ ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞ DANOAM ∆  ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞	  EmptySam 21 Juil - 10:49

« Tu as raison. On aurait été heureux, c'est indéniable, parce que si on avait pas rompu j'aurais jamais été malheureuse à tes côtés comme je l'est été sans toi. » avoua-t-elle. Et l'écrivain ne su comment prendre cette révélation. Elle qui quelques minutes plutôt s'apprêtait à prendre la fuite, quand, en plaisantant, Noam lui avait fait comprendre qu'ils pourraient se remettre en couple. Là, elle venait lui annoncer qu'elle était plus heureuse à ses côtés qu'avec un autre homme. Noam n'avait jamais été jaloux, et il n'enviait pas Adriàn. Parce qu'il savait que ce lien qui l'unissait à Danaé était plus fort que tout. Il concevait le fait qu'aujourd'hui elle en aime un autre que lui. Mais savoir qu'elle était malheureuse lui était insupportable. Elle méritait tellement mieux qu'un pauvre type qui la faisait souffrir pour un oui ou pour un non. Naturellement Noam ne pensait pas être mieux pour elle, son amie était adulte et savait mieux que personne avec qui elle serait la plus heureuse. Mais est-ce qu'ils étaient mieux amis que en couple ? Ça, s'était une question que Noam se posait souvent. Il n'avait jamais réellement compris pourquoi ils s'étaient séparés. Eux, chacun la moitié d'un tout. Il jeta un coup d'œil furtif en direction de la piste de danse, du bar et de la piscine. Le Verseau était plein à craquer, mais de leur place personne ne pouvait les déranger. En reportant son attention sur Danaé, celle-ci affichait toujours son éternel sourire. Elle avait ce sourire et cette bonne humeur constante qui faisait que Noam se sentait toujours bien à ses côtés. Elle était parfaite. Il resserra son étreinte autour de son corps, l'obligeant ainsi à se coller d'avantage à lui. « Comment ça t'es pas heureuse ? Qu'est-ce qu'il t'a fais l'autre ? » lâcha-t-il, mécontent. « J'aime pas ça sérieux. » Il était doux, gentil et protecteur avec elle à cet instant. Mais il ne cherchait certainement pas à la séduire, car cela serait malvenu sachant qu'elle avait déjà un petit ami. Noam était un homme fidèle lorsqu'il était en couple, et il n'aurait jamais tolérer que l'on vienne ainsi séduire sa copine. Et alors qu'il lui disait sincèrement qu'elle était belle, elle rétorqua, fière : « Merci, t'est pas mal non plus. » L'écrivain se contenta de sourire à sa remarque, complètement sous le charme de la jolie blonde. Ils arrivaient à allier complicité, tendresse et jeu dans le même sac. Danaé passa un bras derrière le cou de Noam tandis que sa main libre s'amusait à jouer dans les cheveux de Noam. Il leva les yeux au ciel, mais ne dit rien. « Bon d'accord, c'est toi le plus beau. » avoua-t-elle d'un coup, alors que le sourire de l'écrivain s'agrandit. C'était toujours agréable de savoir qu'on plaisait à quelqu'un, mais on connaissait le facteur pour être plus égocentrique que modeste. « Oui, je sais. » répondit-il, un sourire taquin collé au visage. Elle vint coller son front au sien et là, ils se regardèrent, complices. Ils mariaient parfaitement leur partie de jeu aux moments de tendresse. Danaé n'était pas ce genre de fille qui râlait contre Noam, elle ne l'accusait pas d'être trop gamin ou pas assez sérieux. Elle ne venait pas lui demander s'ils étaient en couple ou non, si il voulait deux ou trois enfants, si le boulot allait bien ou comment allait les amours. Non, elle était sa force, son double, sa moitié, sa bouée dans ce monde fous, la seule qui était capable de l'insulter d'alien tout