Se défouler. Lâcher toute la rage qui était en elle, voila ce qu’aurait du faire cette jeune femme qui renvoyait une image fille blessé. Elle était étalé sur son canapé à lire et relire cette maudite lettre qui venait d’arriver. C’était la troisième depuis qu’elle était à Montsympa. La jeune femme supportait mal cette souffrance qu’elle devait laisser s’évaporer en même temps que l’alcool qu’elle ingérait lorsqu’elle allait mal. Se vider l’esprit encore. Son père voulait la torturer ,et bien il réussissait son travail assez bien. Ses yeux était humide. Depuis quand cette femme pleurer? Elle qui avait été élevé pour être forte et ne jamais rien lâcher. Mais, les années passé à Paris l’avait changé : sans doute en mieux. Une jeune femme sure d’elle et qui savait jouer de tout ses atouts pour avoir ce qu’elle veut. C’est ça d’être la fille reconnu de grand arnaqueur. D’un revers de main toutes les larmes ayant eu le temps de couler disparurent. La jeune femme se leva plaçant cette lettre sur le tas d’autre qui était près du téléphone. Elle déposa sa main sur ce tas prenant une grande respiration. Les je t’aimes , et les excuses que son père lui écrivait ne lui convenait pas ,il avait trahi la confiance qu’elle avait toujours eu pour lui, maintenant c ‘était terminé.

Elle prit le tas de lettre et le jeta au sol laissant ces dernières s’éparpiller dans l’appartement. Reprendre le contrôle. Elle marchait vers la télé ,qu’elle alluma tout en saisissant la télécommande pour y composer le numéro d’une chaîne de musique. Un sourire réapparut sur son fin visage. Elle se laissait envahir par la musique , qui était un mélange de sentiment , des sentiments qui la laissait bien souvent sur le cul. Elle était une fille sensible ,mais rare sont ceux qui ont pu voir une tel partie d’elle. Il faut dire qu’elle a pas mal de chose à cacher. Style son passé. Car ,elle est sans doute la fille de criminel dont un était encore recherché, mais elle était aussi une criminel. Elle savait comment arnaquer les gens. Que ce soit des flics ou pas. La jeune femme est tout sauf l’une de celle qu’on peut avoir , non car elle a la tête dure , elle est une torture à elle seule, car elle retourne le cerveau de quiconque. Elle décrocha son regard de l’écran sa dirigeant vers la salle de bain pour y laisser ses vêtements glisser le long de ses courbes , la jeune rentra sous le jet d’eau qui se voulait fort et tiède assez froid. Elle aimait pas la chaleur au contact de sa peau ,elle préférait frissonner que d’avoir trop chaud. Elle profitait des perles d’eau parcourant son corps pour se détendre. Pensant à ce qu’elle allait faire ce soir ou plutôt cette nuit l’heure avancé. Elle ne mit que très peu de temps pour savoir ce qu’elle voulait faire.

Elle sortait de son immeuble. La jeune femme marchait sans vraiment prêter une intention quelconque à ceux qui l’entourait. Elle était concentré sur ce qu’elle devait faire. Danser . Allez voir son amie qui allait pouvoir lui faire un show privé et s’occuper d’elle. Une fille qui aimait les filles. Tout Célizée. La jeune femme cependant préférait les hommes et de loin. D’un pas tranquille et lent la jeune femme regardait droit devant elle comme ci elle fixait quelque chose au loin, une chose invisible qui n’attirait qu’elle. Tout le monde marchait dans le sens contraire d’elle ,elle rencontrait des personnes ,les percutaient , et n’avait aucune pitié pour certaines épaules. Soit elle , soit eux et le choix était assez facile. C’était d’abord elle et de loin. Sur ce coup , la jeune femme ne vu rien venir, la rue commençait à se dépeupler petit à petit. Elle marchait plus paisiblement laissant son intention se placer sur autre chose que le point qu’elle fixait depuis le début ses yeux flirtaient à présent avec les vitrines des magasins qui jonchaient cette immense rue. Lorsqu’elle regardait l’une des vitrines , elle sentit quelque chose de gros s’abattre sur elle Ne lâchant aucun mot ,elle regarda l’homme à terre qui se releva avec assez de mal. Elle aurait pu l’aider ,mais la situation était assez ironique et drôle , alors elle avait préféré regarder que d’aider. Elle lâcha un petit rire à la remarque du jeune homme.

Célizée: Aurais-je le malheur de rencontrer un loup ? Non, car juste comme ça je suis pas le chaperon rouge.

Elle rigola. Regardant ce dernier qui avait l’air plus qu’ éméché ,elle qui n’aspirait à cet instant qu’à se détendre auprès d’une bonne bouteille lui avait déjà eu cette chance.