en lui faisant le plus beau des compliments. Amis ils cassaient les préjugés que les gens se faisaient sur l'amitié fille/garçon ou la relation de deux ex. En couple, ils auraient bouleversé le monde avec leur amour niais et leurs idées toujours plus loufoques les unes que les autres. Noam le savait, jamais ils n'auraient été un couple ordinaire avec une vie plate. Ils auraient inventé chaque jour un nouveau scénario pour casser la routine. A eux deux, ils étaient un mélange de Rose et Jack avec leur amour sans limite, Sophie et Julien pour le fait qu'ils s'amuseraient toujours ensemble et E.T et Eliott pour ce lien inexplicable qui les unissaient. « Bah ouais, je suis E.T et toi tu es Élliot. » rétorqua-t-il après que le fou rire de la belle soit passé. Une autre personne aurait pris cette comparaison de travers et se serait même vexée, mais il connaissait assez Danaé pour savoir qu'elle comprendrait. Elle était la seule qui pourrait d'ailleurs. Tout le monde savait qu'un lien étrange, bizarre et psychique unissait l'extraterrestre au petit garçon. Noam aimait se dire que c'était la même chose avec Danaé. Leur lien fusionnel, cette complicité qui les unissait depuis toutes ces années était bien la preuve que rien ni personne ne pouvait se mettre en travers de leur chemin. Ils n'avaient pas le besoin de se sortir des phrases idiotes comme « je vais décrocher les étoiles qui sont dans le ciel pour les mettre dans tes yeux » pour se complimenter. Dire qu'il était un alien et elle le personnage principal d'un film de Spielberg suffisait largement pour qu'ils se comprennent. Dans le fond, même séparés ils restaient sur la même longueur d'onde. Complètement déconnectés de la réalité. Dans leur monde à eux. Il la serra doucement dans ses bras, et déposa un nouveau baiser dans son cou alors qu'il sentait ses mains s'amusaient encore dans ses cheveux. Il vint recoler son front au sien et là il leva sa main pour la poser sur celle de Danaé et stoppa son jeu en faisant glisser leurs mains pour qu'elles arrivent à hauteur de leurs yeux. Quand elle lui souffla qu'elle le traitait d'alien parce qu'il était trop parfait pour être réel, c'est Noam cette fois-ci qui se mit à rire. Il secoua doucement la tête et glissa sa main sous les jambes de Danaé, tandis que son autre main reposait toujours derrière son dos. Vengeance ! Elle savait très bien qu'il avait horreur qu'on touche à ses cheveux, elle allait en payer le prix cher. Il la porta dans ses bras, comme un jeune marié porterait sa dulcinée pour qu'ils passent la porte de leur maison. Sauf que là, ils n'étaient pas mariés, et ils ne rentraient pas chez eux. Naturellement la journaliste commençait à se débattre, et Noam ne pu s'empêcher d'éclater de rire alors qu'il resserrait son étreinte autour de son corps afin qu'elle ne tombe pas. « Je sais pas si Eliott sait danser, mais E.T est un excellent danseur. » Il lui adressa un clin d'œil complice, alors qu'il se dirigeait vers la piste de danse, Danaé toujours dans ses bras. L'écrivain ne se souciait plus réellement des journalistes, bien qu'il ne doutait pas un instant qu'ils se soient remis à leur poste d'observation. Il n'y avait bien que Danaé et Noam pour débarquer ainsi sur une piste de danse. Là, au milieu des autres couples entrain de danser, il reposa délicatement Danaé sur le sol, toujours souriant. « Et si Eliott ne sait effectivement pas danser, il retire ses chaussures et il monte sur mes pieds. » L'invitant alors à danser sous les regards des autres couples et journalistes, Noam tendit sa main à l'intention de son amie.
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MessageSujet: Re: DANOAM ∆ ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞ DANOAM ∆  ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞	  EmptyLun 23 Juil - 17:15

DANOAM ∆  ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞	  Tumblr_m72szhxOdx1qetqj1o3_250Danaé était devenue forte avec le temps, elle arrivait à surmonter n'importe quel vague, n'importe quel difficulté qui venait à se mettre en travers de son chemin. Elle avait eu une relation tumultueuse avec Léo avec qui elle avait fini par se fiancer pour au finale qu'il aille la tromper avec la première venue. Elle avait tout perdue à cause de lui même sa dignité. Et voilà que maintenant elle était sur le point de faire la même erreur bien qu'elle avait plus confiance en Adriàn qu'en Léo à l'époque, elle avait peur que leur histoire face boule de neige. Elle avait révélé à Noam qu'elle n'aurait jamais été malheureuse à ses côtés, car si elle était resté avec lui jamais au grand jamais elle ne se serait remise avec Léo et Adriàn n'aurait pas eu à la sauver. Danaé n'aurait pas connue de souffrance, elle le sait, il l'aurait traité comme une princesse et ils auraient vécus heureux jusqu'à la fin des temps. Ils auraient élaboré ensemble leur propre conte de fée. Danaé n'avait pas encore fait part à son ami du motif de sa rupture avec Adriàn à vrai dire parfois ils se séparaient juste sur un coup de tête. Son métier était journaliste et comme toute bonne journaliste qui se respecte elle n'avait pas pu s'empêcher d'aller l'épier par-ci et là. Elle s'était transformé en Veronica Mars avec son appareil photo bionique et malheureusement au lieu de se rassurer elle même, cela ne faisait qu'enfoncer le clou. Plusieurs fois, elle l'a surpris à sortir de plusieurs hôtels avec différentes femmes accrochés à son bras. Il lui avait juré que ce n'était rien, que c'était juste pour son métier de comptable, mais elle avait réellement l'impression qu'il l'a prenait pour une idiote. S'il lui mentait elle ne le supporterait pas. Tous les éléments portaient à croire qu'il l'a trompait. Elle voulait lui laisser une nouvelle fois le bénéfice du doute, mais pour avoir été trompé une fois, elle savait additionner tous les signes qui pourrait confirmer sa pensée. Elle avait donc essayé de mettre les choses à plat, mais quand bien même il essayait de se défendre, elle ne l'écoutait plus lassé de devoir se battre. « Comment ça t'es pas heureuse ? Qu'est-ce qu'il t'a fais l'autre ? » dit-il mécontent, il s’inquiétait, la protégeait et elle le savait quoi qu'il arrive elle pourrait se reposer sur lui, qu'il serait toujours là pour elle. Danaé hésitait à répondre, elle ne voulait pas gâcher ce moment unique qu'ils partageaient. « Je... J'ai juste peur que l'histoire se répète. » dit-elle en bafouillant, elle essayait d'amasser toute la force qui était en elle pour ne pas craquer. Elle baissa la tête sentant les larmes lui monter aux yeux, elle espérait qu'il ne le remarquerait pas. « Mais j'ai pas envie qu'on s’apitoie sur mon sort, d'accord ? Je suis avec toi, alors ne t'en fais pas je vais bien. » dit-elle en relevant la tête avec le plus beau des sourires qu'elle pouvait lui offrir. Elle ne voulait pas qu'il se mette dans tous ses états pas à cause d'Adriàn après tout, rien était sur, elle n'avait pas des preuves concrètes, seulement des faits qui s'accumulaient. Elle voulait juste qu'il le sache et qu'il comprenne pourquoi elle n'aurait jamais été malheureuse à ses côtés. Noam était l'archétype même de l'homme parfait à ses yeux, il était intelligent, doux, fidèle, attentionné, séduisant. Elle le savait qu'il ne tenterait rien avec elle ce soir parce qu'il était tout bonnement parfait, droit et loyale. Jamais au grand jamais, Danaé ne douterait de lui et de sa fidélité, elle le savait s'ils étaient encore ensemble il ne verrait qu'à travers elle, il n'aurait d'yeux que pour elle. Ils jouaient, mais sans avoir réellement besoin de faire d'efforts. Le naturel prenait le dessus avec la tendresse et la douceur qu'ils avaient pour habitude d'accorder l'un envers l'autre. Lorsqu'elle fini par lui avouer qu'il était le plus beau, Noam se contenta juste d’acquiescer ses paroles avec ce sourire taquin auquel elle ne saurait résister. Leurs fronts étaient collé l'un contre l'autre tout en se regardant avec cette complicité inébranlable. Ensemble ils étaient plus fort que tout, ils défiaient les lois de la nature et marchaient même dessus sans se retourner. Ils ne faisaient jamais rien comme les autres, ne suivaient aucun modèle particulier se contentant juste d'écouter leur propre pensée. Il n'y avait pas de place pour les conséquences tel des enfants coincé dans des corps d'adultes. Ils étaient beaux, oh oui qu'ils étaient beaux. Au fond, elle ne comprenaient pas pourquoi ils avaient rompus, sans doute avaient t-ils peur qu'un jour l'amour ne suffise plus, que le danger les prennent au piège, mais elle avait surtout l'impression qu'en se séparant ils avaient fait la plus grande connerie de leur vie. Personne n'était en mesure de comprendre ce qui les liaient, c'était tellement puissant qu'il n'y avait d'explication à donner tellement c'était magique. Elle était partie dans un fou-rire après avoir traité Noam d'Alien et le mieux c'est qu'elle le pensait réellement, elle s'était rattrapé en ajoutant ce dont elle songeait en le comparant à un extraterrestre. « Bah ouais, je suis E.T et toi tu es Élliot. » dit-il naturellement, elle appréciait la comparaison et cela se voyait sur son visage. Elle serait alors son Élliot et lui serait son E.T. malgré qu'Élliot soit un petit garçon, elle savait que ça allait bien au delà des personnages et qu'il voulait parler du lien particulier qui les unissaient. Ce lien fort qui soudait leur amitié. Danaé était même touché. « La base. » se contenta t-elle d'ajouter toujours en train d'observer son alien. Ils appartenaient à un monde qui était différent de ceux qui les entouraient, c'était comme si il y avait une planète avec seulement eux comme humains. Ils partageaient la même vision des choses, c'était comme s'ils possédaient un seul cerveau dans deux corps différents. Ce n'étaient pas des romantiques dans l'âme et quand bien même ils le seraient, ils finiraient par en rire. Tout était prétexte à s'amuser s'il sautait, elle sauterait aussi. Un jeu de crétin peut-être bien, mais c'était leur jeu. En parlant de jeu, elle s'amusait avec ses cheveux, il avait horreur de ça ce qui incitait encore plus la jeune femme à continuer. Il était toujours aussi souriant, Noam était une vrai bouffé d'air frais. Il était unique, c'est dans ces moments-là qu'elle se disait qu'elle ne voudrait jamais le perdre et qu'il serait obligé quoi qu'ils leur arrivent d'être présent à ses côtés. Une vie sans Noam n'était pas une vie pour Danaé. Il l'a serra une nouvelle fois ses bras lui déposant un baiser dans son cou, elle sentit un léger frisson parcourir son échine au moment il avait déposer ses lèvres contre sa peau. Une étrange sensation, néanmoins qu'elle appréciait. Le jeune homme colla ensuite son front contre le sien faisant doucement glisser sa main contre la sienne à hauteur de ses yeux. Elle ne fit rien pour contre attaqué s'envoûtant de son regard qui l'a faisait encore une fois plonger la tête la première dans l'océan. Danaé sentie la main de Noam se glisser sous ses jambes, elle ne savait pas ce qu'il lui préparait, mais en tout cas elle savait que ça avait un rapport avec ses cheveux. Noam la souleva alors comme un jeune marié ferait avec sa futur épouse, elle se débattait gentiment, elle n'avait pas confiance pensant qu'il l'a jetterait dans la piscine. Ce dernier la serra un peu plus contre lui afin quelle ne tombe pas sur le sol à force d'essayer de s'enfuir. « Je sais pas si Eliott sait danser, mais E.T est un excellent danseur. » lui adressant un clin d'oeil complice, alors qu'il l'a transportait jusqu'à la piste de danse. Forcément les regards étaient dirigés vers eux, encore une fois il n'y avait que Noam et Danaé, c'était comme si les autres faisaient tout bonnement partit du décor. Ils faisaient toujours sensation et là ils devaient surement faire une ovation avec une entrée pareille. Et s'ils dérangeaient les autres, tant pis. Eliott était une très bonne danseuse, elle a fait de la danse de l'âge de cinq ans jusqu'à ses douze ans environs, après elle a décidé d'arrêter comme ça sur un coup de tête. Le jeune homme l'a déposa délicatement sur le sol, il était toujours aussi souriant, ce qui incita Danaé à sourire davantage. "One night to be confused, One night to speed up truth, We had a promise made, Four hands and then away. " « Et si Eliott ne sait effectivement pas danser, il retire ses chaussures et il monte sur mes pieds. » dit-il en tendant sa main qu'elle regarda faisant des aller-retour entre cette invitation et ses beaux yeux bleus. Elle laissa un peu de suspense sous les regards intéressés friands d'obtenir un article qui en ferait envier plus d'une. Danaé savait très bien danser, mais rien qu'à l'idée qu'il puisse la porter sur ses pieds tout en dansant l'amusait beaucoup. Ils allaient certainement se faire remarquer, mais elle ne jouait plus vraiment, c'était juste du Danoam dans toute sa splendeur. La jeune femme enleva donc ses talons et les déposa comme ça, là où elle se trouvait, se contrefichant si quelqu'un venait à se les prendre dans les pieds. Elle accepta donc naturellement son invitation déposant sa main dans la sienne. Danaé se laissa attiré par lui, elle monta sur ses pieds puis mit son bras libre autour de son cou tandis qu'il déposa son autre main sur ses reins. « Eliott est dépendant d'E.T. maintenant, il a mal aux pieds et est piètre danseur. » c'était pour ce genre de scène qu'elle savait qu'elle et Noam étaient réellement différent de tous ces gens coincés. Leurs corps étaient collé l'un contre l'autre, Danaé avait peur de tomber ou encore de glisser, elle s'accrochait à lui sans pour autant lui faire mal ou encore qu'ils soient dans une position inconfortable. « Tu me promet de pas me lâcher hein ? » dit-elle tout en le regardant avec des yeux de chiots. Elle avait une confiance aveugle en lui, certes, mais elle aimait bien parfois le prendre par les sentiments. « Parce que tu sais, même si tu me fais tomber ça m'empêchera pas de continuer à jouer avec tes cheveux. » ajouta t-elle avec cet air espiègle au visage, les yeux toujours plongés dans les siens. Elle parlait certainement trop comme toujours, mais c'était par simple prévention. Elle pouvait le dire elle était heureuse et actuellement, en cet instant, elle n'aurait voulu être avec personne d'autre qu'avec lui.
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DANOAM ∆  ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞	  Empty
MessageSujet: Re: DANOAM ∆ ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞ DANOAM ∆  ❝ si tu sautes, moi je saute pas vrai ? ❞	  EmptyMer 25 Juil - 8:32

Le célibat, Noam s'y plaisait. Il aimait se réveiller le matin en se disant qu'il n'aurait aucun compte à rendre à personne s'il venait parler à une jolie fille. Encore mieux, personne n'avait à lui reprocher sa cohabitation avec Rita, Allyssandre et Blythe. Certes, il ne s'agissait que d'amies, mais Noam connaissait bien les femmes pour savoir qu'elles se montaient facilement des films dans leur tête quand elles voyaient leur copain en compagnie d'une autre femme. Néanmoins, même si Noam restait l'emmerdeur du quartier, la fidélité était l'une de ses principales qualités et il n'appréciait pas que l'on remette cela en doute. Il n'était pas un romantique, mais il était fidèle. A ses yeux l'un compensé l'autre. Les femmes voulaient les deux, mais comme il disait si bien, on ne peut pas avoir le beurre, et l'argent du beurre. Évidemment, il se considérait comme le beurre. Son assistante le voyait comme l'archétype même du type imbu de sa personne, macho et arrogant. Il aimait lui faire croire que c'était le cas, alors que ce n'était que pure mensonge. Danaé était l'unique femme avec laquelle il restait lui-même. Égocentrique et complètement con d'accord, mais gentil néanmoins, et toujours avec son humour foireux. Puis, elle semblait l'apprécier, ce qui l'incitait encore plus à se montrer attentionné à son égard. Ils avaient finalement rejoins la piste de danse, sous les regards des journalistes, posés à leur poste d'observation, près à écrire l'article du siècle (selon eux). Pompeux, probablement étaient-ils fiers de ce qu'ils voyaient et de ce que Danaé et Noam leur offraient. Danaé avait insisté pour qu'ils arrêtent de parler d'elle, et de son histoire avec Adriàn. Même si cela n'avait pas été clairement dit, il était évident qu'ils parlaient de lui. Pour autant, l'écrivain garda le sujet en tête, toujours aussi mécontent de l'attitude que Adriàn avait à l'égard de Danaé. Puis finalement le sujet de conversation dévia très vite vers les comparaisons douteuses entre eux et les personnages fictifs d'un film de Spielberg. Arrivés sur la piste de danse, ils en parlaient toujours, s'amusant finalement, encore et toujours, de cette situation. Dans un premier temps l'écrivain la regarda faire lorsqu'elle finit par retirer ses chaussures, les laissant au milieu de la piste de danse sans se soucier si oui ou non ça viendrait gêner quelqu'un. En vérité, même Noam s'en contrefichait. Il n'avait d'yeux que pour Danaé, et si on le lui avait dit, il se serait sans doute trouvé pathétique. Il n'avait pas envie de se considérer comme un type amoureux. Ce genre de terme le blasé totalement et généralement il levait les yeux au ciel en attendant cela. Il aimait se dire qu'il portait simplement un grand et bel intérêt à Danaé, voilà. Lorsqu'elle glissa sa main dans la sienne, Noam l'attira doucement à lui, tandis qu'elle montait sur ses pieds et qu'il ne pouvait s'empêcher de rire. Délicatement il vint poser sa main dans son dos pour la retenir, alors qu'ils commençaient bêtement à danser. « Eliott est dépendant d'E.T. maintenant, il a mal aux pieds et est piètre danseur. » Il se contenta de lui adresser un clin d'oeil complice, se demandant finalement si elle ne mentait pas quand à son talent de danseuse. Après, que se soit vrai ou faux, la situation l'amusait, appréciant cette idée de danse improvisée. Ils ne se contentaient pas d'un slow, non ils revisitaient le monde de la danse. « Tu me promet de pas me lâcher hein ? » Elle le suppliait gentiment du regard, et pour toute réponse il se contenta de resserrer son étreinte protectrice autour d'elle, continuant doucement à danser. Il était complètement à sa merci, et ne faisait que ce qu'elle souhaitait. « Je t'ai jamais lâché. » rétorqua-t-il simplement. C'est vrai après tout, il avait toujours été là pour elle. Elle pouvait lui téléphoner au beau milieu de la nuit qu'il serait le premier à arriver pour la sauver. Après tout, c'est ce que E.T ferait pour Elliot. « Parce que tu sais, même si tu me fais tomber ça m'empêchera pas de continuer à jouer avec tes cheveux. » Pas question qu'elle retouche à ses cheveux ! Propriété privée. Noam secoua doucement la tête à sa remarque, habitué à communiquer beaucoup plus avec les yeux qu'avec les mots. Il appréciait néanmoins les conversations de Danaé, elle avait toujours quelque chose à dire et cela été plaisant. Sauf quand elle faisait des menaces sur les cheveux de Noam, là, ça n'allait pas du tout. « Je te l'interdis ! » souffla-t-il finalement, un sourire amusé dessiné sur ses lèvres, persuadé au fond de lui que si un jour il venait passer dans une publicité, ses cheveux deviendraient sa marque de fabrique.

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